Après s’être engagées à respecter les libertés et promis de «garantir les droits de tous», les nouvelles autorités syriennes ont annoncé, avant-hier, vouloir contribuer à la «paix régionale» et construire des «partenariats stratégiques» avec les pays de la région, alors que Washington a abandonné l’offre de récompense pour l’arrestation d’Ahmed Al Sharaa.
l Le parti incarné par Pita Limjaroenrat, personnalité télégénique qui détonne sur la scène politique thaïlandaise, est le seul dans le pays à évoquer ouvertement une réforme de la loi sur la lèse-majesté.
L’envoyé spécial français au Liban, Jean-Yves Le Drian, a entamé hier à Beyrouth une nouvelle mission pour tenter de trouver un consensus permettant d’élire un chef de l’Etat dans un pays privé de Président depuis plus de dix mois, rapporte l’AFP.
La secrétaire d’Etat adjointe des Etats-Unis aux Affaires africaines, Molly Phee, a rencontré samedi à Abuja le président nigérian, Bola Tinubu. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la tournée de la diplomate américaine, les 28 et 29 août, dans trois pays africains : le Nigeria, le Tchad et le Ghana. Une tournée au cours de laquelle elle a prévu de s’entretenir avec les chefs d’Etat de la région au sujet du rôle de la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) et de son «leadership régional dans la réponse à la crise au Niger», a indiqué un communiqué du département d’Etat.
Plus de deux mois de guerre entre armée et paramilitaires ont forcé plus de 2,5 millions de personnes à fuir leurs maisons au Soudan, notamment au Darfour, a indiqué l’ONU, hier, citée par l’AFP.
Une nouvelle personne est morte samedi dans des troubles à Dakar, portant à 16 le nombre de décès depuis la condamnation jeudi de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko à deux ans de prison, a indiqué hier le ministère de l’Intérieur, cité par l’AFP.
Retour sur la chute dans l’abîme de l’islam politique en Tunisie, accusé par le président Saïed d’être derrière l’actuelle grave crise traversée par la Tunisie. Certaines réserves occidentales n’ont pas empêché la Tunisie d’avancer dans cette purge.
Des médecins ont annoncé des coupures d’électricité dans des salles d’opération. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), «plusieurs des neuf hôpitaux de Khartoum, qui reçoivent des civils blessés, n’ont plus de sang, d’équipements de transfusion, de fluides intraveineux et d’autres matériels vitaux». Les patients, parfois des enfants et leurs proches, n’ont plus ni à boire ni à manger.
Le décret n° 2023-9 du 8 mars 2023, publié par le Journal officiel tunisien le 9 mars, annonce la dissolution de tous les conseils municipaux et désigne les secrétaires généraux des municipalités pour assurer l’intérim sous l’égide du gouverneur de la région jusqu’à l’élection des nouveaux conseils.
Les Tunisiens sont appelés aux urnes demain pour se prononcer sur le projet de Constitution du président Kaïs Saïed. L’opposition n’arrive pas à s’unir faute d’un programme minimum et d’un leader charismatique. Le oui l’emporterait largement, selon les observateurs.
Le Pr Sadok Belaïd est l’un des premiers spécialistes tunisiens en droit ayant marqué la formation des juristes en Tunisie indépendante. Cet éminent expert a été nommé le 20 mai 2022 par le président Saïed comme président coordinateur de la commission consultative pour la nouvelle République ; le décret de nomination prévoyait de remettre le projet de la Constitution au président de la République au bout de 30 jours. L’étroitesse des délais n’a pas empêché le Pr Belaïd et sa commission de respecter le deadline. La surprise fut que le président Saïed a largement modifié le projet initial, poussant le Pr Belaïd à crier aux «risques considérables de défaillances» et à considérer «dangereux» le projet de Constitution soumis au référendum populaire du 25 juillet 2022.
46 modifications introduites au projet de la Constitution tunisienne du 30 juin; précisions et corrections sans toucher au fond ; le président Saïed attaché à un régime présidentiel fort, ne permettant même pas le moindre contrôle de son pouvoir.
Des milliers de femmes, d’hommes et d’enfants se ruent dans l’imposante demeure. Certains font la queue pour s’asseoir sur la chaise du président Gotabaya Rajapaksa à l’étape supérieur, pendant qu’au rez-de-chaussée, des enfants – et leurs parents – tapent à qui mieux mieux sur les touches d’un piano à queue.
L’ex-chef de gouvernement, l’islamiste Hamadi Jebali, en détention préventive dans une affaire de financements suspects. Tentative d’atteinte à la présidence de la République tunisienne, annoncée par le ministère de l’Intérieur. Entre les faits et les enjeux politiques.
Première réunion avant-hier de la commission économique et sociale pour la Constitution de la Nouvelle République. Le clan du président Saïed avance ; l’opposition essaie d’organiser sa riposte. La centrale syndicale UGTT tâtonne.
Le 25 juillet, c’est demain ! Référendum populaire en Tunisie et changement attendu du système politique. Panique et désordre chez les opposants, en manque de moyens et de programme pour contrer ce projet. Un flou artistique règne en Tunisie. Personne ne sait où va le pays.
L’Etat d’exception est envisageable dans un système démocratique. Faut-il encore qu’il réponde à certaines conditions aussi précises que possible pour réduire la marge d’interprétation à leur égard.
Le président tunisien, Kaïs Saïed, a annoncé l’instauration d’un «dialogue national» attendu depuis des mois, mais duquel seront exclus tous les partis politiques qu’il juge responsables de la crise politico-économique secouant le pays.
Le discours de la veille de l’Aïd du président Saïed a vu l’annonce de l’installation d’une «Commission supérieure dont l’objectif est de préparer l’instauration d’une nouvelle République». Saïed a également annoncé «un dialogue ouvert à tous ceux qui se sont engagés sincèrement dans le processus de redressement entamé le 25 juillet». Le Président a parlé, sans les nommer, des quatre organisations nationales qui vont participer à ce dialogue aux côtés des engagés sincères, pour «préparer la nouvelle République».
Polémique en Tunisie concernant l’amendement par décret de la loi sur l’ISIE. Les anciens élus dénoncent une mainmise du président Saïed sur l’instance électorale, d’autres assurent que le nouveau décret permet plus d’indépendance qu’auparavant.