Qui arrêtera la folie meurtrière de l’armée israélienne contre les populations palestiniennes de l’enclave de Ghaza soumises, depuis près de deux mois, à un plan diabolique d’extermination et de terre brûlée élargi aux Territoires palestiniens occupés de la Cisjordanie ?
A travers le cas de deux opérations militaires exécutées par l’armée sioniste, en octobre dernier, à Deir El Balah, qui ont fait 43 morts au total, et que l’ONG a minutieusement documentées, Amnesty International accuse ouvertement Israël de «crimes de guerre» à Ghaza. L’organisation basée à Londres évoque également la complicité des Etats-Unis dans ces crimes.
Où aller ? Quoi manger ? Dans quel abri se protéger ? Ce sont les trois interrogations existentielles qui taraudent quotidiennement les esprits des Palestiniens dans la Bande de Ghaza. Sous le déluge de feu de l’occupant israélien qui intensifie ses attaques destructrices depuis la fin de la trêve humanitaire, des centaines de milliers de civils ghazaouis fuient la mort qui a déjà fauché 16 000 personnes, majoritairement des enfants et des femmes.
L’appui de plusieurs grandes puissances aux bombardements intensifs décidés par Israël, visant ostensiblement des populations civiles, ravivent l’accusation qui leur est adressée depuis longtemps, selon laquelle leurs politiques internationales se caractérisent par «deux poids deux mesures» ou «double standard».
Les investissements publics consentis en faveur des wilayas affichant des retards en matière de développement, notamment en ce qui concerne les infrastructures de base, viennent, faut-il le souligner, en appui des programmes destinés précédemment aux zones dites d’ombre et aux autres plans de développement des régions frontalières.
Le général d’armée Saïd Chanegriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a reçu en audience, hier au siège de l’état-major de l’Armée nationale populaire, le général de corps d’armée Mohammed Elghoul, chef d’état-major de l’Armée de terre des forces armées tunisiennes.
Dans la liste des toutes récentes mesures considérées comme «gratifiantes» pour la presse, décidées par la présidence de la République, une décision en particulier était attendue depuis longtemps par les médias parce que vitale et infiniment cruciale pour leur existence en tant qu’entreprises socioéconomiques.
L’ancien ministre de l’Energie, Sadek Boussena, estime que les questions pétrolières et gazières nationales ne relèvent pas uniquement d’équations économiques et techniques, car selon lui, «les bonnes réponses ne peuvent émaner que d’un débat politique en vue d’asseoir le plus large consensus possible autour de mesures et de réformes dont certaines sont certes complexes et difficiles à entreprendre mais urgentes à traiter».
L’urgence est de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Une priorité absolue pour la planète afin d’éviter que le changement climatique ne devienne incontrôlable.
L’assurance facteur de résilience et redéveloppement économique» est l’intitulé du séminaire (Parteners Day) organisé par la Compagnie algérienne des assurances (CAAT) le 5 décembre à Oran.
Rencontré à la 28e Conférence des parties sur les changements climatiques (COP-28), qui a bouclé hier sa cinquième journée, Jean-Paul Adam, directeur de la politique du plaidoyer au conseiller spécial de l’Afrique à l’ONU, reconnaît, dans cet entretien, les particularités de la situation dans la région du Maghreb qui subit durement les conséquences du réchauffement climatique mais regrette de ne pouvoir mettre en place un mécanisme d’aide spécifique. Il souhaite que ces pays puissent bénéficier du fonds des «pertes et dommages», mis en œuvre lors de cette conférence.
Plus de 3000 parties prenantes de 130 pays se penchent depuis le 4 décembre à Genève sur le thème comment «façonner l’avenir de l’économie numérique» dans le cadre de la semaine du commerce électronique 2023.
Ce lotissement, distant de quelques encablures de la mairie et de l’administration de wilaya, est dépourvu des moindres commodités.
La commune de Boudouaou est gérée depuis le 12 novembre dernier par le chef de daïra de Boumerdès, Mohamed Chokran. Il a été désigné à ce poste par Mme le wali suite à l’échec des tentatives de réconciliation des élus de l’Assemblée, bloquée pour rappel depuis juillet 2022.
«Les nappes phréatiques sont altérées et les forages sont menacés. Le lit de l’oued a besoin d’être reconstitué», a-t-il été souligné lors de la journée d’étude sur l’eau organisée par l’APW de Tizi Ouzou.
Les villageois se mobilisent pour planter des arbres. Le couvert végétal fait face, et ce, depuis des années à des agressions multiples. Les opérations de reboisement des surfaces détruites par les incendies et autres restées en jachère sont nécessaires.
Véritable parcours du combattant pour de nombreuses femmes divorcées ayant la garde des enfants, le processus devant leur permettre de bénéficier de la pension alimentaire connaît des changements puisque un projet de loi vient d’être finalisé et a pour objectif principal de mettre le fonds de pension alimentaire sous la tutelle de l’autorité du ministère de la Justice et sa gestion au niveau local par les services du même département.
«Ces bombardements et les pertes insensées de vies humaines doivent cesser maintenant (…)», insiste le responsable de l’OMS dans les Territoires palestiniens occupés, le Dr Richard Peeperkorn.
Depuis le début de l’agression contre Ghaza, l’entité sioniste et ses colons ont mené, parallèlement aux bombardements dans l’enclave palestinienne, pas moins de 400 attaques contre la population palestinienne en Cisjordanie occupée.
«En moyenne, un enfant est tué toutes les 10 minutes à Ghaza. En ce sens, je pense que nous sommes proches du moment le plus sombre de l’humanité», a déclaré hier le représentant de l’OMS en Palestine, le Dr Rik Peeperkorn.