Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, et le prince héritier saoudien, Mohammed Ben Salmane, ont discuté jeudi à Jeddah des «moyens de développer» les relations entre leurs deux pays, a rapporté l’agence de presse d’Etat saoudienne SPA.
La bataille pour les législatives, les 12 et 19 juin, s’annonce très disputée, alors que la candidate d’extrême droite Marine Le Pen, qui a gagné environ huit points depuis la présidentielle de 2017, a atteint un score historique avec 41,45% des suffrages.
Dimanche 24 avril 2022, à l’issue du second tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron (La République en marche) est réélu président de la République française avec 58,54% des suffrages exprimés pour un second mandat.
Deux associations solidaires avec la cause sahraouie se sont félicitées, hier, de la décision du Comité contre la torture de l’ONU (CAT), portant sur la condamnation du Maroc pour des faits de torture et de mauvais traitements sur le détenu sahraoui du groupe de Gdeim Izik, Mohamed Bourial, soulignant que la libération des prisonniers politiques sahraouis est une décision qui s’impose.
Polémique en Tunisie concernant l’amendement par décret de la loi sur l’ISIE. Les anciens élus dénoncent une mainmise du président Saïed sur l’instance électorale, d’autres assurent que le nouveau décret permet plus d’indépendance qu’auparavant.
Ces déclarations interviennent au lendemain de la visite à Kiev, où ils ont rencontré le président Zelensky, du chef du Pentagone, Lloyd Austin, et du secrétaire d’Etat, Antony Blinken, la première de ministres américains depuis le début du conflit le 24 février.
Des leaders communautaires et des combattants de groupes armés locaux ont entamé des pourparlers au Burkina Faso, avec l’aval de la junte militaire qui a pris le pouvoir dans ce pays confronté à la violence terroriste depuis 2015. Début avril, la junte, qui a renversé le 24 janvier le président élu Roch Marc Christian Kaboré, a annoncé la création de «comités locaux de dialogue» avec des groupes burkinabè n’ayant pas de liens avec Al Qaîda et l’Etat islamique (EI), qui déstabilisent par la violence le Mali, le Niger et le Burkina depuis plusieurs années.
L’action de l’homme sur le climat contribue à un nombre croissant de catastrophes dans le monde, a alerté hier l’ONU, appelant à enrayer cette «spirale d’autodestruction» à laquelle l’humanité fait face.
Les propos du dirigeant nord-coréen sur les armes nucléaires pourraient s’adresser au nouveau président élu de Corée du Sud, le conservateur Yoon Suk-yeol, qui prendra ses fonctions le 10 mai, selon les analystes.
La France est politiquement coupée en trois : bloc central avec un Macron se nourrissant des transfuges de droite et de gauche ; bloc nationaliste d’extrême droite et bloc radical de l’Union populaire dont les électeurs en votant Macron lui ont permis d’être reconduit à l’Élysée.
Nul ne sera laissé au bord du chemin.» «Ce vote m’oblige.» Ce sont les premiers mots prononcés dimanche soir par Emmanuel Macron, réélu avec 58,54% des voix. Il sait que beaucoup d’électeurs n’ont pas voté pour lui ou pour son projet mais pour faire barrage à Marine Le Pen.
L’Ukraine peut, si elle a les «bons équipements», «gagner» la guerre contre la Russie, que Washington souhaite suffisamment «affaiblie» pour qu’elle ne lance plus d’invasion comme celle qu’elle mène depuis le 24 février, a déclaré hier le chef du Pentagone au retour d’une visite à Kiev avec le secrétaire d’Etat américain.
L’armée malienne a annoncé hier la mort de six soldats dans trois attaques simultanées avec des «véhicules bourrés d’explosifs», contre trois camps militaires dans le centre du Mali, des assauts revendiqués par un groupe lié à Al Qaîda.
L’Iran a appelé hier à une réunion «le plus tôt possible» en vue de rétablir l’accord sur le nucléaire conclu en 2015 entre l’Iran et les grandes puissances, alors que les négociations à Vienne sont interrompues depuis le 11 mars.
L’ONU a annoncé, hier, que son secrétaire général, Antonio Guterres, avait assuré au président palestinien, Mahmoud Abbas, la nécessité de préserver et de respecter le statu quo dans les lieux saints d’Al Qods.
Plongé depuis 2012 dans une crise sécuritaire profonde que le déploiement de forces étrangères n’a pas permis de régler, le Mali a connu deux coups d’Etat militaire depuis août 2020.
Ce nouvel appel de l’ONU intervient après qu’une tentative d’évacuation ait échoué samedi, les Ukrainiens tenant les Russes pour responsables de l’échec. Bien que la journée d’hier marquait un jour de fête pour la Pâque orthodoxe, il n’y avait pas de trêve en vue sur les différentes lignes de front dans l’est et le sud du pays.
Le Mauritanien, suspecté à tort de terrorisme et enfermé 14 ans à Guantanamo, dont l’histoire a été racontée dans le film à succès Désigné coupable, a engagé des poursuites contre le Canada, responsable selon lui de sa détention.
Les commémorations du génocide arménien, organisées par des ONG en Turquie, ont repris hier après deux années d’interruption due à la pandémie et à des interdictions des autorités, au moment où Ankara et Erevan tentent de normaliser leurs relations.
L’opposition marocaine à la réunion du Comité Al Qods a mis doublement à nu le régime du makhzen, qui continue à prendre en otage le Comité au profit de ses calculs étriqués, et a dévoilé, également, sa manipulation de la cause palestinienne et des lieux saints.