Si la filière des mathématiques occupe cette année la première place au classement national du baccalauréat, avec un taux de 78,78%, celle des lettres et philosophie vient, malheureusement, en queue de peloton avec 54,80%. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que cette filière est mal classée.
Le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a ordonné, dans une note adressée aux walis, de geler ou d’annuler tout projet de construction de sièges administratifs pour les Etablissements publics de santé de proximité (EPSP). Des établissements créés par le décret exécutif n°07-14 en 2007. Le motif serait la mise en place prochainement de la nouvelle carte sanitaire conformément à la loi sur la santé de 2018 qui a abrogé celle en vigueur.
Les députés et les sénateurs sont en vacances, et ce, à l’issue d’une première année parlementaire qui n’a pas différé des précédentes législatures. C’est ce jeudi qu’a eu lieu la cérémonie de clôture de la session parlementaire ordinaire 2021-2022 des deux Chambres parlementaires : Assemblée populaire nationale (APN) et le Conseil de la nation.
Les auteurs du numéro spécial du Cread ont expliqué que l’Algérie a fait différents choix d’approche de développement économique visant à mieux la positionner dans l’économie mondiale et régionale.
Un rebond des cas de contamination à la Covid-19 dans plusieurs pays européens, notamment en France, en Allemagne, au Portugal et au Royaume-Uni, entraînés par la propagation des sous-variants de BA.4 et de BA.5.
Il est question d’adapter le contenu du dispositif actuel avec les dispositions de la nouvelle Constitution.
Le moustique tigre s’est installé définitivement en Algérie et a envahi actuellement la majeure partie du nord de notre pays. L’alerte a été donnée hier par l’Institut Pasteur d’Algérie. Selon cet organisme officiel, cette espèce a été signalée pour la première fois en 2010 à Larbaâ Nath Irathen, wilaya de Tizi Ouzou, mais son installation effective n’a été constatée qu’en 2015 dans la ville d’Oran (Aïn Turk).
Le Parti des travailleurs (PT), dirigé par Louisa Hanoune, a célébré hier le 32e anniversaire de sa création, le 29 juin 1990. Dans un discours prononcé en live, via la page Facebook du parti, Louisa Hanoune, dont le parcours singulier la distingue dans le paysage politique algérien, est revenue à cette occasion sur les luttes et les différentes étapes de sa formation politique, comme elle a dressé un état des lieux de la situation qui prévaut dans le pays.
C’est un texte qui introduit un nouveau droit des travailleurs salariés : pouvoir bénéficier d’un congé d’une année extensible à dix-huit mois pour la création d’entreprise.
Le leader de Jil Jadid, Soufiane Djilali, a dévoilé, lors du congrès de son parti, les prémices d’une initiative politique pour la construction d’«une Algérie forte et solidaire».
Le recul des filières mathématiques et math-techniques et de l’enseignement technologique est une réalité reconnue par les autorités du pays. Comment y remédier ? Comment amener les élèves à aimer et choisir les mathématiques ?
Le projet de loi sur l’investissement ne fait pas l’unanimité. Des partis politiques, des experts et des parlementaires réclament l’ouverture d’un large débat autour de ce texte de loi qui présente, selon eux, des incohérences.
Dans l’entretien accordé à El Watan, la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, revient sur l’initiative de «rassemblement» lancée par le président Tebboune et estime que ce projet n’est pas clair, ni dans ses contours ni dans son contenu : «Nous avons entendu le Président annoncer à partir de la Turquie qu’il allait organiser une conférence inclusive : mais inclusive, cela veut dire quoi ? Avec qui ? Inclure qui ? Certains parlent d’une conférence pour le changement. Mais un changement dans quel sens ?» Le pays, selon Mme Hanoune, vit une crise profonde et sans précédent. Le système en place est en crise de décomposition et il aurait dû partir en octobre 1988.
Ce mardi, une plénière était programmée à 9h pour le vote de trois textes de loi ; il s’agit des projets de loi complétant la loi relative aux relations de travail, de celui définissant les règles générales appliquées aux zones franches, et enfin le projet de loi modifiant et complétant la loi relative à la gestion des espaces verts, leur protection et leur développement.
C’est une première dans les annales de la neuvième législature. Le procès de Abdenacer Ardjoune, député du Front de libération nationale (FLN) de la wilaya d’El M’ghaïr, placé sous mandat de dépôt pour son implication dans une tentative de fraude au Brevet de l’enseignement moyen (BEM), a eu lieu finalement hier, comme prévu, au tribunal correctionnel d’El Oued.
A la veille du procès du député, qui passe aujourd’hui devant le tribunal, les parlementaires dénoncent la détention provisoire de leur collègue et réclament sa libération et l’application des dispositions contenues dans la Constitution. Le bureau de l’Assemblée s’est réuni il y a quelques jours et a décidé de saisir par courrier le ministre de la Justice afin de lui demander de procéder à la libération du député pour être jugé par ses pairs.
Kamel Rezig a reçu une salve de critiques de la part de députés, notamment ceux de Jijel et du Sud, qui ont réclamé une commission d’enquête pour faire la lumière sur l’échec qu’a connu le projet de la zone de Bellara ainsi que l’absence d’investisseurs.
Le député Abdenacer Ardjoune du Front de libération nationale (FLN) de la wilaya d’El M’ghaïer, ville située à 650 km au sud-est d’Alger, a été mis en examen et écroué vendredi pour avoir tenté de faire parvenir, via le chef de la brigade de la gendarmerie, une enveloppe contenant des réponses à l’épreuve de mathématiques à sa fille, candidate à l’examen du BEM, qui s’est déroulé du 6 au 8 juin en cours.
Un député du Front de libération nationale (FLN), de la wilaya d'El Mghaier, a été placé ce vendredi 10 juin sous mandat de dépôt par le juge d'instruction de la wilaya d'El Oued.
Le règlement intérieur de l’Assemblée populaire nationale (APN) n’a pas connu de changement depuis 25 ans. Décrié par les parlementaires et longtemps considéré comme obsolète, son amendement est devenu une urgence afin, entres autres, de l’adapter avec les dispositions de la Constitution du 1er novembre 2020.