Le cumul des taxes et impôts appliqués à l’«importation» des téléphones portables et tablettes est de l’ordre de 133%, donc une valeur plus importante que le prix du produit lui-même, les composants des micro-ordinateurs sont taxés à hauteur de 60%. Plusieurs intervenants dans le secteur n’ont cessé, depuis quelques années déjà, d’évoquer cette surtaxation qui ne va pas de pair avec la volonté exprimée d’aller vers cette économie de la connaissance ou du numérique.
Les progrès mondiaux en matière de développement humain ne conduisent pas automatiquement à un plus grand sentiment de sécurité», affirme le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), dans son rapport sur la sécurité humaine intitulé «Nouvelles menaces pour la sécurité humaine à l’ère de l’Anthropocène» publié hier.
Selon le collectif des avocats des détenus d’opinion, une quarantaine d’entre eux ont entamé une grève de la faim le 28 janvier dernier. Plusieurs de ces détenus grévistes, qui se trouvaient à la prison d’El Harrach, ont été transférés vers les prisons de Bouira et Berrouaghia, ont indiqué des membres du collectif de défense.
Les crises et polémiques autour des produits, de première nécessité pour certains d’entre eux, se suivent et se ressemblent. Connaissant des remous ces tout derniers mois, la corporation des boulangers semble vouloir passer à une autre étape dans la protestation, en imposant carrément le prix de 15 DA pour la baguette de pain.
Une vingtaine de détenus d’opinion, incarcérés à la prison d’El Harrach, ont été transférés vers d’autres pénitenciers, a indiqué le Comité national pour la libération des détenus (CNLD).
Le collectif de défense des détenus d’opinion a réagi, dimanche, au communiqué publié la veille par le procureur général près la cour d’Alger dans lequel celui-ci avait démenti les informations faisant état de la décision de plusieurs détenus d’opinion de la prison d’El Harrach d’entamer une grève de la faim.
L’examen de l’appel de la décision de placement sous contrôle judiciaire du président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas, par la chambre d’accusation près la cour d’Alger a été renvoyé au 9 février prochain, a-t-on appris auprès de cadres de ce parti.
En visite de deux jours en Egypte, le président Abdelmadjid Tebboune a indiqué que les entretiens avec son homologue égyptien, Abdel Fattah Al Sissi, «ont porté sur l’ensemble des questions qui se posent dans les régions arabe et africaine, ainsi que sur les défis auxquels nous sommes confrontés aux niveaux régional et international».
Outre la coopération bilatérale, les deux parties, algérienne et égyptienne, se pencheront certainement sur les questions régionales d’intérêt commun, à l’image de la crise libyenne, la question palestinienne ou des préparatifs du sommet de la Ligue arabe que l’Algérie devra abriter dans les mois à venir.
Le nombre de naissances passe pour la première fois depuis 2014 sous la barre du million. Il y a eu 992 000 naissances vivantes en 2020, contre 1,034 million en 2019. A ce rythme de croissance, la population résidente totale atteindrait 45,4 millions au 1er janvier 2022, selon l’Office national des statistiques (ONS). Le nombre de mariages contractés en 2020 a également reculé, poursuivant une courbe entamée en 2014.
La suspension du PST a été précédée par d’autres décisions ou mesures qui sont considérées comme des «atteintes» au libre exercice politique. Le Conseil d’Etat a débouté le ministère de l’Intérieur par rapport à son action en référé contre l’Union pour le changement et le progrès (UCP).
La propagation du coronavirus au niveau de certains établissements scolaires inquiète de plus en plus les parents d’élèves et le corps enseignant. Certaines écoles, dans différentes régions du pays, ont dû fermer leurs portes. Dans d’autres, c’est le personnel enseignant, ou parfois les élèves qui en font la demande.
Le pouvoir d’achat des Algériens continue de baisser face à la hausse galopante des prix des produits alimentaires.
Bien que la situation soit, pour l’instant, sous contrôle, il n’en demeure pas moins que la donne pourrait changer dans les jours ou les semaines à venir, voire d’ici quelques mois, si jamais il y a d’autres vagues.
Engagé dans le hirak, le coordinateur national du Mouvement démocratique et social (MDS), Fethi Ghares, a été condamné à deux ans de prison ferme. Plusieurs personnalités et des partis politiques de l’opposition ont dénoncé le verdict du tribunal de Hammamet (Alger).
S’exprimant lors d’une conférence de presse organisée au palais du gouvernement, le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a estimé que «certains médias ont exagéré dans l’analyse de la teneur du rapport, présenté comme un document uniquement négatif».