Les services de la Gendarmerie nationale ont démantelé un réseau à Alger exploitant des mineurs dans la vente de boissons alcoolisées sans autorisation, dans le cadre d’une opération qui a été soldée par l’arrestation de trois individus et la saisie de 2400 unités de boissons alcoolisées, a indiqué mercredi un communiqué de ce corps constitué.
Un phénomène qui devient de plus en plus visible, même au centre-ville, bien que l’espace public soit régi par des lois.
L’arrêté introduit par les autorités compétentes pour la régularisation des constructions inachevées n’a pas encore donné de résultats probants.
Des parties d’immeubles complètements dégradés, présentant un sérieux risque d’effondrement menacent la vie de milliers de citoyens aux marchés populaires de la Nasse Casbah.
La commune de Réghaïa est dotée d’un marché couvert de fruits et légumes qui compte plusieurs étals. Néanmoins, cette structure commerciale ne peut à elle seule résorber le problème du commerce informel.
En haut lieu, l’Etat ne cesse de prôner un discours rassurant quant à la nécessité de préserver les terres agricoles, mais sur le terrain, la réalité est tout autre. La betonisation à outrance et le massacre des terres des plus fertiles ne cessent malheureusement de constituer un crime omniprésent et qui semble durer dans le temps, encouragé par l’indifférence des autorités locales.
Plusieurs nouvelles cités, toutes formules confondues, accusent un manque flagrant en commodités. Un constat largement partagé par les nouveaux acquéreurs de logements dans la banlieue d’Alger.
Samedi en fin de soirée, un affrontement entre deux gangs à Sidi Madani, dans la commune de la Chiffa, a failli provoquer le pire. En effet, les habitants de cette localité, particulièrement ceux de la cité des 162 logements ont assisté à une guerre entre deux gangs pour une histoire de «territoire et de commercialisation de drogues, essentiellement les psychotropes», nous dit-on.
Le projet de réfection des trottoirs à la rue Didouche Mourad, au centre de la capitale, suscite le mécontentement des piétons en raison de la lenteur des travaux.
A Bordj El Bahri, seuls quelques commerçants ont rejoint le marché de proximité au quartier les Ondines.
A la cité Kaiti dans la commune de Staouéli, il existe une salle de soins, qui ne peut à elle seule répondre à tous les besoins exprimés par les habitants.
Les squatteurs de la bande côtière font de la résistance sur les plages en l’absence de brigades de surveillance permanente sur les lieux.
Une session de formation au profit des parents d’élèves aux besoins spécifiques pour leur permettre d’assurer une communication continue avec les équipes pédagogiques en charge de cet enseignement spécialisé a été lancée au centre psychopédagogique pour enfants handicapés mentaux de Bologhine.
Des logements sociaux ont été squattés ces derniers jours dans la localité de Sidi Bennour, commune de Mahelma. Les appartements en question sont à l’abandon depuis plusieurs années. Ils avaient servi de résidence universitaire, avant que les étudiants ne soient affectés dans d’autres cités. Le nombre d’appartements occupés illégalement avoisine les 200, croit-on savoir.
Quelque 300 souscripteurs pour le logement participatif à Bordj El Bahri attendent la réalisation de leurs logements depuis mars 2013.
Le complexe touristique de Sidi Fredj, qui compte cinq hôtels, à savoir El Marsa, El Manar, El Riadh, Azur Plage et la Résidence Marina, dispose de 2298 lits et de plusieurs structures de loisirs et de divertissement.
La brigade de lutte contre le trafic illicite de stupéfiants et de substances psychotropes de la 1re circonscription de la Police judiciaire d’Alger a démantelé un réseau criminel spécialisé dans le trafic de drogues dures, a indiqué mardi un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN).
Une situation qui devait, au départ, être provisoire pour ne durer que quelques mois, en raison, avait-on dit aux concernés, «d’évaluation du terrain au niveau des Domaines.
Une convention de partenariat a été signée, mercredi à Alger, entre l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediène (USTHB) et l’Entreprise Métro d’Alger (EMA) dans l’objectif de renforcer la coopération dans les domaines de la formation et la recherche scientifique.
Lors de l’organisation de la 2e édition de «Start-up day», au niveau des espaces de l’ENSCRBC (école nationale supérieure de conservation et de restauration des biens culturels) de Tipasa, selon les affirmations de l’un des responsables d’une start-up, Benmokadem Firaz, qui est également l’un des organisateurs et animateurs de l’événement, «la start-up dans la wilaya de Tipasa est confrontée aux difficultés, dont celle inhérente au financement nous dit-il.