46 modifications introduites au projet de la Constitution tunisienne du 30 juin; précisions et corrections sans toucher au fond ; le président Saïed attaché à un régime présidentiel fort, ne permettant même pas le moindre contrôle de son pouvoir.
Des milliers de femmes, d’hommes et d’enfants se ruent dans l’imposante demeure. Certains font la queue pour s’asseoir sur la chaise du président Gotabaya Rajapaksa à l’étape supérieur, pendant qu’au rez-de-chaussée, des enfants – et leurs parents – tapent à qui mieux mieux sur les touches d’un piano à queue.
Le Japon était sous le choc samedi, au lendemain de l’assassinat par balles de son ancien Premier ministre, Shinzo Abe, pendant un meeting électoral à Nara, dans l’ouest du pays, où la police a reconnu des failles «indéniables» dans la sécurité.
Deux jours après l’annonce de la démission de Boris Johnson, neuf députés conservateurs sont désormais lancés pour lui succéder. Dernière à se lancer hier matin : la secrétaire d’Etat au Commerce international, Penny Mordaunt, 49 ans. Cette ancienne réserviste de la marine, qui a été la première femme à occuper le poste de ministre de la Défense en 2019, a insisté sur la nécessité que le débat public «tourne un peu moins autour du leader», pour se concentrer sur le «navire».
Quelque 1500 pompiers tentaient hier de venir à bout de trois feux de forêt et de broussailles faisant rage depuis plusieurs jours dans le centre et le nord du Portugal, placé par le gouvernement en «état de contingence» en raison des températures caniculaires.
Le président tunisien, Kaïs Saïed, a défendu hier son projet de Constitution controversé face aux accusations de dérive autoritaire, après avoir été désavoué par le juriste à qui il en a confié la rédaction.
Le Front Polisario a fait état hier de l’interdiction par l’occupant marocain à l’envoyé personnel du secrétaire général de l’Onu pour le Sahara occidental, Staffan de Mistura, d’effectuer sa première visite dans les territoires sahraouis occupés.
L’émissaire des Nations unies pour le Sahara occidental, Staffan de Mistura, était à Rabat hier pour rencontrer des responsables marocains, mais a renoncé à une visite prévue dans le territoire disputé, a indiqué l’ONU, selon des propos recueillis par l’AFP. «L’envoyé personnel du secrétaire général pour le Sahara occidental se trouve à Rabat afin de rencontrer des officiels marocains», a déclaré à New York le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric. «Il a décidé de ne pas procéder à une visite au Sahara occidental pendant son voyage, mais il espère le faire lors de prochaines visites dans la région», a-t-il ajouté.
Des manifestants se sont de nouveau rassemblés à Tripoli dans la nuit de dimanche à hier pour protester contre la détérioration des conditions de vie en Libye, symbolisée par des coupures chroniques d’électricité, rapporte l’AFP. Des rassemblements épars ont eu lieu dans plusieurs quartiers de la capitale.
Décidées à durcir leur bras de fer avec les généraux qui tiennent désormais seuls le pouvoir et dominent de longue date l’économie, les Forces pour la liberté et le changement (FLC), colonne vertébrale du gouvernement civil limogé lors du putsch, ont appelé à «une coordination unifiée» des sit-in et des manifestations «partout au Soudan».
Au moins 27 personnes ont été tuées ce week-end au Burkina Faso, lors de deux attaques distinctes de djihadistes présumés, qui ont visé des civils dans le nord et le nord-ouest du pays, ont indiqué hier des sources sécuritaire et locale, relayées par l’AFP.
La journaliste américano-palestinienne Shireen Abu Akleh, tuée le 11 mai en Cisjordanie occupée, a «vraisemblablement» été victime d’un tir depuis une position israélienne, les experts américains n’ayant «aucune raison» de croire qu’il s’agissait d’un tir intentionnel.
Le Président a immédiatement signé un décret convoquant un référendum pour le 4 septembre. En cas de rejet, la Loi fondamentale actuelle, datant de l’époque de la dictature d’Augusto Pinochet (1973-1990), restera en vigueur.
Les autorités iraniennes ont annoncé hier la fermeture des administrations publiques et des écoles dans les provinces de Téhéran et d'Alborz en raison de la pollution provoquée par une tempête de poussière.
Quatre personnes ont été blessées samedi par un engin explosif de faible puissance dans un marché de la capitale camerounaise Yaoundé, a annoncé hier le gouvernement.
Les trente pays membres de l’Otan lanceront aujourd’hui le processus de ratification pour les adhésions de la Suède et de la Finlande, rapporte l’AFP. «Les alliés signeront les protocoles d’adhésion de la Finlande et de la Suède mardi», a annoncé hier l’Alliance dans un communiqué.
La session est ouverte mais sans représentant officiel des trois principaux concernés : le Mali, le Burkina Faso et la Guinée.
Contestations du doyen Sadok Belaïd et du constitutionnaliste Amine Mahfoudh à propos de la version publiée par le président Saïed du projet de la Constitution. Il n’institue pas un régime démocratique. Risques de dérapage autoritaire !
Le président (maire) de Melilla, Eduardo de Castro, a indiqué que le Maroc essayait d'effacer les preuves de la tragédie ayant conduit à la mort d'au moins 23 migrants d'origine africaine, brutalement tués par la police marocaine alors qu'ils tentaient d'entrer dans l'enclave espagnole depuis la ville de Nador.
La veille, les discussions menées par les présidents des deux Parlements rivaux libyens à Genève se sont achevées sans résultat tangible pour permettre de relancer le processus électoral, a déclaré la conseillère de l’Onu pour la Libye.