Le président israélien, Isaac Herzog, est arrivé hier en Turquie, où il va effectuer la première visite d’un chef d’Etat israélien depuis 2007, rapporte l’AFP. Il a prévu une rencontre à Ankara avec son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, qui s’est affiché ces dernières années comme le défenseur de la cause palestinienne. Les questions bilatérales vont dominer la rencontre, après plus de dix ans de froid diplomatique.
Connue pour son militantisme pacifique en faveur de la cause sahraouie, Aminatou Haïdar a reçu le Prix Robert F. Kennedy des droits de l’homme en 2008, le Prix du courage civil en 2009 et le Right Livelihood Award en 2019.
Les transporteurs routiers marocains ont décidé, hier, de prolonger de 48 heures leur grève observée depuis trois jours pour protester contre la hausse des prix des carburants, notamment du gazole, sur fond de grogne sociale, rapporte l’AFP citant des sources syndicales.
Le ministère chinois des Affaires étrangères a accusé mercredi 8 mars l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) d'être responsable de la tension entre la Russie et l'Ukraine au point d'"exploser".
La Russie a constaté "des progrès" dans les négociations menées avec l'Ukraine, a déclaré mercredi 9 mars la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova.
La filiale française de RT (ex-Russia Today) a introduit mardi 8 mars un recours devant la justice européenne pour faire annuler l'interdiction de diffusion imposée par l'UE dans le cadre des sanctions contre la Russie, a annoncé la Cour de justice de l'UE.
Russes et Ukrainiens sont tombés d'accord mercredi 9 mars au matin pour respecter des cessez-le feu autour d'une série de couloirs humanitaires afin d'évacuer les civils, a annoncé la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk.
Le chef de l’Etat ukrainien, Volodymyr Zelensky, a déclaré ne pas vouloir être le président d’un «pays qui implore à genoux» pour une adhésion à l’Otan. Au sujet des deux «républiques» séparatistes prorusses de l’est de l’Ukraine, en guerre depuis 2014 avec les forces de Kiev, il s’est dit ouvert au dialogue. Pour «ces territoires temporairement occupés (…)», «nous pouvons discuter et trouver un compromis sur l’avenir de ces territoires», a-t-il indiqué.
Le ministre des Affaires étrangères turc, Mevlüt Cavusoglu, a annoncé hier la tenue d’une réunion trilatérale jeudi à Antalya (sud) avec ses homologues russe et ukrainien, première rencontre entre les deux hommes depuis le début de la guerre, rapporte l’AFP.
Le président Joe Biden a annoncé, hier, avoir ordonné un embargo sur les importations américaines de pétrole et de gaz russes, afin d’alourdir les sanctions imposées à la Russie et «porter un nouveau coup puissant à Poutine», rapporte l’AFP. Cette décision a été prise «en coordination étroite» avec les alliés des Etats-Unis, a-t-il précisé. «Nous ne contribuerons pas à subventionner la guerre de Poutine.»
Téhéran maintient n’avoir aucune intention d’acquérir des armes nucléaires et répète que ses activités aérospatiales sont pacifiques. A la mi-janvier, les Gardiens de la révolution islamique ont annoncé avoir testé «avec succès» une fusée à moteur à combustible solide qui peut transporter des satellites.
Des milliers de manifestants anti-putsch ont protesté hier à Khartoum contre le pouvoir militaire sous les tirs de grenades lacrymogènes, peu après l’arrestation d’un opposant, rapporte l’AFP citant le parti de l’opposition Alliance unioniste.
Des dizaines de Mauritaniens ont manifesté hier devant la Présidence à Nouakchott pour réclamer la fin d’exactions commises, selon eux, au Mali par l’armée malienne contre des compatriotes, rapporte l’AFP.
Le président chinois Xi Jinping a appelé mardi 8 mars à "la plus grande retenue" dans le conflit ukrainien et fait part de sa "profonde préoccupation" lors d'un appel avec les dirigeants français Emmanuel Macron et allemand Olaf Scholz, a rapporté la télévision chinoise.
La Russie a annoncé lundi soir la mise en place de cessez-le-feu locaux dans plusieurs villes ukrainiennes à partir de 07H00 GMT mardi 8 mars pour permettre l'évacuation de civils via des couloirs humanitaires, après de nouvelles négociations avec les Ukrainiens.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé mardi 8 mars les "promesses" non tenues des Occidentaux pour protéger l'Ukraine des attaques russes.
La diplomatie reste inerte quant à trouver une issue à la crise russo-occidentale sur l’Ukraine. En visite hier en Moldavie, le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a déclaré que les Etats-Unis «travaillent activement» à un accord avec la Pologne pour l’envoi d’avions de guerre à l’Ukraine. «Nous regardons maintenant activement la question des avions que la Pologne pourrait fournir à l’Ukraine et regardons maintenant comment nous pourrions compenser si la Pologne décidait de fournir ces avions», a-t-il indiqué.
Tous les acteurs politiques, les islamistes d’Ennahdha compris, ont compris qu’il n’y a pas d’alternative en dehors de celle tracée par le président Saïed. Adieu l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et la Constitution d’avant le 25 juillet. Le mieux, si l’on suit les agissements de la direction d’Ennahdha, c’est de se réimplanter dans la rue.
Après nombre d’ONG et institutions régionales, à leur tête l’Union africaine (UA) qui se dit vivement interpellée par la multiplication, ces derniers jours, des accusations, via les réseaux sociaux, de maltraitances et de comportements discriminatoires, xénophobes et racistes dont ont été victimes plusieurs centaines d’Africains, pour la plupart des étudiants, qui, fuyant la guerre en Ukraine, tentaient de quitter les zones touchées par le conflit, de franchir les frontières vers les pays voisins, la Roumanie et la Pologne, notamment, et de chercher une assistance vitale, c’est au tour de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) d’exprimer sa préoccupation à l’égard de cette violation caractérisée du droit international.
Depuis le début de l’offensive russe sur l’Ukraine, la Turquie a mobilisé sa diplomatie pour servir d’intermédiaire entre les belligérants afin de mettre fin au conflit. Ankara cherche à garder son partenariat économique avec Moscou, grand pourvoyeur de gaz à travers les gazoducs Turk Stream et Blue Stream. Ses rapports avec l’ex-République soviétique sont en plein essor : Kiev a acquis récemment des drones de combat turcs Bayraktar TB2, lesquels devaient être en partie produits sur le sol ukrainien.