Mustapha Benfodil
Une véritable opération de destruction massive dans l’enclave assiégée : Plus de 305 000 maisons détruites à Ghaza
Selon le Bureau des médias à Ghaza, l’aviation militaire israélienne a largué depuis le début de l’agression sioniste plus de 52 000 tonnes d’explosifs sur les infrastructures urbaines de l’enclave palestinienne. Ces bombardements intensifs ont détruit plus de 305 000 maisons.
Villes fantômes en solidarité avec Ghaza : Grève générale dans les Territoires palestiniens occupés pour dénoncer les crimes sionistes
Depuis plusieurs jours, un appel à une grève générale mondiale pour ce lundi 11 décembre circulait sur les réseaux sociaux et a été largement relayé par de nombreuses organisations et activistes pro-palestiniens sous le hashtag «#StrikeForGaza» (Grève pour Ghaza).
Acharnement sur la population civile à Ghaza : Veto, massacres et droits bafoués du peuple palestinien
A retenir cette effroyable boucherie commise samedi soir par l'armée d'occupation israélienne et qui a coûté la vie à 37 personnes d’une même famille à Jabaliya, au nord de la Bande de Ghaza. Il s’agit de la famille de Jamal Eddine Salim Abu Aïta, propriétaire d’une laiterie.
Le bilan des attaques de l’armée d’occupation israéliennes s’alourdit à 17 487 morts à Ghaza : Cortèges de chouhada et images humiliantes au 36e anniversaire de l’«Intifadha des pierres»
C’est dans un contexte pour le moins tragique que les Palestiniens commémorent, ce samedi 9 décembre, le 36e anniversaire de la Première Intifadha, baptisée «Intifadhate el hidjara» ou «la révolte des pierres». Celle-ci avait éclaté, en effet, le 9 décembre 1987 et durera près de sept ans, soit jusqu’à la signature des accords d’Oslo le 9 septembre 1993.
Amnesty International appelle l’administration américaine à cesser d’aider Israël : «Des armes fabriquées aux Etats-Unis ont facilité le massacre de familles entières»
A travers le cas de deux opérations militaires exécutées par l’armée sioniste, en octobre dernier, à Deir El Balah, qui ont fait 43 morts au total, et que l’ONG a minutieusement documentées, Amnesty International accuse ouvertement Israël de «crimes de guerre» à Ghaza. L’organisation basée à Londres évoque également la complicité des Etats-Unis dans ces crimes.
Plus de zone sûre dans l’enclave palestinienne dévastée : «Un enfant tué toutes les 10 minutes à Ghaza»
«En moyenne, un enfant est tué toutes les 10 minutes à Ghaza. En ce sens, je pense que nous sommes proches du moment le plus sombre de l’humanité», a déclaré hier le représentant de l’OMS en Palestine, le Dr Rik Peeperkorn.
Agression sioniste contre le peuple palestinien : 15 899 morts à Ghaza !
L’agression sioniste a fait en près de deux mois de bombardements sauvages 15 899 morts et 42 000 blessés selon le ministère de la Santé palestinien à Ghaza.
«Les maladies pourraient tuer plus que les bombardements»
Cinquante-huit jours ! 58 jours sous un tapis de bombes ! 58 jours que Ghaza est sauvagement pilonnée par l’armée sioniste. 15 207 martyrs palestiniens recensés jusqu’à samedi par l’agence Wafa. Plus de 40 000 blessés, dont 70% de femmes et d’enfants. Une gigantesque boucherie, et le massacre continue.
Sixième recensement général de la population (RGPH-2022) du 25 septembre au 9 octobre : Les équipes de l’ONS fin prêtes
Cela fait des mois qu’on en parle, désormais, c’est officiel : le sixième Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH-2022) sera lancé dans quelques jours. L’opération débutera très exactement le 25 septembre prochain et s’étalera jusqu’au 9 octobre.
Au marché Errahma des fournitures scolaires aux Sablettes : Au bonheur des petites bourses
Mardi 6 septembre 2022. 11h05. Nous sommes à la Promenade des Sablettes. Le ciel est couvert. Il fait un temps venteux. Une fraîcheur qui est de bienvenue en ces jours caniculaires. Nous sommes ici pour prendre le pouls du marché Errahma des fournitures scolaires qui a été ouvert le jeudi 1er septembre à la lisière du parc de loisirs.
La détresse des éditeurs de livres parascolaires : «L’état doit soutenir le papier»
A la foire de la rentrée scolaire qui se tient actuellement à la Safex, et qui se poursuit jusqu’au 18 septembre, une trentaine d’enseignes réunies au sein du pavillon Ahaggar proposent gaiement leurs «produits», principalement des ouvrages pédagogiques et didactiques. Le stand le plus prisé est celui de l’ONPS, le géant étatique du livre scolaire qui trône au milieu du pavillon, attirant comme un aimant une foule de parents d’élèves en quête des précieux manuels en prévision de la rentrée.
1ère foire de la rentrée scolaire à la Safex : «Il y a très peu de stands réservés aux fournitures scolaires»
Il y avait comme un parfum de rentrée des classes ce dimanche 4 septembre mais rassurez-vous : la date de la reprise n’a pas été avancée. C’est toujours le 21 septembre. Mais comme nous allions en cette fraîche et brumeuse matinée couvrir (et découvrir) la première « foire de la rentrée scolaire » (d’après son intitulé officiel) qui se tient du 1er au 18 septembre à la Safex, aux Pins Maritimes, nous avions un peu cette impression de matin frissonnant par un premier jour d’école.
Accidents de la route : Les autorités décidées à sévir
Décidément, cet été 2022 aura été l’un des plus sanglants sur nos autoroutes et nos voies rapides. Et l’accident de mercredi dernier, dans la wilaya de Naâma, qui a fait 10 morts et 42 blessés, ne fait que confirmer cette impression angoissante que nos routes ne sont plus aussi sûres, et que prendre le volant vous expose à tous les dangers.
Reprise économique timide, inflation galopante et marché de l’emploi plombé : Quelle rentrée sociale ?
Il n’est pas exclu que le front social entre une nouvelle fois en ébullition comme au printemps dernier, surtout si les revendications des syndicats portant sur l’augmentation des salaires et l’amélioration du pouvoir d’achat des travailleurs ne sont pas satisfaites.
Ecole : l’urgence d’un retour à la normale
On espérait une rentrée scolaire à peu près normale après deux années pénibles dues à la pandémie. Visiblement, ce n’est pas encore gagné. Car, si la situation sanitaire s’est nettement améliorée, beaucoup d’indices laissent entrevoir que cette rentrée 2022-2023 ne sera pas des plus sereines.
Commission mixte d’historiens pour travailler sur la colonisation : Des réserves et des questions
La visite d’Emmanuel Macron a été accompagnée par la décision de création d’une «commission mixte d’historiens» chargée d’étudier l’ensemble de la colonisation française en Algérie, de 1830 à 1962. Dans la «Déclaration d’Alger» qui a scellé les retrouvailles cordiales entre M. Macron et son hôte, le président Tebboune, un volet «histoire et mémoire» a été prévu.
Une commission mixte d’historiens pour se pencher sur la période coloniale : «Vérité» et «reconnaissance» mais sans «repentance»
Comme il fallait s’y attendre, le dossier de la mémoire aura été au centre de la visite officielle d’Emmanuel Macron en Algérie. Ainsi, même s’il est beaucoup question dans les «éléments de langage» du président français de «priorité à la jeunesse», de regard «tourné vers l’avenir», le passé commun entre l’Algérie et la France, comprendre celui lié à la période coloniale, et la possibilité d’engager un travail commun autour de cette question, ont été pleinement abordés au cours de cette visite intense.
Affaire des journalistes tunisiens Nadhir El Guetari et Sofiène Chourabi enlevés en Libye en septembre 2014 : «Nous implorons l’aide du président Tebboune pour faire libérer nos enfants»
Cela fera bientôt huit ans, depuis exactement le 8 septembre 2014, que Sonia Rejeb et Sami El Guetari, deux citoyens tunisiens, sont sans nouvelles de leur fils, Nadhir. L’affaire avait défrayé la chronique à l’époque et continue de susciter aujourd’hui encore une vive émotion.
Macron en mission «apaisement»
Du 25 au 27 août, Emmanuel Macron effectuera une visite officielle de trois jours dans notre pays, avec deux villes au menu : Alger et Oran. Sa dernière visite en Algérie remonte, rappelle-t-on, au 6 décembre 2017, soit il y a cinq ans, et elle n’avait duré qu’une douzaine d’heures.
El Watan et les autres… : Le droit à l’information en danger
Les rédactions, tous médias confondus, ont rarement été aussi fragilisées. Et au-delà des entreprises de presse qui risquent de mettre la clé sous la porte les unes après les autres, et des centaines de travailleurs qui vont se retrouver au chômage dans la foulée, c’est un principe fondamental qui s’en trouve ébranlé : le droit à l’information.
