A travers les grands centres urbains de la wilaya d’Oum El Bouaghi ont été ouverts des marchés consacrés à la vente des fournitures scolaires à des prix étudiés au profit des bourses moyennes.
La nouvelle production théâtrale intitulée Androïna, un titre, faut-il préciser, est composé du mot androïde et Rouina. La Rouina comme nous le savons tous est obtenue à partir de grains de blé légèrement grillés et moulus. Les familles algériennes utilisent cette semoule pour en faire des plats sucrés.
La mendicité est un phénomène qui s’est irrémédiablement ancré dans la société au point de se banaliser et d’être toléré partout et par tous.
Depuis quelque temps, la ville d’Aïn Beida ne manque plus d’eau et c’est de bon augure. Seulement, là où le bât blesse c’est qu’avec les lâchers d’eau, et tout le monde l’aura remarqué, on assiste à des déperditions d’eau potable.
Durant le premier semestre de l’année en cours, la société de distribution d’électricité et de gaz (Sadeg) d’Oum El Bouaghi a été victime de 91 vols de câbles en cuivre.
C’est l’été. Que faire pour passer les longues journées marquées par la canicule ? La wilaya d’Oum El Bouaghi, dont la population frôle le million d’habitants, ne compte qu’un nombre restreint de piscines et de lieux de farniente et de loisirs.
La deuxième session de l’APW d’Oum El Bouaghi s’est tenue récemment avec plusieurs points à l’ordre du jour, notamment ceux relatifs à l’approbation du compte administratif, du projet du budget supplémentaire pour l’exercice en cours et l’analyse de la situation du secteur de la santé.
Plus d’une fois, les associations environnementales ont tiré la sonnette d’alarme quant aux agressions dont font l’objet les forêts, les pinèdes urbaines, les environnements immédiats des villes. L’association ADDEM, présidée par Mourad Bendada, n’a cessé de dénoncer les perpétuelles agressions qui nuisent grandement à la nature.
Beaucoup d’encre a coulé à propos du barrage de Chababta, un projet hydraulique censé booster le secteur agricole et surtout le maraîchage de la région de Meskiana, dans la wilaya d’Oum El Bouaghi.
Jeudi dernier, les élèves de l’école Loucif Mebarka de la ville d’Aïn Beida ont célébré à leur manière la Journée mondiale qui leur est consacrée, en présentant des saynètes en rapport avec leur âge.
Le coup d’envoi de la campagne moisson-battage a été donné à dans une ferme privée de la région de F’kirina.
Avec la collaboration de l’université Larbi Ben M’Hidi, la cour d’Oum El Bouaghi a organisé une journée dédiée à l’acte de gestion au profit des cadres et commis de l’État.
Il a fallu l’installation de la nouvelle assemblée communale pour réactiver le projet avec un nouveau cahier des charges qui prévoit, entre autres points, de confier les travaux à plusieurs entreprises.
Peut-être est-ce une première, cette visite à un correspondant alité, pas dans une chambre d’hôpital, mais chez lui à Ain Beida. Ammar Saghiri, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est souffrant depuis plusieurs mois. Il est journaliste reporter pour le compte du journal Le National, siégeant à Annaba et dont il assure la couverture des matchs de football.
La société de l’électricité et du gaz d’Oum El Bouaghi (Sadeg) a constaté, après vérification, qu’environ une centaine de clients ont effectué des raccordements illégaux aux réseaux du gaz. Les clients qui s’alimentent directement à partir du réseau sont issus des villes d’Aïn Kercha et Henchir Toumghenni dans la daïra de Aïn Fakroun.
La rue commerçante, portant le nom d’Abbès Laghrour, est prise d’assaut par une faune de commerçants occasionnels, qui squattent tous les trottoirs et même une partie de la chaussée.
C’est pendant le mois de Ramadhan que se multiplient les gestes de solidarité envers les ménages nécessiteux.
Contrairement aux mois de jeûne des années passées, celui de cette année est marqué par l’indisponibilité de certains produits, dont l’huile de table qui se fait rare depuis environ un mois et le lait en sachet que les revendeurs distribuent parcimonieusement avec en sus un sachet de petit lait ou de sorbet.
C’est chose faite. Finalement, le complexe islamique Okba Ibn Nafaâ de la ville d’Oum El Bouaghi vient d’être inauguré au grand bonheur des fidèles.
Kheireddine Belkadi appartient à la nouvelle génération qui s’investit dans le quatrième art. Tout plaide en sa faveur, lui qui a choisi dès le départ de suivre des études en arts dramatiques à l’université d’Oran, cinq années durant, pour se spécialiser dans la mise en scène théâtrale, afin de réussir et réaliser son rêve de toujours. Mais son choix n’est pas fortuit.