L’OPEP lance le World Oil Outlook (WOO 2024), anticipant une demande mondiale de pétrole supérieure à 120 mb/j à l’horizon 2050, tout en appelant à investir 17,4 milliards de dollars dans l’industrie pétrolière à cette échéance, contre 14 milliards de dollars prévus d’ici 2045, l’année dernière. «Il n’y a pas de pic de demande de pétrole à l’horizon», écrit le secrétaire général de l’Opep, Haitham Al Ghais, dans l’avant-propos du rapport.
La Société des ciments de Ain Touta, wilaya de Batna (Scimat), relevant du Groupe industriel des ciments d’Algérie (GICA), a exporté 60 000 tonnes de clinker depuis le début de l’année en cours, a indiqué hier son président-directeur général (PDG), Maamar Bahloul.
La société algéro-turque Tosyali a mis en service sa nouvelle usine de séparation directe de fer (Direct Reduced Iron - DRI), la plus grande en Afrique et dans la région méditerranéenne d’une capacité de production de 2,5 millions de tonnes par an.
Les actifs de l’industrie des services financiers islamiques ont augmenté de 4%, pour atteindre 3380 milliards de dollars en 2023, selon un rapport publié par l’organisation Islamic Financial Services Board (IFSB).
Le président-directeur général du groupe italien de l’énergie ENI table sur un baril à 80 dollars dans les prochains mois. Claudio Descalzi, en marge d’une conférence sur l’énergie en Italie, a déclaré s’attendre à un prix du baril de pétrole se situant à 80 dollars, et un prix du gaz naturel à 30 euros par mégawatt heure en Italie.
Les analyses montrent que les revenus tirés du pétrole sont principalement perçus par les principaux pays consommateurs, via la fiscalité souligne Haitham Al Ghais, secrétaire général de l’OPEP.
Les cours du pétrole se sont redressés, hier, après les mesures de soutien à l’économie annoncées en Chine, la baisse des taux de la Fed et la persistance des tensions au Proche-Orient.
Aux mains d’une poignée d’Etats, d’entreprises et d’individus, l’intelligence artificielle «peut aggraver le risque de la fracture et les inégalités numériques», affirme un nouveau rapport de l’Organisation des Nations unies.
Les investissements de la branche d’investissement privé de la Banque mondiale (BM) ont atteint le chiffre record de 56 milliards de dollars au cours de l’exercice financier qui s’est achevé fin juin. C’est ce qu’a rapporté, hier, l’agence Reuters citant le directeur général de la Société financière internationale (SFI), Makhtar Diop.
Le chef de la Division de la finance islamique (DFI) au Crédit populaire d’Algérie (CPA), Sofiane Mazari, a annoncé que la banque a réussi à drainer plus de 44 milliards de dinars d’épargne des clients dans le cadre de la finance islamique, tandis que les financements avec la même formule ont atteint près de 7 milliards de dinars.
Les prix de l’or se sont maintenus hier à plus de 2627 dollars après avoir atteint un niveau record lors de la séance précédente, suite aux commentaires globalement rassurants des responsables de la Réserve fédérale américaine. Le cours de l’or au comptant était stable à près de 2627,43 dollars l’once, après avoir atteint un record de 2635,29 dollars lundi.
Selon un rapport publié mardi par l'assureur Allianz, le patrimoine financier mondial des ménages devrait continuer à croître de 6,5% en 2024, après une forte hausse de 7,6% en 2023.
Le marché boursier algérien s’apprêterait à accueillir un acteur majeur. Selon des sources concordantes, l’introduction en Bourse de Djezzy serait imminente. Bien que l’information n’ait pas encore été officiellement confirmée, les indices s’accumulent.
La Compagnie centrale de réassurance (CCR) a réalisé un chiffre d'affaires en nette progression de 14,6% en 2023, à 46,5 milliards de dinars contre 40,6 milliards de dinars enregistré durant l'exercice précédent.
Les prix du pétrole ont entamé la semaine de cotation en nette hausse, dans une sillage des tensions géopolitiques au Moyen-Orient, la baisse des taux d’intérêt et la baisse de l’offre de brut aux Etats-Unis et de l’annonce de la Chine, premier importateur de pétrole au monde, qui prévoit de nouvelles mesures de relance pour son économie.
Monnaies : l'euro et la livre reculent face au dollar L'euro et la livre reculent fortement hier dans la foulée de la publication d'indices d'activité en baisse dans la zone euro et dans divers pays européens, ainsi qu'au Royaume-Uni, montrant un ralentissement de l'activité. L'euro perdent 0,51% face au billet vert, à 1,1105 dollar pour un euro, et se replient de 0,23% face à la livre, à 83,60 pence pour un euro. La livre faiblit également de 0,28% à 1,3284 dollar. Sapée par la fin de l'effet Jeux olympiques en France, l'activité du secteur privé s'est contractée en septembre dans la zone euro pour la première fois depuis sept mois, selon l'indice PMI Flash de S&P Global, à 48,9, contre 51 en août. Cet indice, calculé sur la base de sondages d'entreprises, indique une expansion de l'activité au-dessus de 50, tandis qu'une valeur en dessous de ce seuil signale une contraction.
Les Bourses mondiales évoluent sans grand changement hier, espérant l'annonce prochaine de potentielles mesures de soutien à l'économie chinoise après la baisse d'un taux directeur de la Banque centrale chinoise et l'annonce d'une conférence de presse pour aujourd’hui de son gouverneur.
La Caisse régionale de mutualité agricole (CRMA) à Skikda projette la conclusion de plus de 300 contrats d’assurance agricole «avant la fin de l’année 2024», a indiqué hier son directeur, Hamza Hannachi.
Le fabricant suédois de batteries pour véhicules électriques Northvolt a annoncé le 23 septembre la suppression de 1600 emplois, soit plus d'un quart de ses effectifs, pour faire face à des difficultés financières et à une baisse de la demande.
Les exportations de GNL de l’Algérie ont connu une nette augmentation ce mois-ci, dans le sillage, d’une part, de la stratégie de Sonatrach de conforter sa place sur le marché du GNL, et d’autre part, et de la compensation de la baisse des flux par gazoduc depuis quelques jours, vers l’Espagne, en raison de la maintenance annuelle sur la partie sous-marine du Medgaz.