L’élection présidentielle au Gabon s’est tenue hier. Se présentant comme «bâtisseur», l’architecte du putsch d’août 2023, Brice Clotaire Oligui Nguema, est le grand favori du scrutin face à sept concurrents.
Des attaques imputées aux paramilitaires ont tué vendredi 57 civils, dont des enfants, dans un camp de déplacés et une ville au Darfour dans l’ouest du Soudan, a affirmé un groupe prodémocratie, à l’approche du 2e anniversaire de la guerre civile, selon l’AFP.
Par l’intermédiaire du sultanat d’Oman, des pourparlers sont tenus hier par les délégations américaine et iranienne sur le nucléaire de la République islamique. Il s’agit des discussions les plus importantes depuis le retrait américain en 2018, sous la présidence de Donald Trump, d’un accord conclu en 2015 entre l’Iran et les grandes puissances pour encadrer le programme nucléaire iranien en échange d’une levée des sanctions.
La Cour suprême afghane a dénoncé hier des accusations «injustes» après que l’ONU s’est dite «indignée» par les quatre exécutions publiques menées la veille, le plus grand nombre en un seul jour depuis le retour au pouvoir des talibans. «Aucune partie étrangère n’a le droit d’interférer dans notre loi islamique», dit la Cour dans un communiqué, relayé par l’AFP.
Une délégation de négociateurs iraniens a quitté samedi matin Téhéran pour se rendre à Oman avant de rares pourparlers avec les États-Unis sur le dossier du nucléaire iranien.
Après le retrait des financements de l’USAID par Donald Trump, de nombreuses ONG assistent, impuissantes, à l’effondrement de leurs trésoreries.
«Nous espérons que la rencontre» pourra garantir «le retrait complet des forces d’occupation de la bande de Gaza», a commenté un responsable du mouvement islamiste palestinien.
Le républicain de 78 ans a fait déplacer le portrait de l’unique président noir de l’histoire des États-Unis, un démocrate, de l’autre côté du grand couloir d’entrée du bâtiment.
Les frappes n’épargnent plus rien, pas même les tentes érigées dans la zone d’Al Mawasi, désignée par Israël comme refuge temporaire. Vingt-trois attaques y ont été enregistrées par l’ONU depuis le 18 mars.
«Nous exprimons notre inquiétude concernant les restrictions à la liberté de mouvement et de réunion imposées (par le Maroc) aux défenseurs des droits de l'homme sahraouis et étrangers», ont déclaré les experts des Nations unies chargés des questions des droits de l'homme.
La pression est grande pour la première puissance européenne qui fait face à une somme d’urgences rarement vues depuis la réunification : relancer l’économie en récession depuis deux ans, barrer la route au parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD) qui font jeu égal avec les conservateurs dans les sondages.
Près de 7,7 millions de personnes sont touchées par la faim au Soudan du Sud, notamment dans le nord-est du pays où des affrontements ont lieu depuis des semaines, a averti hier l’ONU, rapporte l’AFP.
Pour tenter de mettre fin aux tensions dans la région, les autorités fédérales ont décidé de placer à sa tête un militaire de carrière. Tadesse Wered a fait ses premières armes dans la lutte contre le régime communiste du Derg, qui chute en 1991.
Le Soudan du Sud a annoncé hier qu’il allait finalement accueillir un Congolais expulsé par les Etats-Unis sur son territoire, après un refus initial qui a provoqué en représailles la révocation par Washington de tous les visas accordés aux Sud-Soudanais, rapporte l’AFP. En annonçant samedi cette mesure, inédite contre un pays étranger de la part de l’administration Trump, le secrétaire d’Etat américain Macro Rubio a accusé Juba de ne pas reprendre ses citoyens expulsés et de «profiter des Etats-Unis».
Le gouvernement soudanais a protesté auprès du Royaume-Uni contre l’organisation d’une conférence sur la guerre au Soudan, prévue pour la mi-avril, et à laquelle il n’a pas été invité.
Des pourparlers sur le nucléaire iranien se tiendront samedi au Sultanat d’Oman. Washington évoque des discussions «directes», et Téhéran parle de pourparlers «indirects» ayant pour objectif principal la levée des sanctions américaines.
Des responsables du ministère américain de la Défense sont en train d’étudier la possibilité de retirer 10 000 militaires américains stationnés en Europe de l’Est, une décision qui provoquerait l’inquiétude des pays concernés, proches de la Russie a affirmé hier NBC news, relayée par l’AFP.
Donald Trump avait créé la surprise en disant que Washington menait ces discussions «directes» avec l’Iran sur son programme nucléaire.
Les deux Corées restent techniquement en guerre depuis plus de sept décennies, le conflit qui les avait opposées de 1950 à 1953 s’étant achevé par un armistice, et non par un traité de paix.
Les services de secours de la capitale espèrent ce mardi trouver de nombreux survivants dans les décombres de l’établissement.