Aujourd’hui, le paradis des compositeurs s’est réveillé plus heureux: Joao Donato est allé y jouer ses magnifiques mélodies», peut-on lire dans un communiqué publié sur le compte Instagram officiel du musicien.
L’association culturelle Al Manara de Corso (Boumerdès) est entrée, dimanche soir à la maison de la culture, Ould Abdel Rahman Kaki, en compétition du 54e Festival du théâtre amateur avec, Djadb, sa dernière production théâtrale qui traite de l’importance de l’honnêteté, des méfaits de la trahison et de la faiblesse humaine devant les errances et les tentations de la vie.
Dans le cadre d’une série de rencontres organisées jusqu’au 31 juillet à la galerie Frantz Fanon de l’Office Riadh El Feth (Oref) en célébrations du 61e anniversaire du Recouvrement de la Souveraineté nationale, «DixArt» est un des volets de cet événement culturel fédérateur qui met en valeur l’Imaginaire créatif, célébré par des écrivains, poètes, conteur, artistes plasticiens et du monde de la chanson.
Le titre annonce déjà un texte, avec pour ainsi dire, quelques particularités. Du moins cet «esprit insulaire», c’est-à-dire de la solitude et des personnages au caractère bien trempé ; un caractère forgé par une existence recluse à l’instar de tous les habitants des îles. L’auteur, architecte de formation, ne nous offre pourtant pas à lire un roman avec une ossature classique.
Les œuvres de l’artiste peintre Halima Brihoum ont orné durant deux mois les cimaises du centre culturel Bachir Mentouri à Alger. Des œuvres rivalisant de dextérité et de finesse.
Dans le cadre de la 2e édition des Nuits internationales du théâtre du Sahara, prévue du 12 au 18 octobre à Adrar sous le slogan «Le théâtre nous unit», un appel à participation a été lancé. La participation est ouverte pour les offres internationales et nationales jusqu’au 23 juillet 2023.
La deuxième soirée de la 13e édition du Festival culturel international de danse populaire à Sidi Bel Abbes s’est caractérisée, samedi soir, par une ambiance du Festival culturel international de danse populaire à Sidi Bel Abbes.
C’est à son domicile parisien qu’a été retrouvée sans vie une légende du monde contemporain. Fille de Judy Campbell, née en 1946, londonienne d’origine, Jane Birkin était installée en France depuis la fin des années 1960.
C’est de la fiction, mais il aborde l’éducation, la tolérance, la famille, les valeurs…Des sujets à réflexion. Des thèmes qui s’imposent. Synapses du Destin est le titre du recueil de nouvelles de Arezki Annaris, aux éditions Aframed et qui sera présent au Salon du livre prévu à partir du 19 juillet à Takariets, dans la wilaya de Béjaïa.
C’était jeudi dernier que le coup d’envoi de la 14e édition du Festival de la musique et de la chanson oranaise a été donné en présence d’un public nombreux ayant rempli tous les balcons du Théâtre régional d’Oran Abdelkader Alloula.
Les extraits de chansons puisées du répertoire du malouf et du haouzi, interprétés par les jeunes chanteurs constantinois Adel Meghouache, Nazim Lemnouar et Mohamed Amine Bounah, en l’occurrence Houkmek Houkm El Bey, Mendjat Fourgtek Fi Bali et Mahan’ti Oua Ghrami, ont fait voyager le public dans cette ambiance douce et mélodieuse que la musique andalouse crée invariablement. L’assistance a également découvert le chanteur turc Hamdi Demircioglu dont le pays était l’invité d’honneur de cette 11e édition du Festival.
Le cinquième roman de Kaouther Adimi, Au vent mauvais, publié aux éditions du Seuil, revient avec force et détail sur l’histoire de trois Algériens. Leïla, Tarek et Saïd grandissent dans un village de l’est de l’Algérie, au début des années 1920.
La pièce de théâtre L’ombre du rêve, dernier-né de l’association culturelle El Kalima pour les arts de la wilaya de M’sila, a été présenté, dans la soirée de vendredi, au public du 54e Festival national du théâtre amateur de Mostaganem.
Une occasion de découvrir de nouveaux talents et, par-delà, les nouvelles visions préconisées par la nouvelle génération. Les artistes qui optent par exemple pour les installations se comptent sur les doigts d’une seule main, mais Benkablia Faten Zahra n’a pas hésité à franchir le pas avec notamment son œuvre intitulée Pacific.
Comme dans la littérature où la nouvelle est souvent vue comme un genre mineur, le court métrage n’est pas toujours considéré comme du cinéma, vu comme un simple ticket d’entrée au cinéma long, plus noble. Pourtant, de célèbres auteurs, comme l’Argentin Borgès, ont écrit des nouvelles toute leur vie et le cinéma court a une place entière en salle.
Dentiste né en 1983 et enfant de la célèbre Khengat Sidi Naji, il est le scénariste le plus en vue actuellement. Lauréat du concours de scénario organisé par l’Institut du film de Doha, scénariste de la série TV Djemai family, de Ki nsa ki rjal et de Madame Chibania entre autres, il a surtout écrit Aïn el djenna, la série ramadan réalisée par Karim Moussaoui en 2023. Oussama Benhassine termine son court métrage, Desert Rose, fiction très personnelle autour de l’explosion atomique de Reggane en 1960.
RÉSERVÉ AUX FEMMES Dans le cadre de la cinquième édition du Festival international de films de femmes «Regards de Femmes» organisé par la Fédération tunisienne des ciné-clubs (FTCC) du 23 au 27 septembre 2023, une résidence d’écriture et développement de scénario des courts métrages de fiction ou documentaire est ouverte aux cinéastes femmes des pays arabes à Hammamet.
Un public nombreux a fait le déplacement au palais de la culture Moufdi Zakaria pour voir sur scène des talents, confirmés ou en devenir, de l’humour algérien.
Takfarinas, le célèbre showman kabyle, se produira en un concert exceptionnel à Azazga, le jeudi 20 juillet, à partir de 22 heures, au stade communal d’Azazga dans le cadre du Za-One Festival.
Produit dans le cadre du soixantenaire de l’Indépendance par le Centre algérien du développement du cinéma (CADC), sous l’égide du ministère de la Culture et des Arts, en coopération avec une entreprise privée, le film raconte l’histoire d’une famille algérienne, une mère et ses deux enfants, Nacéra et Ibrahim, en pleins bombardements menés par l’aviation de l’armée coloniale française en 1958 dans le village tunisien de Sakiet Sidi Youssef, situé à la frontière algéro-tunisienne.