La 5e édition du Festival national de la chanson engagée s’est clôturée, dimanche en soirée, à la maison de la culture Ali Maachi dans la capitale du Sersou. Une édition qui a consacré dans l’ordre la troupe El Achwak de la wilaya de Laghouat qui s’ est adjugé l’Imzad d’or que lui a décerné le jury, suivie par la troupe Imad Baned de Mostaganem et enfin la troupe Izzi Sen de Batna.
l En visite dans la wilaya de Tiaret, le ministre de l’Agriculture, qui table sur l’extension des surfaces irriguées avec un million d’hectares dans les territoires du sud du pays, pour les porter à 3 millions, a évoqué l’objectif visant d’arrêter l’importation de blé d’ici fin 2025, et au plus tard fin 2027 pour les oléagineux et les légumineuses.
La wilaya de Tiaret abritera le Festival national culturel de la chanson engagée, dans sa cinquième édition, du 7 au 10 novembre, a indiqué le commissaire de cette manifestation, Noureddine Zerrouki.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Youcef Cherfa, a annoncé, mardi à Tiaret, de nouvelles mesures pour assurer la disponibilité des produits agricoles à des prix raisonnables.
Le parquet près le tribunal pénal de Tiaret a rendu public, dimanche dernier, un communiqué pour éclairer l’opinion publique locale après l’assassinat d’une jeune personne à la cité Lombard et occasionnant de graves blessures à une deuxième personne, actuellement sous soins intensifs aux UMC de l’hôpital Youssef Damerdji.
Steppe et désertification, états des lieux, contraintes et perspectives, des thèmes d’une brûlante actualité qu’on ne cessera jamais d’évoquer, tant les enjeux sont à l’égal des défis et des perspectives à développer. L’université Abderrahmane Ibn Khaldoun, qui s’ouvre sur la société, s’intéresse tout naturellement aux problèmes posés. A l’instar de la problématique sur l’eau, le cheval, les NTIC et l’entreprenariat, entre autres, celle liée à la steppe et, subsidiairement à la désertification, a été traitée.
Un avis d’appel pour le lancement d’une étude portant sur le raccordement de Tiaret et des communes du nord de la wilaya par l’eau de mer dessalée a été lancé la semaine dernière sur des journaux nationaux», a déclaré Ali Bouguerra, wali de Tiaret, jeudi, dans son cabinet, alors qu’il venait d’inviter les représentants des médias et de la presse nationale accréditée pour une annonce à la population jugée «importante».
Un ouvrage d’art reliant une ruelle située entre le quartier la gare et cité Rousseau, au cœur de la ville de Tiaret, a été inauguré dimanche, en marge des festivités liées à la Fête de l’étudiant par les autorités locales.
La ville de Tiaret se caractérise, ces derniers temps, par la mise en branle d’importants projets liés aux aménagements urbains et surtout la réhabilitation du réseau routier en interne. La capitale du Sersou s’apparente à une ville en chantier où tout a été labouré, enfin des pans entiers d’axes routiers ont été décapés pour être revêtus de bitume non sans allier des opérations connexes sur la voierie. Bien que des appréhensions soient nourries, beaucoup de citoyens y voient quand même le signe d’approches visant l’amélioration du cadre de vie.
La gestion de l’éclairage public et subsidiairement celle des marchés qu’elle sous-tend soulève des vagues dans l’assemblée populaire de Tiaret et, au-delà, il faut le dire, dans presque toutes les discussions tant la ville de Tiaret, et cela en dépit «des efforts» que les différentes assemblées disent avoir fournis en la matière, reste mal éclairée.
En plus du projet devant valoir un apport de plus de 10.000 m3/jour depuis le champ captant de «Chott Echergui», d’autres projets en cours à Tousnina et depuis la Mina devront en principe voir le jour, alors que l’un des projets salvateurs, celui des 19 forages, pour des apports de près de 34.000 m3/jour depuis «Adjarmaya» à plus de 120 kilomètres de Tiaret a été avancé et l’accord de principe émis par le ministre de tutelle.
Réalisée au début des années 2000 pour être un joyau commercial et artistique devant valoriser le patrimoine culturel matériel et immatériel de la ville de Tiaret, la galerie d’art située au sous-sol de l’ensemble urbain Le Regina Mohamed Boudiaf, reste étrangement fermée.
Après plusieurs couacs, reports, boycotts mais aussi tractations et repositionnements revoilà un semblant de sérénité qui semble s’installer dans l’Assemblée populaire communale (APC) du chef-lieu de Tiaret.
Le dossier lié à l’évacuation des logements de fonction du secteur de l’éducation continue de susciter de grandes inquiétudes à Tiaret, à l’heure où le ministère de tutelle, la justice, voire certaines Assemblées populaires communales s’emploient à démêler l’écheveau d’un problème à la fois complexe s’il ne prenait pas en certains cas des contours dramatiques.
Parcours du combattant jeudi à Tiaret. Direction, Tousnina, «la ville des eaux» située à 35 km du chef-lieu où le chef de l’exécutif accompagné du secrétaire général de la wilaya et du P/APW sont allés s’enquérir des travaux de projets de trois forages devant constituer des apports supplémentaires à même d’atténuer, relativement, la crise de l’eau.
Les voix citoyennes, de plus en plus audibles et véhémentes, s’expriment sur les réseaux sociaux, les médias et/ou dans presque toutes les discussions, y compris celles dans les chaumières pour décrire cet état lamentable de la chaussée dans la ville de Tiaret.
En marge de sa visite, hier, à Tiaret, le PDG de Sonelgaz, alors qu’il pénétrait une habitation précaire, a «instruit ses administrés à suspendre provisoirement l’alimentation en gaz jusqu’à ce que l’habitation en question soit mieux aérée».
La ville de Tiaret et quatre localités environnantes (Rahouia, Djillali Benamar et Mechraa-sfa) vivent une situation critique en matière d’alimentation en eau potable.
Bonne et opportune initiative que celle organisée, hier, par la Ligue de wilaya de volley-ball de Tiaret qui, en organisant un séminaire à l’attention de techniciens, «tente d’impulser une nouvelle dynamique à travers cette volonté de voler un peu haut et sortir des ornières».
Nadhora, à 70 km de Tiaret, a été, jeudi, une étape pleine d’appréhensions, de prise de décisions mais aussi d’heureuses perspectives pour les populations de cette région qui ont longtemps pâti des conséquences de l’enclavement mais aussi du terrorisme.