Au moins 440 civils ont été tués entre juin et septembre 2021 au Soudan du Sud dans des affrontements entre factions du vice-président Riek Machar et l’armée loyale au président Salva Kiir, selon un rapport de l’ONU publié hier. Outre ces centaines de tués, 18 civils ont été blessés et 74 enlevés durant ces violences dans la région de Tambura, dans le sud-ouest du pays, affirme ce rapport de la mission onusienne au Soudan du Sud (Unmiss) et du Bureau des droits de l’homme de l’ONU.
Des discussions sur la charte devraient rapidement s’engager désormais avec la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), qui a suspendu le Burkina Faso de l’organisation, le 28 janvier, en raison du coup d’Etat. Elle avait demandé aux nouvelles autorités de présenter un calendrier «raisonnable pour le retour à l’ordre constitutionnel».
En avril 2008, l’Alliance promet que l’Ukraine et la Géorgie «deviendront membres», mais sans offrir de plan d’adhésion. En août de la même année, Moscou inflige une défaite militaire à la Géorgie. En parallèle, Moscou et Kiev se livrent plusieurs guerres commerciales, dont celles du gaz en 2006 et 2009.
L’Union africaine (UA) a fait part, lundi 28 février, de sa préoccupation face aux nombreux témoignages d'Africains cherchant à quitter l'Ukraine, victimes, selon l'UA, de "comportements racistes".
Le Kremlin a jugé prématuré mardi 1er mars de "donner une appréciation" des pourparlers avec Kiev de la veille.
Plus de 660.000 personnes fuyant l'invasion russe en Ukraine ont afflué vers les pays voisins, et les chiffres augmentent de façon "exponentielle", a indiqué le Haut Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) mardi 1er mars.
La présidente de l’Union européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé, dimanche dernier, que les médias d’Etat russes, Russia Today (RT) et Sputnik, allaient être bannis afin de les empêcher de diffuser leurs «mensonges» sur la guerre menée par Moscou en Ukraine. «Nous allons interdire dans l’UE la machine médiatique du Kremlin.
Des délégations russe et ukrainienne ont entamé, hier en Biélorussie, des pourparlers pour mettre fin au conflit en Ukraine. Ces premières négociations, qui ont débuté vers 11h GMT, interviennent au cinquième jour de l’invasion russe.
La crise économique et financière traversée par la Tunisie durant l’année 2021 ne l’a pas empêché d’honorer ses engagements vis-à-vis de ses créanciers, sans l’apport du FMI. Néanmoins, la situation reste difficile ; un véritable redressement de l’économie du pays nécessite l’apport des bailleurs de fonds étrangers, dont la contribution est sujette à l’obtention d’un plan de redressement en accord avec le FMI.
Le ministre des Affaires étrangères des Emirats arabes unis a eu un entretien téléphonique hier avec son homologue israélien, selon l’AFP citant des sources officielles. «Cheikh Abdallah Ben Zayed Al Nahyane et son excellence Gabi Ashkénazi ont inauguré les liaisons téléphoniques directes entre les Emirats arabes unis et Israël», a indiqué sur Twitter Hind Manei Al Otaiba, directrice de la communication stratégique au ministère des Affaires étrangères des Emirats.
L’adhésion à l’Union européenne, réclamée à nouveau hier par l’Ukraine, nécessite un accord unanime des 27 pays membres et il y a «différentes opinions et sensibilités» parmi eux à ce sujet, a déclaré le président du Conseil européen, Charles Michel. «L’adhésion est une demande exprimée de longue date par l’Ukraine.
Vladimir Poutine a justifié cette décision par les «déclarations belliqueuses de l’Otan» envers la Russie. Il a également critiqué les sanctions économiques prises à l’encontre de la Russie pour son invasion de l’Ukraine, selon lui «illégitimes». La Russie a lancé jeudi une invasion de l’Ukraine, provoquant une onde de choc internationale. L’Ukraine a dénoncé la «pression» nucléaire de Poutine.
Ces derniers jours, des négociateurs ont fait état d’avancées dans les pourparlers visant à sauver l’accord nucléaire conclu en 2015 à Vienne.
Les forces ukrainiennes ont affirmé hier avoir repoussé une percée russe à Kharkiv, deuxième ville d’Ukraine, où se déroulent des combats de rue. Au quatrième jour de l’offensive russe, les forces ukrainiennes ont le plein contrôle de Kharkiv, ville du Nord-Est de 1,4 million d’habitants à la frontière russe, selon le gouverneur local Oleg Sinegoubov.
La présidence de l’Ukraine a indiqué hier avoir accepté des pourparlers avec la Russie et qu’ils se dérouleront à la frontière avec le Bélarus, près de Tchernobyl, une décision après une médiation du président bélarusse, Alexandre Loukachenko. «La délégation ukrainienne rencontrera la (délégation) russe sans fixer de conditions préalables sur la frontière ukraino-bélarusse, dans la région de la rivière Pripiat», a déclaré la Présidence sur les réseaux sociaux.
Une grâce présidentielle accordée en Irak au fils d’un ancien gouverneur condamné pour trafic de drogue a provoqué des remous, poussant le président Barham Saleh à réclamer une «enquête urgente» sur cette affaire, a rapporté hier l’AFP.
La Corée du Nord a tiré hier un missile balistique, le huitième cette année, après un mois d’accalmie pendant les Jeux olympiques de Pékin, rapporte l’AFP citant Séoul. L’armée sud-coréenne a «détecté un missile balistique lancé en direction de la mer de l’Est» (la mer du Japon), a indiqué l’armée sud-coréenne dans un communiqué.
Le président russe Vladimir Poutine a annoncé dimanche 27 février mettre en alerte la "force de dissuasion" de l'armée russe, qui peut comprendre une composante nucléaire, au quatrième jour de l'invasion de l'Ukraine par Moscou.
Russes et ukrainiens divergent sur le pays qui abritera les négociations.
Les autorités ukrainiennes ont décrété, hier, un couvre-feu dans la capitale Kiev, allant de 17h jusqu’à 8h. Par ailleurs, un communiqué de l’armée russe a indiqué que des instructions avaient été données pour «élargir l’offensive sur l’Ukraine».