Ce Ramadhan 2022 a signé la reprise d’une vie normale, débarrassée des contraintes liées au dispositif de lutte contre la pandémie, et de facto le renouement avec le «by night d’Oran» qui renaît enfin de ses cendres après deux années chaotiques marquées successivement par un confinement et un couvre-feu.
Le journal El Joumhouria, situé à la rue de l’hôtel de ville, a abrité, hier, une conférence du Haut-Commissariat de l’amazighité (HCA) et cela en collaboration avec l’association Numidia.
Notre ancien collègue d’El Watan, Milagh Mankour Mohamed est décédé, dimanche dernier au soir, alors qu’il était âgé de 68 ans.
Notre collègue de la chaîne Chourouk News, le journaliste Abdelkader Laarayech a été victime, mercredi dernier en fin d’après-midi, d’un tragique accident de la circulation, sur la route de la corniche oranaise, qui l’a emporté de vis à trépas alors qu’il n’était âgé que de 42 ans.
Une campagne de don de sang est prévue ce soir à 21h au Centre de transfusion sanguine (EHU d’Oran) et cela d’autant, déplorent les organisateurs, «que le
Comme chaque année, au mois de Ramadhan, la «fièvre acheteuse» s’empare subrepticement d’un grand nombre de ménages oranais. Cette année encore, en dépit du contexte économique du pays, en dents de scie, les marchés de fruits et légumes, que ce soient ceux du centre-ville, d’El Hamri ou même de la commune de Chteibo, ne désemplissent pas de monde.
Plusieurs évènements culturels, étalés tout le long du mois sacré de Ramadhan, sont programmés à Oran. Une occasion, pour beaucoup, de renouer avec le plaisir de sortir en soirée et apprécier le «by-night» de la cité, après deux années de crise sanitaire, marquées par des confinements et des couvre-feux à répétition.
La 12e édition du salon du tourisme (SIAHA 2022) se tient depuis avant-hier dimanche au Centre des conventions d’Oran Ahmed Benahmed.
28 ans après son lâche assassinat par les sanguinaires intégristes, l’amour et l’engouement que portent les Oranais au grand dramaturge algérien Abdelkader Alloula n’a pas perdu une ride.
Plusieurs activités liées à la sensibilisation sur les droits de la femme et la revendication des droits égalitaires sont prévues et devront s’étaler tout le long du mois de mars.
Les deux réalisatrices Zoulikha Tahar et Rima Kerkebane, en partenariat avec l’Institut Français d’Oran, organisent, aujourd’hui et demain, une série de projections de courts-métrages ayant été réalisés exclusivement par des cinéastes algériennes.
Le théâtre régional d’Oran rendra hommage, aujourd’hui à partir de 14h, au poète algérien Mohamed Sehaba. La rencontre s’articulera autour de plusieurs thèmes qui seront abordés tour à tour par le chercheur universitaire Mohamed Daoud, la psychologue Khadidja Sassi, l’écrivaine Aïcha Bouabaci, le chroniqueur Adnan Hadj Mouri et le poète Yacine Benziane.
Nombre de personnes, que ce soit les habitants de Aïn El Turk et celles et ceux appartenant à la société civile, réclament des autorités qu’elles enlèvent ce mur qui, une fois son implantation achevée, limitera l’accès à la mer et obstruera la superbe vue sur la Grande bleue.
Un conflit fait rage en ce moment entre l’ancien directeur de l’IRFM d’Oran, Mohamed Abbad, (qui a été à la tête de cette institution de 2015 jusqu’à février 2021), et le nouveau, M. Bouatoura, installé depuis mars de la même année.
La Covid-19, par le truchement de ses deux variants, Delta et Omicron, continue de contaminer un nombre considérable de personnes à Oran et de facto à faucher plusieurs vies.
Appelée «Salon d’échanges d’investissements et commerciaux algéro-turc», cette manifestation a pour objectif de booster davantage le partenariat entre les deux pays en relançant les activités économiques bilatérales, et faire, de facto, la promotion de l’échange d’expérience entre l’Algérie et la Turquie.