La réhabilitation du théâtre régional Mahmoud Triki de la ville de Guelma, très bel édifice construit en 1880, est enfin relancée. L’installation du chantier a débuté hier matin, constate El Watan sur place.
Une rencontre régionale de startups (jeunes entreprises novatrices dans le secteur des nouvelles technologies et sur Internet) du secteur public et privé, des wilayas de Tebessa, Annaba, Béjaïa et Guelma ont été conviés, hier, à Guelma pour présenter leurs produits.
Le vendredi, à Guelma, est synonyme d’insalubrité publique. Les ordures ménagères et autres détritus issus de l’incivilité des riverains et passants se sont acculés des jours durant sur la voie publique.
Saisis dans plusieurs opérations par les services de sécurité de la wilaya de Annaba, 21 moteurs d’embarcations, de différentes puissances, ont tout simplement disparu.
La commission est appelée à mettre en œuvre un plan d’action au niveau local à travers la surveillance et l’anticipation des activités des malfaiteurs et donner l’alerte au moindre indice révélateur d’un trouble à l’ordre public.
La maison de la culture Omar Oussedik de Jijel a vibré trois jours durant au rythme de la musique andalouse à l’occasion des Journées jijeliennes de la nouba andalouse organisées par l’association culturelle «Angham Cordoba» en hommage à Abdenour Lounis, une infatigable cheville ouvrière dans les domaines culturel et sportif, disparu il y a une année à l’âge de 63 ans.
Loin des feux de la rampe, l’artiste-peintre Boubakeur Smaane formé à l’École supérieure des beaux-arts d’Alger, apporte les dernières retouches, prépare son exposition. Méticuleux, l’élève de Hassen Chayani et Denis Martinez est comme un enfant.
Il y a des faits qui ont marqué l’histoire de la ville de Constantine et la mémoire collective de ses habitants, mais qui demeurent méconnus à ce jour. Parmi ces évènements, celui de l’incendie de la rue Larbi Ben M’hidi, survenu le 12 août 1984, et qui a coûté la vie à cinq braves hommes de la Protection civile, mérite bien d’être rappelé et porté par devoir de mémoire à la connaissance de la jeune génération. Un rappel aussi contre l’amnésie qui continue de frapper tout ce qui touche la mémoire de la ville.
Le terrorisme routier continue d’endeuiller les familles algériennes, victimes de l’inconscience des fous du volant, du non-respect du code de la route, d’engins d’un autre temps et d’un réseau routier bourré par mille et un points noirs. Ne faisant pas exception à la règle, Sétif a enregistré hier en début d’après-midi (aux environs de 14 heures) un terrible accident qui a fait 6 morts et 1 blessé.
A quelques jours de la rentrée scolaire, de nombreux parents n’arrivent toujours pas à acheter les fournitures essentielles pour leurs enfants. L’étau financier, avec la hausse des prix, est en train de se resserrer chaque jour davantage sur les familles, depuis le lancement du compte à rebours pour la rentrée.
Ils seront 219 121 élèves des trois paliers à rejoindre leurs établissements scolaires dans la wilaya de Bordj Bou Arréridj, soit 8513 de plus que l’année précédente.
Trente et un cas de leishmaniose ont été recensés durant le premier semestre de cette année par les services de la prévention, à travers les différentes communes de la wilaya de Bordj Bou Arréridj, notamment dans les régions rurales.
Avec ses soixante-dix ans d’existence, le tennis est un sport bien ancré dans la mémoire collective des habitants de Souk Ahras et mérite, de ce fait, un angle de vision particulier.
A travers les grands centres urbains de la wilaya d’Oum El Bouaghi ont été ouverts des marchés consacrés à la vente des fournitures scolaires à des prix étudiés au profit des bourses moyennes.
Tenu en otage depuis des années par une nébuleuse mercantile composée essentiellement d’un groupe déstabilisateur issu des partisans de l’État théocratique, de syndicalistes sans assises au milieu des travailleurs et des rescapés de la vindicte populaire, voire de quelques marginaux implantés intentionnellement dans des secteurs névralgiques, l’UGTA compte aller droit vers la rupture par le biais d’un comité de transition.
l’issue d’une longue carrière parsemée d’embuches, le diffuseur du savoir et de l’éducation remet le tablier dans la discrétion totale. Il quitte son établissement, sa deuxième maison, sur la pointe des pieds.
Habitant à Maâfa dans la wilaya de Batna, une vieille femme, dénommée Yamina Belbacha, née en 1937 et toujours vivante, qui profitait d’une pension de l’État français au titre d’une reconversion en sa faveur d’un pécule en euros anciennement octroyé à son époux décédé, ne reçoit plus cette aide financière depuis des mois à cause de nouvelles conditions édictées par le centre de gestion des pensions cristallisées de la direction spécialisée des finances publiques pour l’étranger de la République française établi dans la ville de Nantes.
Plus de 300 participants, dont des vétérinaires, des étudiants, des médecins, des pharmaciens, de l’association des vétérinaires des Bibans El Mokrani, ont pris part les 6,7 et 8 septembre au séminaire placé sous le slogan «One health», traitant de l’impact de la santé animale sur celle de l’homme et les meilleurs moyens à adopter pour créer l’harmonie entre les deux mondes.
La nouvelle production théâtrale intitulée Androïna, un titre, faut-il préciser, est composé du mot androïde et Rouina. La Rouina comme nous le savons tous est obtenue à partir de grains de blé légèrement grillés et moulus. Les familles algériennes utilisent cette semoule pour en faire des plats sucrés.
La sécurité alimentaire, l’émergence de nouvelles pathologies et l’amenuisement de la résistance de l’organisme chez l’homme comme chez l’animal, entre autres questions que nous avons posées au professeur Mustapha Oumouna, professeur d’immunologie à l’université de Médéa, en marge du séminaire de l’association des vétérinaires des Bibans El Mokrani. «D’abord, il faut assurer l’alimentation pour tout le monde.