La découverte a été faite par un passager au volant de sa voiture dans ce village reculé de Sidi Touchent où aucune route ne passe.
La découverte a été faite par un passager au volant de sa voiture dans ce village reculé de Sidi Touchent où aucune route ne passe.
C’est un drame sans précédent qu’a vécu le week-end dernier la petite localité de Ouled Touta, qui vivait jusqu’alors des jours paisibles, ne se levant le matin très tôt que pour faire la queue devant le camion de lait.
Trop de procès tuent-ils les procès ? Que ce soit Saïd Bouteflika, le petit diable vert condamné une nouvelle fois pour blanchiment dans le financement occulte de la campagne électorale ou son ami Ali Haddad...
Comme un cheveu lisse parcouru de fourches, comme un muscle long parsemé de nodules ou un colon jalonné de polypes, comme une corde à nœuds avec des nœuds qui représentent autant de problèmes, crispations et raidissements
Après les sanctions contre la Russie, l’Algérie est devenue un partenaire exportateur de gaz particulièrement courtisé par les Européens, ce qui a fait dire à un humoriste algérien qu’il faut faire attention, «un Algérien qui a du pouvoir, c’est chaud», annonçant qu’en échange du gaz, l’Algérie pourrait faire d’absurdes revendications, comme exiger que «Zemmour chante ‘‘One, two, three viva l’Algérie’’», en expliquant que si l’Algérie serait aussi perdante dans le cas où elle ne livre pas de gaz, «c’est mal connaître les Algériens», le statut de perdant-perdant ne les gêne pas vraiment, surtout si la partie adverse est perdante à cause d’eux, «ce qui ferait d’eux au fond des gagnants».
Dans son livre Les 7 tours du diable, le célèbre occultiste soufi converti à l’islam, René Guénon, définissait, après des recherches ésotériques et historiques, les 7 endroits sur Terre où résiderait le diable, deux en Afrique, chez les Dogons et Peuls du fleuve Niger et au Soudan, une en Irak chez les Kurdes de Mossoul, une en Syrie, une au Turkestan et les deux dernières en Sibérie dans des lieux fréquentés par des Yézidis expatriés, où Raspoutine aimait s’y rendre pour partager des transes collectives.
Il y a 15 000 ans, alors que les hommes sont dehors à chasser, cueillir ou jouer à l’ancêtre des dominos, les femmes à la maison ne mangent pas encore des glaces comme à Tipasa, mais observent la nature.
Quand on prend une carte du monde et on y trace deux diagonales reliant les 4 coins de la carte, celles-ci se croisent étrangement en Algérie.
C’est l’été, pourtant période de détente et de nage libre, mais c’est tout le contraire ici, saison majeure des crispations et contradictions.
3 ans de prison requis par le procureur à l’encontre du journaliste El Kadi Ihsène, c’est dramatique mais pas étonnant au vu du lâcher de marteaux organisé en plus haut lieu qui s’abat sur tout le monde.
Oui, il y a du nouveau dans la Nouvelle Algérie, «l’instauration de la culture de la concertation et du dialogue entre l’Exécutif, les syndicats, la société civile et les personnalités indépendantes», selon les termes utilisés par Soufiane Djilali
Mardi 10 mai, le président algérien reçoit le ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, selon un communiqué de la Présidence, avec en prime, une invitation de Poutine pour venir à Moscou.
Quelles que soient leurs divergences idéologiques sur les modèles à adopter, les experts du monde entier, y compris Loth Bonatero, sont formels sur ce point, «l’économie c’est de l’énergie transformée».
Non, il n’y a toujours pas d’eau au robinet, mais il y a une équipe de hockey sur glace algérienne, qui vient d’ailleurs de s’illustrer dans un tournoi en Europe en battant l’Andorre, puis le Portugal par le score de 9 buts à 1
Il est anonyme, paye ses impôts à la source et s’il connaît cette source, la sueur qu’il fournit par son travail, ne connaît ni la rivière qui achemine son eau ni le barrage qui la réceptionne ni les robinets qui desservent au final le précieux liquide.
Des taches noires sur un édifice censé être refait à neuf, c’est Alger la blanche, grise les jours d’élection et noire dans l’obscurité des cachots.
Avec la fin du Ramadhan et les réjouissances de l’Aïd, le problème se repose maintenant qu’on a le droit de manger pendant la journée : comment nourrir en Algérie 28 millions de moutons et 44 millions d’êtres humains ?
Il est tôt sur cette zone désertique que seule la géostratégie n’a pas abandonnée.
A l’ombre d’un noble et austère acacia du village perdu de Tin Zouatine, Ramzane Kadirov le Tchétchène s’est lancé dans un grand prêche mêlant religion, anti-impérialisme, traditions, géopolitique et hamburgers, le Ramadhan tirant à sa fin.