L’écrivain allemand Martin Walser, une figure de la littérature contemporaine dans son pays, est mort à l’âge de 96 ans, ont annoncé plusieurs médias allemands. Il s’est éteint dans la nuit de jeudi à vendredi à Uberlingen, dans le sud-ouest, où il résidait depuis la fin des années 60, d’après les chaînes de télévision publiques ARD et ZDF ainsi que le journal allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung.
A en croire Gustaaf et Piet Wittevrongel, ce projet «inouï» n’a jamais été aussi près de son but. Depuis juin, le bateau de 20 mètres pesant 40 tonnes a été sorti de son hangar pour les derniers travaux dans la cabine, l’aménagement d’une cuisine. La coque rouge et bleue semble comme neuve et sa première remise à l’eau, maintes fois retardée par les aléas d’un chantier très coûteux, est désormais programmée pour septembre, assurent les deux frères. Le mât est encore à l’horizontale.
L’Institut national supérieur du cinéma, relevant du ministère de la Culture et des Arts, qui ouvrira prochainement ses portes, a annoncé le recrutement prochain de professeurs et d’enseignants dans différentes spécialités du cinéma, a indiqué un communiqué du ministère.
Pour la guerre du feu version DZ, il faut aller chercher loin dans les archives, à l’époque des feuilletons hors ramadhan où il ne fallait pas attendre le sponsoring de Coca-cola pour produire une série. El Harik (L’incendie) de Mustapha Badie, adapté de la trilogie de Mohamed Dib, avait ému les téléspectateurs dans un cinéma en interne sans paillettes, en 10 épisodes, précurseur des miniséries d’aujourd’hui.
C’est avec une grande tristesse que nous annonçons le décès de notre Sinead bien-aimée», a indiqué la famille dans une communiqué publié par la chaîne publique RTE. «Sa famille et ses amis sont dévastés.» O’Connor avait accédé à la célébrité mondiale en 1990 avec le titre Nothing Compares 2 U, écrit par l’artiste américain Prince.
-Le cinéma du réel, ça signifie quoi pour vous ? C’est juste un slogan ou une vraie question ? Le slogan appartient aux politiciens et à aux publicitaires. Non, le cinéma du réel a la capacité de traduire la réalité sociale, politique, culturelle, d’un territoire, d’un pays. Le cinéma du réel révèle, plus que la fiction, le fossé (ou les failles) entre la réalité sociale et le mythe. Le documentaire questionne ainsi les mythes avec des personnages du réel qui sont souvent magnifiques, généreux, sincères et parfois affreux et méchants. Une société a besoin de se regarder, de se voir à l’écran, sans prisme. Nous avons besoin de comprendre nos failles et de produire des images nous-mêmes, sur nous-mêmes. Enregistrer le réel, c’est créer une sorte d’album de famille, un imaginaire aussi et dans le même temps, une mémoire audiovisuelle.
APPEL A PROJETS Le LabMed lance son appel à projet pour 2024, 8 lauréats seront sélectionnés pour participer à une résidence d’écriture de long métrage de fiction. Pour plus de précision, la brochure explicative et le formulaire d’inscription ici : https://www.meditalents.net/lab-med-formulaire-de...
Au cours de la soirée de mercredi dernier, le chanteur, bassiste et fondateur du mythique groupe les Eagles, Randy Meisner s’est éteint à l’âge de 77 ans, à Los Angeles en Californie suite à une maladie pulmonaire.
l Pour des jeunes «bombardés de musique», le jazz vocal classique offre une «pause, un son différent, un voyage vers une autre époque», confie à l’AFP la chanteuse afro-américaine Samara Joy, révélation musicale de l’année aux Grammy Awards.
Après la publication de Djebel Robba, Mythe et Réalité en 2021, l’auteur Ahmed Hamdad revient dans l’univers de l’écriture avec un nouvel ouvrage intitulé Sur les traces de la religieuse Robba, publié aux éditions Imal.
La troupe du théâtre de rue, relevant du Théâtre régional Abdelkader Alloula d’Oran a enrichi les spectacles, lors de sa tournée artistique dans les wilayas d’Annaba, Biskra et Tizi Ouzou.
l Les deux films les plus attendus de l'été tiennent leurs promesses au box-office nord-américain : la poupée «Barbie», précédée d'une intense campagne marketing, a réalisé le meilleur lancement de l'année 2023 avec 155 millions de dollars de recettes durant le week-end, devant le biopic sur le concepteur de la bombe atomique, «Oppenheimer» (80,5 millions).
Fidèle à lui-même, le showman survolté entend célébrer son anniversaire comme il se doit : en organisant une énorme fête dans le sud-ouest de Londres, selon les tabloïds britanniques. Mauvais garçon, sex-symbol ultime, rockstar inégalée : Mick Jagger a défrayé la chronique pendant des décennies, entre provocations, excès et conquêtes.
Un colloque international sur les «crises au quotidien» est prévu pour la rentrée. Organisé à l’initiative de l’unité de recherche en sciences sociales et santé (GRAS), il se tiendra les 25 et 26 septembre 2023 au campus Taleb Mourad Salim, ex-IGMO, Université d’Oran 1. «La double crise socio-sanitaire et économique des deux dernières années (2020-2021) dans le monde a pu révéler son ampleur sociétale.
l Dans sa nouvelle exposition intitulée «Simulacre», le plasticien Yasser Ameur, plus connu sous son nom d’artiste «l’homme jaune», propose pour la première fois un travail alliant la peinture et la réalité augmentée, pour continuer sur sa lancée de questionnements de la dépendance aux réseaux sociaux et aux nouvelles technologies.
l Le mythique groupe Raïna Raï, sous la direction du guitariste Lotfi Attar, donnera un concert, le 27 juillet à partir de 21h, au Théâtre de verdure Laâdi Flici à Alger.
Zora Hamiti, plus connue sous le pseudonyme Houria les Yeux Verts, s’est produite, dernièrement, pour la soirée de clôture du Festival Algé’Rire. Rencontrée, juste avant son spectacle, l’humoriste franco-algérienne nous dévoile davantage sur son personnage et ses projets
Au cœur de la bibliothèque Khalidi à Jérusalem-Est, Rami Salameh s'attelle avec minutie à la restauration de précieux documents historiques palestiniens, offrant un rare aperçu de l'histoire de la ville.
Bachtarzi aux Etats-Unis : le voyage tardif, est le titre du nouvel ouvrage (66 pages) de H’mida Layachi, paru chez Dar El Watan. Préfacé par le romancier Saïd Khatibi, ce récit écrit en arabe met en lumière une portion méconnue de la vie d’un intellectuel éclairé, quelque peu controversé, défenseur de la musique andalou et l’un des noms les plus marquants du théâtre algérien.
Organisé à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaïh à l’occasion du 61e anniversaire du Recouvrement de la souveraineté nationale, ce concert multidisciplinaire s’est déroulé sous la direction artistique de Fatma Zahra Senouci Namous, également directrice de ce bel édifice, dédié essentiellement aux arts de la scène.