La réception du barrage écrêteur de Bouhdid, destiné à protéger la ville d’Annaba des inondations, est attendue pour le mois de juin 2024, a déclaré mercredi la directrice de wilaya des ressources en eau, Djamila Briki.
La lutte contre les différents types de drogues dont les psychotropes et la prévention ont été au centre de deux journées d’étude organisées mardi à Khenchela et Bordj Bou Arréridj durant lesquelles l’accent a été mis sur l’importance des amendements relatifs à la prévention de ce fléau.
Prévus pour une reprise au début de ce mois de juin, les travaux de réhabilitation du téléphérique de Constantine peinent à démarrer réellement, après environ 15 jours de la date annoncée par le ministre des Transports.
On se souvient toujours des dégâts importants causés suite aux violentes intempéries du mercredi 24 mai dernier, dans la localité d’El Djebass, située dans le secteur urbain de Boudraâ Salah, à moins de 5 km de la ville de Constantine.
Tentatives de suicide de deux membres du comité des œuvres sociales de l’APC de Annaba, suivies d’une grève générale des travailleurs et banderoles appelant le président de la République, Abdelamdjid Tebboune, à leur venir en aide.
L’entreprise de l’hygiène et de l’aménagent urbain de la wilaya de Souk Ahras vient de prendre une louable initiative de recyclage des déchets à travers le projet «Reskelni», lancé à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement. L’opération, qui vise à sensibiliser les écoliers pour apprendre les bons gestes et ne pas jeter les déchets dans la rue, a été entamée par la distribution de bacs métalliques pour la collecte des bouteilles en plastique.
Le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels (DFEP) dans la wilaya de Constantine est ciblé par une grande opération d’assainissement, luttant contre toute forme de mauvaise gestion. Est-ce une chasse aux mauvais responsables ?
Après avoir fait couler beaucoup d’encre sur les dépassements signalés dans l’établissement des listes des bénéficiaires, les logements de fonction de l’université de Constantine sont désormais dans le viseur du chef de l’exécutif de la wilaya, Abdelkhalek Sayouda.
Les dernières intempéries qui ont touché la wilaya de Guelma et plus précisément le bassin versant du barrage de Hammam Debagh ont eu un impact positif.
Quel est l’impact d’une unité industrielle comme la cimenterie de Hamma Bouziane sur l’environnement et la santé des citoyens ? Cette épineuse problématique a fait l’objet d’une communication pertinente animée par le Pr Mohamed-Habib Belmahi, doyen de la faculté de génie des procédés à l’université Salah Boubnider, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement.
Comment évaluez-vous le traitement des eaux en Algérie ? Je tiens à préciser qu’en tant que spécialiste en génie chimique, j’ai pris cet axe de recherche, car il est très facile et ne demande pas beaucoup de moyens. Ce que je sais c’est qu’en Algérie, il n’y a aucun problème à signaler dans la production de l’eau potable classique.
Le front de mer de la commune d’El Aouana, dans la wilaya de Jijel, fait l’objet de travaux de réaménagement en prévision de la saison estivale. Lors d’une récente visite sur les lieux, le wali de Jijel, Ahmed Meguellati, a insisté sur l’aménagement des espaces verts et l’exploitation de la partie inférieure de ce front de mer pour en faire des lieux de détente pour les familles.
La circulation dans les artères de la ville de Constantine est-elle devenue un risque pour les piétons ?
Pas moins de 6000 capsules de Pregabaline ont été saisies par la brigade de recherche et d’intervention de Skikda a indiqué, hier, un communique de la sûreté de wilaya.
Entamé au mois de février dernier, après un long retard dans le lancement du chantier, le projet de réalisation d’une trémie à Grarem Gouga a pris les allures d’un casse-tête pour les autorités de la wilaya. Il est devenu même la hantise des habitants et des automobilistes qui craignent énormément d’être confrontés à une situation des plus cauchemardesques si cet ouvrage n’est pas achevé avant la saison estivale.
Beaucoup d’efforts et de moyens sont déployés par l’État algérien pour l’émergence du secteur de l’agriculture, qui vient en deuxième position après les hydrocarbures avec 14,7 % du produit intérieur brut. Mais cela reste insuffisant et loin des objectifs envisagés par les pouvoirs publics, pourtant l’Algérie était nommée à une certaine époque «le grenier de l’Europe». Pourquoi ça ne décolle pas et où réside exactement le problème ?
L’initiative a été prise par l’association Sirius d’astronomie, qui a voulu célébrer d’une manière scientifique la Journée mondiale de l’environnement coïncidant avec le 5 juin, en partenariat avec l’unité de recherche Cerist de la technopole de l’université Salah Bounider, en collaboration avec l’APW, et ce, en lançant une première expérience de master class avec des élèves des CEM, avec pour credo de former des enfants qui seront les ambassadeurs de l’environnement.
Un adolescent est décédé par noyade hier dans une mare au lieudit Oued Karaâ près de la commune de Harmlia (Oum El Bouaghi), a-t-on indiqué dans un communiqué de la direction de la Protection civile.
Le phénomène des points noirs, causant de nombreux problèmes, persiste toujours à Constantine où les services de la Société de l’eau et de l’assainissement (Seaco) de la wilaya ont recensé 117 points. Ce chiffre a été annoncé, hier, par Saber Seraoui, directeur exploitation-assainissement de la Seaco, lors d’une rencontre organisée à la faculté Génie des procédés de l’université Salah Boubnider Constantine 3, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de l’environnement sous le slogan «L’université dans la préservation de l’environnement et la santé».
Les températures extrêmement élevées en période hivernale et les pluies diluviennes en saison printanière ont eu l’effet d’une «douche écossaise» pour les céréaliculteurs de la wilaya de Guelma. Déjà, les dégâts observés suite à la sécheresse qui s’est abattue sur les régions sud de la wilaya sont irréversibles. «Ajoutez aussi les pluies sur un blé mature avant terme et vous aurez une récolte inexploitable même pour alimenter le bétail. Le blé est pourri de la racine à l’épi», ont révélé, hier, à El Watan, des agriculteurs de la région de Guelma visiblement éprouvés par une situation climatologique exceptionnellement dévastatrice.