Avec le conflit en Ukraine, sur le flanc oriental de l’Alliance, Madrid aura du mal à convaincre ses partenaires de l’importance de ce flanc sud.
Les pays du G7 comptent serrer encore l’étau économique autour de la Russie, en réfléchissant à un «mécanisme pour plafonner au niveau mondial le prix du pétrole russe», selon la Maison-Blanche.
Le Soudan a indiqué hier son intention de rappeler son ambassadeur à Addis-Abeba, accusant l’armée éthiopienne d’avoir «exécuté» sept de ses soldats et un civil faits prisonniers, rapporte l’AFP.
Des diplomates des Etats-Unis, d’Israël et de quatre pays arabes ont convenu, hier à Manama, de renforcer la coopération multilatérale et de tenir une réunion ministérielle annuelle, rapporte l’AFP.
J’aurais aimé être parmi les morts»: déjà victimes de bombardements pakistanais il y a deux mois, des habitants de l’est de l’Afghanistan vivent un nouveau cauchemar après avoir été frappés par le séisme.
Réunion aujourd’hui du Conseil de sécurité sur la Libye. Rencontre demain à Genève entre les présidents du Parlement et du Conseil d’Etat, Aguila et Mechri, pour une assise constitutionnelle des élections. Entre-temps, Bachagha et Dbeyba s’arrachent le soutien international !
Le sommet des dirigeants du G7 (Etats-Unis, Japon, Allemagne, Royaume-Uni, Canada, France, Italie) a débuté hier en Bavière au sud de l’Allemagne. Le conflit russo-occidental sur l’Ukraine et ses répercussions occuperont une grande part des discussions.
La principale organisation marocaine de défense des droits humains a réclamé une enquête hier, au lendemain de la tentative d’entrée de près de 2000 migrants subsahariens dans l’enclave espagnole de Melilla, au cours de laquelle 18 personnes ont péri, une «tragédie» sans précédent au Maroc. «Nous appelons à l’ouverture d’une enquête rapide et transparente», a déclaré à la presse Mohamed Amine Abidar, le président de la section de l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) à Nador, dans le nord du Maroc. Une association espagnole a évoqué le chiffre de 60 morts parmi les migrants, 4 décès chez les gendarmes marocains et plus de 700 blessés jugés dans un état grave.
L’ex-chef de gouvernement, l’islamiste Hamadi Jebali, en détention préventive dans une affaire de financements suspects. Tentative d’atteinte à la présidence de la République tunisienne, annoncée par le ministère de l’Intérieur. Entre les faits et les enjeux politiques.
Le président de transition malien, le colonel Assimi Goïta, a promulgué vendredi la loi électorale adoptée il y a une semaine par l’organe législatif, une condition à l’organisation d’élections et à un retour des civils au pouvoir, selon un décret présidentiel rendu public.
L’armée malienne a annoncé, vendredi soir dans un communiqué, avoir «neutralisé» plus de 60 «djihadistes» dans une zone du centre du pays, où récemment plus de 130 civils ont été tués.
Le chef de la diplomatie de l’Union européenne (UE), Josep Borrell, et son homologue iranien Hossein Amir-Abdollahian ont annoncé, hier à Téhéran, la reprise «dans les prochains jours» des pourparlers sur le dossier nucléaire de la République islamique, rapporte l’AFP.
Mises à mal par la puissance de feu russe, les forces ukrainiennes fondent désormais leurs espoirs sur l’arrivée d’armements lourds réclamés sans relâche aux alliés occidentaux, comme les lance-roquettes multiples américains Himars, dont Kiev a annoncé l’arrivée jeudi en prédisant que «l’été sera chaud pour les occupants russes».
Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra, s’est entretenu, mercredi, avec son homologue de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), Mohamed Salem Ould Salek, des derniers développements au Sahara occidental et les efforts déployés pour la reprise du processus onusien en vue de sa décolonisation.
L’urgence est grande pour les plus fragiles : les personnes âgées et les enfants. L’ONG Save the Children a estimé jeudi que plus de 118 000 enfants étaient touchés par la catastrophe.
Le prince Charles a affirmé, hier à Kigali, en ouverture de la réunion des dirigeants du Commonwealth, que les Etats membres étaient libres d’abandonner le giron de la monarchie et a exprimé sa «tristesse» pour le passé esclavagiste de la Grande-Bretagne.
Le ministère de l’Intérieur en Tunisie a affirmé hier que le président Kaïs Saïed faisait l’objet de «menaces sérieuses» contre sa personne, dans un pays en proie à une crise politique depuis que le chef de l’Etat s’est arrogé les pleins pouvoirs.
Trois membres des Brics, à savoir la Chine, l’Inde et l’Afrique du Sud, se sont abstenus lors du vote d’une résolution de l’Onu condamnant l’intervention de la Russie en Ukraine. Pékin et New Delhi, notamment, ont des liens étroits avec Moscou et lui achètent des quantités croissantes de pétrole.
Le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane est arrivé hier à Ankara pour sa première visite officielle en Turquie, rapporte l’AFP. Visite qui ouvre une nouvelle ère dans les relations turco-saoudiennes, empoisonnées par l’assassinat, fin 2018, à Istanbul du journaliste Jamal Khashoggi.
Plus jamais de pouvoirs en compétition en Tunisie ; ils sont tous au service du peuple dans le cadre d’un Etat uni. C’est ce qu’annonce le projet de la nouvelle Constitution, finalisé par la commission consultative.