L'opération militaire russe déclenchée dans la nuit de mercredi à Jeudi a provoqué de vives réactions de condamnation dans plusieurs capitales occidentales.
C'est durant la nuit de mercredi 23 à jeudi 24 février que le président russe Vladimir Poutine a annoncé le début de l’attaque militaire contre l'Ukraine.
Des internautes ont publié sur les réseaux sociaux les noms de jeunes Sahraouis enlevés par les forces marocaines, dont l’ancien prisonnier politique Rachid Asseghir, suite à leur participation à des manifestations et marches pacifiques quotidiennes.
La Chine a fustigé hier les comparaisons «insensées» établies par la présidente taïwanaise, Tsai Ing-wen, entre la situation de l’Ukraine et de l’île de Taïwan, que veut récupérer Pékin, rapporte l’AFP. «Le fait que les autorités taïwanaises montent en épingle la question ukrainienne» et fassent mine de s’alarmer de la situation «est insensé», a réagi une porte-parole de la diplomatie chinoise, Hua Chunying. «Taïwan n’est certainement pas l’Ukraine. Taïwan a toujours été une partie inaliénable du territoire chinois. C’est un fait historique et juridique irréfutable», a-t-elle déclaré devant la presse.
Un peu plus tôt dans la journée, le président russe, Vladimir Poutine, a mis l’accent sur le caractère «non négociable» des intérêts et de la sécurité de son pays, tout en se disant disposé à trouver des «solutions diplomatiques» dans la crise avec l’Ukraine.
Les membres du groupe parlementaire britannique pour l’amitié avec le peuple sahraoui ont renouvelé leur soutien à la lutte des Sahraouis pour son indépendance et se sont engagés à continuer de travailler au sein du Parlement britannique pour défendre sa cause.
La tension monte entre la Russie et les pays occidentaux sur l’Ukraine : outre les condamnations, ces derniers ont annoncé hier les premières sanctions contre Moscou suite à la reconnaissance, la veille, par le Kremlin des deux provinces indépendantistes de l’est de l’Ukraine.
Le médiateur ouest-africain pour le Mali a appelé hier à une transition démocratique dans «les plus brefs délais», au lendemain de l’approbation d’un plan permettant à la junte militaire de rester au pouvoir pendant 5 ans.
Les programmes du Fonds monétaire international (FMI) en Somalie pourraient s’arrêter dans trois mois en cas de nouveau retard dans les élections, a déclaré l’institution, qui a entamé hier une mission dans cet Etat pauvre et instable de la Corne de l’Afrique.
Près de 600 migrants ont été secourus, durant la nuit de lundi à mardi, en haute mer, à environ 100 km de la Sardaigne, ont annoncé les gardes-côtes italiens qui ont également récupéré le corps d’une personne décédée.
Le Premier ministre libyen en exercice, Abdelhamid Dbeyba, récemment écarté par le Parlement, a réaffirmé lundi qu’il ne céderait le pouvoir qu’à un gouvernement élu et annoncé des élections législatives avant fin juin. Déjà minée par les divisions entre institutions concurrentes à l’Est et à l’Ouest, la Libye s’est retrouvée avec deux Premiers ministres rivaux à Tripoli, après avoir manqué l’échéance électorale cruciale de décembre.
Annonçant faire de la lutte contre la corruption une priorité, les militaires ont arrêté plusieurs hommes et femmes politiques, dont l’ex-Premier ministre Soumeylou Boubeye Maïga.
M. Ould Salek a assuré que «le Front Polisario et le peuple sahraoui sont déterminés à lutter pour leur droit jusqu’au bout». «Cela prendra le temps qu’il faudra, mais nous lutterons pour nos droits par tous les moyens légitimes, y compris la lutte armée, conformément à la légalité internationale», a-t-il ajouté.
Khartoum a dénoncé, tard lundi, la décision «unilatérale» de l’Ethiopie de lancer la production d’électricité de son grand barrage de la Renaissance sur le Nil, se plaçant sur la même ligne que l’Egypte dans le conflit pour l’eau entre les trois voisins.
Le 13 novembre 2013, l’Ukraine refuse de signer l’accord d’association avec l’Union européenne (UE). De son côté, la Russie propose à Kiev une assistance financière de 15 milliards de dollars et la réduction du prix du gaz pour l’intégrer dans sa sphère d’influence.
Les autorités et les secours à Madagascar sont entrés dans une «course contre la montre» pour protéger l’île avant l’arrivée d’Emnati, le quatrième cyclone en un mois, a prévenu l’ONU en appelant à l’aide internationale.
La participation de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) au sommet de Bruxelles, ayant regroupé les dirigeants européens et africains, «est une grande victoire diplomatique et politique», vu les dimensions qu’elle porte quant à la consécration de la République sahraouie en tant que «réalité indéniable», a souligné Oubi Bouchraya El Bachir, membre du secrétariat national du Front Polisario chargé de l’Europe et de l’Union européenne (UE).
Le Kremlin a jugé hier «prématuré» un sommet entre le président russe, Vladimir Poutine, et son homologue américain, Joe Biden. «Parler de plans concrets d’organisation de sommets est prématuré», a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, selon l’AFP.
Sept accords de coopération bilatérale ont été conclus hier entre la République démocratique du Congo (RDC) et la Turquie dans les domaines sécuritaire et économique au terme d’une brève visite du président turc, Recep Tayyip Erdogan, à Kinshasa, selon l’AFP citant des sources officielles. «Nous avons mutuellement réaffirmé notre volonté de développer la coopération bilatérale» et, au total, «sept accords ont été signés entre la Turquie et la République démocratique du Congo», a indiqué le président Erdogan sur Twitter.
Des milliers de Marocains ont manifesté dimanche dans 51 villes du pays, dont la capitale Rabat, pour dénoncer la hausse des prix des produits de consommation et du carburant et la politique du makhzen, a rapporté hier l’APS.