Le plastique est omniprésent dans notre environnement. Ce qui n’est pas sans conséquences sur l’environnement ainsi que sur la santé. En effet, ce produit, qui est en continuelle interaction avec l’environnement des individus, finit par s’infiltrer dans le corps humain, et cela, soit par ingestion, inhalation ou contact direct. D’ailleurs, de plus en plus de microparticules plastiques sont retrouvées dans le corps humain. Et les effets sur la santé peuvent être divers. L’environnement n’est pas épargné non plus. Il subit les conséquences de la croissance exponentielle de la production mondiale du plastique de plein fouet. Sachant que la production mondiale de plastique a explosé passant de 2 millions de tonnes en 1950 à plus de 400 millions aujourd’hui. Plus loin encore, les experts ont même estimé que cette production devrait doubler en 2040 et tripler en 2060. Dans ce dossier, El Watan revient sur les principales études réalisées au sujet de l’impact du plastique sur la santé et l’environnement qui a fait réagir des experts, chacun dans sa spécialité. Explications !
Selon Karim Ouamane, la migration des additifs des emballages vers les aliments est un phénomène complexe, influencé par une multitude de facteurs.
Sachets en plastique, barquettes en aluminium, boîtes de conserve, boîtes en carton... Les emballages sont beaucoup utilisés dans l’agroalimentaire et sont aujourd’hui largement décriés pour leur impact et dangers sur la santé. Certains composants chimiques de ces emballages représentent des contaminants potentiels. En effet, ils peuvent migrer vers les aliments et les boissons.
C’est officiel ! La 3e édition du Salon Healthcare Expo et conférences 2024 ainsi que la 1re édition de l’Algerian dental expo (Adex) se tiendront du 5 au 7 décembre au Palais des expositions (Safex) à Alger. «Il faut savoir que le Healthcare Expo est un salon de référence qui vise à réunir les acteurs majeurs du secteur de la santé, à savoir les professionnels de la santé, les entreprises du secteur ainsi que les institutions publiques et privées», explique Mohammed Ziane, fondateur des salons.
Cette année, la célébration de la journée mondiale du diabète, dont le slogan choisi est «Diabète et bien-être», s’est faite en deux temps. En effet, c’est en partenariat avec Novo Nordisk Algérie que le ministère de la Santé a d’abord donné, dès le 18 novembre au niveau de la wilaya déléguée de Ksar Chellala, le coup d’envoi des activités de la journée.
C’est suite à des enquêtes minutieuses que les services de la division régionale de la Gendarmerie nationale ont réussi à stopper l’activité d’un atelier «caché», dont le propriétaire fabriquait et imitait des compléments alimentaires, et ce, en l’absence totale des conditions sanitaires appropriées et du non-respect des conditions de conservation des produits destinés à la consommation humaine.
Les modalités de délivrance du certificat médical prénuptial, requis lors de l’établissement de l’acte de mariage, viennent d’être modifiées.
Selon les derniers chiffres annoncés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à l'occasion de la Journée mondiale du diabète, les cas de diabète ont quadruplé, dans le monde, depuis 1990. En effet, on compte désormais plus de 800 millions d’adultes atteints par la maladie. Et face à cette hausse inquiétante, la sensibilisation quant aux dangers de la maladie et la promotion d’une hygiène de vie saine semblent être les seuls remparts. Explications !
Des vidéos, devenues virales sur les réseaux sociaux, font la publicité d’un «protocole médical». Communément appelée «l'aiguille minceur», cette injection aiderait à perdre du poids rapidement. «Ces injections sont en fait de nouvelles thérapies.
Le diabète de type 2 (DT2), en particulier, progresse de manière alarmante au niveau mondial, mais aussi le diabète de type 1 (DT1). L’Algérie n’échappe malheureusement pas à cette tendance.
Les travaux du 8e congrès de la Fédération algérienne de pharmacie (FAP), ont pris fin hier. Sous le thème «La pharmacie : de l’entrepreneuriat à l’excellence des soins», cette 8e édition avait pour objectif de mettre la lumière sur les enjeux contemporains de la pharmacie.
Prévue jusqu’au 22 novembre à Bakou, en Azerbaïdjan, la COP29 est présentée comme celle des finances. En effet, les Etats doivent s’accorder sur un nouvel objectif mondial de financement pour lutter contre le réchauffement climatique. Explications !
La COP29 de Bakou, en Azerbaïdjan, se déroule dans une atmosphère internationale très particulière, marquée par une série d’événements, crises et conflits qui ne manqueront pas de peser sur la qualité des décisions qui en sortiront.
Première nouvelle ! La COP28 a été lancée avec l’adoption des recommandations du Comité de transition sur les pertes et dommages avec des promesses de mobilisation de plus de 400 millions de dollars pour le Fonds des pertes et des dommages.
La question des «crédits carbone» revient cette année encore sur la table des négociations. Mais pour la première fois, les observateurs estiment que les pays pourraient s’entendre sur un mécanisme crédible et susceptible de contribuer à la réduction des gaz à effet de serre. D’ailleurs, à l’ouverture de la COP29, un premier résultat a été obtenu concernant les règles régissant le marché des crédits carbone, sachant que ce type de crédits n’obéissait pas à une régulation au niveau international.
«La sécurité n’est pas une option mais une obligation et une responsabilité qu’on doit tous assumer», a affirmé Dia El Hak Bouguetof, directeur de l’agence CNAS de la wilaya d’Alger.
Ces dernières années, les jeunes privilégient davantage la consommation de boissons dites «énergisantes». Si certains cherchent à améliorer leurs performances sportives, d’autres abusent dans leur consommation pour favoriser la concentration à l’approche des examens, et cela n’est pas sans conséquences sur leur santé. Explications !
«Les résultats ont révélé une tendance à la hausse des nouveaux cas de cancer au fil du temps», soulignent les auteurs de l’étude.
Le cancer constitue aujourd'hui l’un des problèmes majeurs de santé publique. Le nombre de cas est estimé entre 50 et 55 000 cas par an.
Le ministre de l’Enseignement supérieur, Kamel Baddari, a une nouvelle fois dévoilé une série de mesures importantes au profit des étudiants de sciences médicales. Dans un communiqué, publié sur sa page Facebook, il a affirmé que ces mesures interviennent dans le cadre de la mise en œuvre des conclusions de la rencontre, tenue le 19 octobre, avec les représentants des étudiants.