L’ambassade d’Italie à Alger a publié un nouveau livre intitulé Enrico Mattei et l’Algérie. Un ami inoubliable (1962-2022), imprimé en Algérie pour l’ambassade d’Italie par la maison d’édition Barzakh.
L’essayiste Lydia Haddag vient de publier un ouvrage remarqué La génération du Môle d’Alger paru chez les éditions Casbah. Entretien
La diplomatie mène à tout – et à rien –, mais il faut savoir s’en sortir avec grande classe. C’est le bel et évident exemple donné par Hocine Meghlaoui, ancien diplomate, qui embrasse – fort – une nouvelle carrière littéraire.
Yamina Miri-Aït Abdelmalek a signé son fort intéressant ouvrage intitulé «Six jours sur le plateau du Tassili N’Ajjer» paru chez les éditions El Ibriz, jeudi après-midi à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger.
Les enfants de la «télé» sont orphelins. Les gosses du petit et grand écran sont tristes. Leur mère, leur grand-mère est décédé à 92 ans, dimanche. Cette maman, cette mamie, est la grande comédienne Chafia Boudraâ ayant crevé le petit écran dans les années 1970 avec le feuilleton culte El Harik ( L’Incendie) de Mustapha Badie. Elle a été inhumé le même jour au cimetière El Alia, à Alger.
L’écrivaine Jamila Rahal a signé son roman Tu es plus libre que tes geôliers, paru chez Casbah Editions, samedi après-midi à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger.
Lors du Salon international du livre d’Alger(SILA), s’étant déroulé du 24 mars au 1er avril derniers, à la Safex, aux Pins Maritimes. Une rencontre-débat intitulée «Algérie-Italie, passerelles littéraires», avait été animée et où le verbe intervenir s’était conjugué au féminin pluriel.
Après avoir fait rire et sourire des générations, il les a fait pleurer en s’en allant à 70 ans après un long combat contre la maladie. L’hilarant humoriste Hazim du trio Bila Houdoud, formé avec Mustapha et Hamid, a été inhumé, jeudi, au cimetière de Aïn Beïda, à Oran, où une foule innombrable lui a rendu un émouvant et dernier hommage.
Le Prix Zayed pour la durabilité, premier prix mondial décerné par les Emirats arabes unis (EAU), qui récompense les associations à but non lucratif et celles lycéennes proposant des solutions durables, a officiellement annoncé l’ouverture de l’appel à candidatures 2023.
Des photographes venant d’Alger, Tlemcen, Tiaret, Mostaganem, Constantine, Oran, Jijel et Tizi Ouzou ont posé un certain regard sur la ville de Bou Saada. Et ce, lors de la troisième résidence algéro-européenne des photographes. Un ouvrage collectif compilant leurs œuvres vient d’être édité par la Délégation de l’Union Européenne en Algérie.
La saison III de la série Yemma, réalisée par Madih Belaïd et diffusée par Echorouk TV durant le mois de Ramadhan, est un feuilleton très suivi. Il n’est pas tombé dans l’effet d’ordre et «élastique» rébarbatif. Une saison d’enfer de Dante et une «divine comédie» dans un jeu de rôles où les seconds deviennent les premiers à aller dans un enfer pavé de bonnes intentions.
Le nouveau roman de Yasmina Khadra, intitulé Les Vertueux, paraîtra chez les éditions Mialet-Barrault ayant déjà édité son dernier livre Pour L’Amour d’Elena, en France et bien sûr, paraîtra chez Casbah Editions, en Algérie. D’après la couverture du roman Les Vertueux et la légende de l’auteur, Yasmina Khadra, c’est un roman se déroulant à Oran durant la colonisation française. Yasmina Khadra, de son vrai nom, Mohammed Moulessehoul, est consacré à deux reprises par l’Académie française, salué par des prix Nobel (Gabriel Garcia Marquez, J. M. Coetze, Orhan Pamuk).
Après sa diffusion en exclusivité sur la plateforme de streaming, VOD ( video on demand), la première du genre en Algérie, en 2021, le série Babor Elouh du réalisateur tunisien Nasreddine Shili, repasse sur Echorouk TV, durant le mois de Ramadhan, au grand bonheur des téléspectateurs qui avaient quelque peu été pénalisés par l’effet Netflix. Et Babor Elouh est un succès, ce n’est pas du «réchauffé».
La polémique que soulève le feuilleton «Houb El Moulouk» et les mesures prises par l’ARAV à l’encontre de la chaîne de télévision qui le diffuse relancent une nouvelle fois la question de la liberté de création dans notre pays.
Une des femmes courage ayant marqué le cinéma algérien, la battante réalisatrice Yamina Bachir-Chouikh, autrice de Rachida, Louisa Sid Ammi ou encore Hier... aujourd’hui et demain, est décédée hier matin à l’âge de 68 ans des suites d’une longue maladie.
Une conférence-débat, portant sur la traduction de l’arabe à l’italien et inversement, a été animée à l’espace dédié à l’Italie qui était l’invité d’honneur du Salon international du livre d’Alger s’étant déroulé du 24 mars au 1er avril 2022.
Djillali Khellas, l’auteur algérien qu’on ne présente plus, après la trilogie successive intitulée Zaman El Ghirbane (Le temps des corbeaux), Leilat El Katala (La nuit des assassins) et Horath El Bahr (Les laboureurs de la mer), sort un nouveau roman Aradjoul aladi yaktoub ala rahatihi (L’Homme qui écrivait sur sa main).
Avant-hier, l’espace dédié au Syndicat national du livre (SNEL) a accueilli une communication intéressante et surtout utile pour les exposants et les professionnels du livre en Algérie.
Des historiens italiens se sont relayés en animant une table ronde de haut niveau portant sur «La cause de l’indépendance algérienne en Italie». Une communication plurielle donnée au Salon international du livre d’Alger, dimanche matin.
Tout chercheur en matière de théâtre à propos des années 1970 est invariablement orienté, entre autres sources, vers le mémoire de magistère de M’hamed Djellid, sauf qu’elle demeurait introuvable, mise sous le boisseau pour de spécieuses considérations. Le CRASC vient de rendre justice à feu Djellid en éditant «ce trésor d’intelligence, de minutie, de patience et de persévérance, d’autant qu’il n’a pas perdu de son actualité».