Une enveloppe de 100,572 millions de dinars devrait être dépensée dans les opérations liées à l’aménagement des plages dans la wilaya de Jijel, lancées par la direction de l’administration locale.
Une opération d’entretien et de réparation de la route reliant le chemin de wilaya 137 de Bir El Halouf à Goubia sera lancée par la commune de Selma dans la wilaya de Jijel.
Encore une fois, c’est le département de Belaâbed qui sort du lot pour s’affirmer comme partenaire à l’emploi à Souk Ahras. La direction de l’éducation de la wilaya a procédé, mercredi dernier, à l’intégration officielle de 1015 employés dans le cadre du DAIP (Dispositif d’aide à l’insertion professionnelle) dans le corps des superviseurs du cycle primaire.
Les participants à la 17e Journée internationale d’éthique médicale, organisée hier à Annaba, ont souligné la nécessité de tirer les leçons de la pandémie de Covid-19 en élaborant un plan visant à affronter les maladies transmissibles ou toute autre urgence sanitaire.
Un important affaissement est survenu sur la rue Tatache Belkacem (ex-rue Thiers), mercredi dernier, aggravant les fissures déjà apparues dans des immeubles et menaçant la vie des habitants. Ces derniers ont exprimé leur inquiétude, face au glissement de terrain signalé depuis des années et qui les expose à un péril inévitable chaque jour davantage.
Dans le cadre de la réorganisation et la rénovation des salles du Musée national Cirta de Constantine, la direction de cet établissement vient d’inaugurer son cinquième espace dédié à «l’Antiquité tardive».
A pied d’œuvre depuis dimanche dernier, quelques heures après l’affichage des listes des bénéficiaires de 1000 Logements publics locatifs publics (LPL) de la daïra de Sétif, la commission chargée de la réception des recours de milliers de recalés est le moins que l’on puisse dire submergée.
Un enfant âgé de 15 ans a trouvé la mort, mercredi 18 mai, dans un barrage réservé à l’irrigation agricole dans la commune de Tiffech.
La régularisation des constructions non conformes au permis de construire délivré, était au centre de la journée d’étude organisé mercredi 18 mai par les services de la wilaya à la salle des conférences de la cité administrative de Jijel.
Un gigantesque incendie s'est déclaré hier, vendredi 20 mai, vers 11h30, dans un dépôt de cartons et de plastique de l'ancienne usine Cherokee, longeant l'avenue Houari Boumediène, au centre-ville de Bordj Bou Arréridj, laissant échapper sur des centaines de mètres d'altitude un énorme nuage de fumée noire.
Les communes éprouvent des difficultés à entretenir ces espaces faute de budget de gestion, mais aussi par manque de main-d’œuvre qualifiée.
En évoquant, lors de sa dernière rencontre avec les membres de l’exécutif, le phénomène des espaces forestiers clôturés par des particuliers, le wali de Souk Ahras a exprimé toute sa colère et rappelé la détermination des pouvoirs publics à ne point lésiner sur les moyens dissuasifs à ce sujet.
Sous le slogan «Concilions rejets industriels et fonctionnement optimisé de nos stations d’épuration pour aller vers une entreprise écolo-économique», la direction de l’environnement de Bordj Bou Arréridj a organisé, récemment, à l’université d’El Annasser un séminaire sur la gestion et le traitement des rejets industriels, et les moyens à mettre en œuvre pour minimiser l’impact sur la santé des citoyens.
En marge du séminaire sur la gestion et le traitement des rejets industriels tenu à Bordj Bou Arréridj, nous avons abordé Mohamed Kessoul, l’un des experts qui a pris part à cette rencontre scientifique, sur les enjeux, à court et long termes, qui attendent l’Algérie pour faire face aux torts infligés à l’environnement.
La chaîne des milliers de recalés agglutinés devant le complexe du 8 Mai 1945 à Sétif attendant leur tour pour y déposer un recours dépasse le kilomètre.
Des intellectuels ont soulevé la question de la réhabilitation de l’ancien siège de l’hôtel de ville et sa transformation en espace culturel, surtout que ce joyau architectural est dans un état de délabrement avancé.
Il n’est pas uniquement un bastion du savoir et de la connaissance, il est avant tout le berceau du nationalisme. Construit en 1873 au coeur de l’antique Sitifis, le célèbre lycée (ex-Eugène Albertini) a été l’une des plus grandes écoles du militantisme.
Des experts et des chercheurs universitaires de l’Institut du patrimoine de l’université Abdelhamid Mehri ont été sollicités pour encadrer des jeunes recrutés.
Des études ont révélé que la wilaya la plus touchée par cette maladie en Algérie est Sétif, où de 10 à 20% de la population présente des signes de calculs biliaires.
L’objectif de ce programme est d’augmenter la production nationale de safran afin d’arriver à en exporter une bonne part, de générer des revenus pour les fellahs et de créer des dizaines de postes d’emploi.