Selon l’ONS, la croissance demeure faible et continue d’être dépendante du rythme de l’activité dans le secteur des hydrocarbures. Durant le troisième trimestre, l’activité hydrocarbures, encouragée par des prix du brut très favorables, s’est élevée à 14,1%. Les autres secteurs ont par contre connu un faible niveau de reprise.
La rénovation des raffineries du nord du pays, situées à Arzew, Skikda et Alger, a permis, depuis 2020, au groupe Sonatrach de produire en quantités suffisantes et de mettre fin, dès 2021, à l’importation de carburants.
La Banque mondiale vient de rendre public un rapport sur le «développement dans le monde en 2022 : la finance au service d’une reprise équitable» post-pandémie.
Face à la montée au créneau des boulangers, qui disent ressentir durement les effets de la crise économique, le président de la République a annoncé la suppression de l’impôt sur le chiffre d’affaires, ce qui devrait alléger leurs peines.
La croissance économique de l'Algérie a atteint 3,4% au 3ème trimestre 2021 par rapport à la même période de l'année 2020, a appris mercredi 16 février l'APS auprès de l'Office national des statistiques (ONS).
La facture d'importation du carburant a baissé en Algérie de 1,7 milliard de dollars en 2021, a indiqué mercredi 16 février à Alger, le vice-président "Activité Raffinage et Pétrochimie" à la compagnie nationale des hydrocarbures (Sonatrach), Batouche Boutouba.
Les prix des produits alimentaires, allant de la pomme de terre jusqu’à la viande, féculents et produits agroalimentaires, flambent. Les taxes imposées dans le cadre de la loi de finances 2022 contribuaient fortement à cette hausse vertigineuse qui pousse vers le fond le pouvoir d’achat des familles algériennes. Est-ce l’unique raison ? Selon les experts du marché, la réponse est négative. Les mandataires, premiers intervenants après les agriculteurs, dénoncent l’absence de stratégie d’approvisionnement du marché et surtout le manque de moyens de régulation.
En crise et lourdement impactée par les retombées de la pandémie, la filière ciment, dont la consommation a fortement chuté ces deux dernières années avec le recul de la commande publique, a tenté de se redresser en redéployant les efforts sur le marché international.
Les objectifs à atteindre sont la satisfaction des besoins quotidiens des citoyens, la réduction de la facture d’importation et atteindre l’autosuffisance en la matière.
Une allocation chômage, d’un montant de 13 000 DA, sera octroyée mensuellement aux chômeurs à partir du mois de mars 2022, a déclaré le président de la République lors de sa rencontre périodique avec des représentants de la presse.
Désormais, les autorités locales sont appelées à trouver d’autres ressources financières pouvant relancer les projets d’investissement. C’est ce qu’a laissé entendre, hier, le médiateur de la République, Brahim Merad, à l’occasion d’une rencontre avec des porteurs de projets dans la wilaya de Bouira.
Les projets avaient été annoncés lors de la tenue, le 25 juillet 2021, du Conseil des ministres. Le président de la République avait alors ordonné «le lancement, dans les plus brefs délais, de projets de dessalement d’eau de mer dans l’est, l’ouest et le centre du pays».
Le décret fixant les nouveaux prix d’achat des céréales par l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) auprès des producteurs, dans le cadre du développement de la production nationale, a été publié dans le dernier Journal officiel (n° 9).
Un navire de dépollution construit localement (60% de taux d'intégration) par l'Entreprise de réparation navale (ERENAV) relevant du groupe algérien de transport maritime (GATMA) a été livré mardi 15 février au port d'Alger
Le décret fixant les nouveaux prix d'achat des céréales par l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) auprès des producteurs dans le cadre du développement de la production nationale a été publié dans le dernier journal officiel (n°9).
Un mois et demi après l’entrée en vigueur de la loi de finances 2022, où sont contenues de nouvelles mesures de fiscalité visant à renflouer les caisses de l’Etat, ce dernier décide de faire machine arrière pour annuler ou geler certaines dispositions fiscales.
La décision de surseoir à l’application de certaines taxes touchant des opérations de commerce électronique, prévues dans la LF-2022, notamment les articles 135, 136, 137 et 138, parait surprenante, mais obéit à une nouvelle évaluation de la situation économique du pays, d’une part, et aux conditions d’application des mesures en question, d’autre part.
«Le gouvernement est appelé à prendre toutes les mesures et appliquer les procédures visant à faire éviter aux citoyens l’impact de la flambée vertigineuse des prix sur les marchés internationaux.»
Il faut impérativement revoir à la baisse les taux de taxation actuels en droits et taxes appliqués aux ordinateurs personnels et d’autres équipements informatiques essentiels (switch et routeurs, serveurs…) qui se trouvent actuellement à un niveau excessif.
Il est question, comme ne cessent de le souligner les économistes et les chefs d’entreprise, de prendre en charge efficacement tout ce qui est en lien avec l’écosystème de l’investissement. Ce qui n’est pas le cas. On en est encore à la phase d’évaluation des potentialités d’investissement des filières industrielles et des opérations d’audit des entreprises publiques.