L’Afrique, où notre pays occupe désormais la première marche du podium des exportateurs de GNL, devrait plus que doubler sa part du marché mondial du gaz naturel d’ici à 2050, tout en multipliant par quatre sa capacité en matière d’énergies renouvelables d’ici à 2030.
Les préparatifs vont bon train sur les différents sites d’accueil du Creative Africa Nexus Weekend (Canex WKND) 2024, prévu du 16 au 19 octobre 2024, à la Safex d'Alger, dans la perspective de la prochaine Foire commerciale intra-africaine (IATF-2025) qu’abritera la capitale en septembre 2025.
Un forum de haut niveau sur la conformité devrait se tenir du 4 au 6 septembre à Dakar, au Sénégal, et ce, à l’initiative de la banque africaine d’import-export Afreximbank, en partenariat avec le Groupe d’action intergouvernemental contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (Giaba).
Les efforts laborieux de la diplomatie algérienne ont fini par payer. La mise en route du projet de texte révisé du Traité international de lutte contre la cybercriminalité vient d’obtenir obtenu le feu vert de l’Assemblée générale des Nations unies.
La connaissance et la maîtrise des nouvelles technologies pour numériser les chaînes logistiques mondiales est un préalable indispensable aux discussions en cours autour de la numérisation de la douane et de la gestion des frontières dans un cadre élargi d’échanges transfrontaliers dématérialisés
L’enjeu de cette 15e édition de Doha, dont les préparatifs vont bon train sur les différents sites d’accueil, est loin d’être négligeable : le marché de la sécurité intérieure au Moyen-Orient connaît une croissance de 14,5%, offrant des opportunités lucratives pour les exposants, issus des quatre coins du monde.
Chaque attaque cybernétique revient à au moins 11 millions de dollars.
Le vendredi 5 juillet 2024 est doublement symbolique pour le club hippique Nadi Chaâbi Foursane Annaba (NCFA). Coïncidant avec la célébration du 62e anniversaire de la Fête de l'indépendance nationale, cette date marquera la reprise, après bien des années d’éclipse, des compétitions internationales.
En confrontant chefs d’Etat, institutions internationales, société civile et secteur privé, les initiateurs de la CIAC cherchent à mobiliser la communauté mondiale et à fédérer les actions pour relever les défis, de plus en plus sophistiqués, posés par la corruption.
Le litige opposant depuis 2018 le Groupe industriel Asmidal, filiale à 100% de Sonatrach et le groupe espagnol Grupo Villar Mir (GVM), autour de Fertial, société de droit algérien, Fertial qui est spécialisée dans la production d’engrais et d’ammoniac, est désormais un vieux souvenir.
Les Rencontres multisectorielles franco-algériennes se tiendront, ce jeudi 6 juin, au complexe hôtelier Sabri (Annaba), à l’initiative du consulat général de France à Annaba et Constantine, en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie algéro-française (CCIAF), l’Association de développement et de promotion des entreprises (ADPE), l’association des femmes algériennes chefs d’entreprise SEVE (Savoir et vouloir entreprendre) et les cabinets de conseil Transition conseil et Global Assistance Codes.
Des témoignages de médecins ayant pu avoir accès aux détenus et des lanceurs d’alerte y décrivent, preuves à l’appui, ce qui s’apparente à une structure de supplices opérant dans l’ombre et dont la finalité étant la souffrance, très souvent jusqu’à la toute fin, et l’humiliation des prisonniers plus que la recherche de renseignements.
Ce nouveau pacte entre l’Algérie et ExxonMobil devrait permettre d’«améliorer l’efficacité de l’exploration, optimiser les processus de production, garantir des pratiques d’utilisation durable des ressources et tirer parti de la vaste expérience de la société et de ses antécédents en matière de gestion de projets énergétiques complexes dans toute l’Afrique».
Aujourd’hui, des secteurs stratégiques, comme l’énergie et la pétrochimie, commencent à lâcher du lest, nombre de boîtes privées qui se livraient bataille, cherchant chacune à être la plus prompte à y déployer son influence, sont appelées à «rendre les armes».
De par ses multiples avantages, notamment en termes de taux d’intérêt et autres facilités, comparativement à la finance classique ou conventionnelle, la finance islamique connaît ces derniers temps un engouement sans cesse croissant un peu partout dans le monde, un encours de plus de 6000 milliards de dollars, confirmant le caractère attrayant du concept.
L’Algérie, de par sa position géostratégique au carrefour de l’Europe et de la Méditerranée et considérant les flux migratoires à destination de l’Europe y transitant, avait signé des accords bilatéraux de réadmission avec certains pays européens.
epuis près une semaine, le monde entier a les yeux rivés sur le Panama, ce petit Etat de l’Amérique centrale, où se tient depuis lundi 8 avril, dans un tribunal pénal, le procès des Panama Papers. Accusées d’avoir orchestré l’un des plus grands scandales financiers de l’histoire, plus d’une vingtaine de personnes, à leur tête Jürgen Mossack et Ramon Fonseca Mora, les deux fondateurs du cabinet Mossack Fonseca, épicentre du séisme fiscal qui a frappé toute la planète en avril 2016, devraient répondre des charges d’«atteinte à l’ordre économique» et de «blanchiment d’argent».
Bien qu’abritant plus de 1,4 milliard d’habitants, soit environ 18% de la population mondiale, l’Afrique dispose d’à peine 34,6% de médecins, infirmières et sages-femmes nécessaires. On prévoit que d’ici 2030, le continent aura besoin de 6,1 millions de médecins, d’infirmières et de sages-femmes supplémentaires.
Au plan international, l’engagement de l’Algérie en faveur de la préservation des ressources récifales en Méditerranée est perceptible.
Jusqu’en 2030, des financements annuels d’au moins 200 milliards de dollars devraient être mobilisés par l’Afrique afin qu’elle puisse être en mesure d’atteindre les objectifs énergétiques et climatiques du «Scénario pour l’Afrique durable».