Cette pièce, inspirée du texte de Claudio Fava et mise en scène par Chiara Callegari, met en lumière les étapes de la vie des juges italiens, Falcone Jovani et Paolo Borsilino, assassinés par la mafia en 1992, a souligné la réalisatrice en marge de la présentation de cette œuvre, produite en 2022.
Pas moins de 15 troupes de théâtrales prendront part à la 54e édition du Festival culturel national de théâtre amateur, qui se tiendra entre le 13 et 18 juillet à Mostaganem, a-t-on appris samedi des organisateurs.
En dépit de la grisaille ambiante en matière de production littéraire et le manque d’engouement pour la lecture qui expliquerait en grande partie cette infécondité littéraire des auteurs de la région qui se prolonge, l’écrivain Abdelkader Tiouti, natif de la région de la Saoura, récidive en publiant son deuxième ouvrage intitulé Abus de patience, après celui qu’il avait publié dernièrement répondant au titre El Maktoub à la destinée.
Présenté en tamazight, au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (TNA) dans le cadre du «Mois du patrimoine», organisé en célébration du Soixantenaire de l’indépendance de l’Algérie, le spectacle a suscité l’adhésion du public relativement nombreux et de la ministre de la Culture et des Arts, qui a salué «un travail accompli et hautement professionnel».
Une nouvelle production théâtrale vient enrichir le paysage de l’art des planches amazighes. Il s’agit de la pièce de théâtre intitulée Hyigh-ad seg ighdan (Renaître de ses cendres) produite à Tizi Ouzou par Rosa Mettef de la boîte audiovisuelle Leyarts Production, écrite et mise en scène par Rachid Bouider. Le sujet traité dans cette production porte notamment sur les violences faites aux femmes.
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a inauguré, samedi à Ain Defla, le théâtre régional Chahid Tayeb Cherif et la salle de cinéma Kawakib, et inspecté l’avancement des projets de réalisation d’importantes structures relevant de son secteur.
Quelque 27 ans après le premier film, Mission : Impossible Dead Reckoning,tourné aux quatre coins du monde, est le premier de la saga à sortir en deux «chapitres» : le premier mercredi, et l’autre, déjà tourné, l’été prochain.
La demeure du luthier, à Crémone, a été restaurée pour devenir un centre de formation et un lieu de pèlerinage pour les férus des quatre cordes.
Les scénaristes sont en grève depuis plus de deux mois, et les acteurs menacent de rejoindre le mouvement social. Mais pour Bret Iwan, le personnage et la narration sont «propres à un interprète, un écrivain, un animateur, un artiste, un créateur».
Sa dernière réapparition à l’occasion de la Fête de la musique n’est pas passée inaperçue. Le spectacle prévu initialement aux Andalouses a finalement eu lieu à l’Institut français d’Oran. Avec le temps, le natif de Sidi Bel Abbes, qui a grandi à Oran, a fini par se frayer une place dans le paysage musical local et ce n’est pas seulement grâce à ses anciennes connaissances. Un public jeune le découvre.
Les associations Hafoudhia de la wilaya de Biskra et Rachidia de Constantine ont conquis le public présent à la maison de la culture M’barek El Mili de Mila à la soirée de clôture vendredi de la 12e édition du Festival national des Aïssaoua.
Accueilli au patio du palais de la culture Moufdi Zakaria, en présence de la ministre de la Culture et des Arts, Mme Soraya Mouloudji, le spectacle qui a drainé un public nombreux, marque les festivités célébrant la Fête nationale de l’indépendance et de la Jeunesse coïncidant avec le 5 juillet.
Un genre à part entière, le film de guerre met en scène l’héroïsme algérien, et ce 5 juillet aura encore été l’occasion de revisiter le glorieux récit national par le cinéma. Mais qu’en est-il de sa qualité cinématographique ?
Producteur et réalisateur diplômé de l’Institut national des arts dramatiques de Bordj El Kiffan, il a produit plusieurs films dont L’Autre monde de Merzak Allouache ou The Murdered sun et Voyage à Alger de Abdelkrim Bahloul et a surtout réalisé et produit Ben M’Hidi, biopic sur le révolutionnaire, qui n’est toujours pas sorti.
L’impérissable souvenir du regretté défunt Bellemou Boualem en talentueux musicien-mélomane surdoué qui fut l’inséparable compagnon des prémices du parcours de Amar Ezzahi dans l’univers patrimonial de la chanson chaâbie.
Le groupe de rock Dzair a donné, jeudi soir à la salle Ibn Zeydoun (Alger), un concert de musique avec un bouquet de ses chansons les plus célèbres et d’autres du patrimoine, en hommage à ses membres récemment disparus Mohamed Lamine Keriche et Redouane Tilmati.
Un appel à participation pour les concours, ouverts aux bédéistes professionnels et amateurs, algériens et étrangers, a été lancé en prévision du 15e Festival international de la bande dessinée d’Alger (Fibda), prévu du 4 au 8 octobre prochain, ont annoncé les organisateurs.
L’écrivain algérien Boualem Sansal est le lauréat, avec la journaliste française Delphine Minoui, de la deuxième édition du Prix littéraire Constantinople.
Un concours des meilleures œuvres de calligraphie arabe a été organisé jeudi à la maison de la culture Hassan El Hassani de Médéa qui abrite la 18e édition de l’atelier national de calligraphie arabe ouvert mercredi.
Accueilli au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (TNA), le spectacle déjà présenté à Laghouat et Biskra a été mis en scène par Chawki Bouzid, sur un texte du poète et dramaturge Lazhar Belefrag, dans lequel un hommage est rendu aux familles martyres de la Révolution, rappelant la sacralité des concepts de la «Patrie» et de la «Liberté».