A la veille du départ de l’équipe nationale à Tunis où elle affrontera le Niger, demain, pour le compte du match retour des éliminatoires de la CAN-2023, décalée en 2024 en Côte d’Ivoire, la Fédération algérienne de football (FAF) a publié un communiqué sur son site officiel informant les médias nationaux que seules les télévisions sont autorisées à couvrir le départ de l’équipe nationale à Tunis. Exit les autres organes de presse (journaux et sites).
L’élection du prochain président de la Fédération algérienne de football (FAF), le 7 juillet 2022, ne polarise pas l’attention et ne capte pas l’intérêt de l’opinion populaire lassée par le feuilleton bas de gamme de la Fédération. Ceux qui suivent de près l’actualité du football savent que la partie est jouée d’avance.
Hier, à quelques heures de la clôture du délai de dépôt de candidature à la présidence de la Fédération algérienne de football (FAF), deux candidats à la candidature étaient en course. Djahid Zefzaf et Abdelhakim Serrar.
Le bilan du mandat du président démissionnaire, Charef-Eddine Amara, a été adopté à la majorité. L’AGE pour l’élection de son successeur est fixée au 7 juillet prochain.
L’Assemblée générale ordinaire (AGO) de la Fédération algérienne de football (FAF), tenue le 16 juin 2022 à Ain Benian, a, cette fois, placé la barre très haut. Il reste à espérer que la «prouesse» qu’elle a réalisée, ne fera pas d’émules dans l’intérêt du football algérien.
Amar Bahloul a probablement participé à sa dernière activité comme membre du Bureau fédéral, jeudi à Ain Benian. Des informations fuitées du côté de la Fédération indiquent qu’il sera lourdement suspendu dimanche ou lundi lors de son audition par la Commission de l’éthique de la fédération.
La Fédération algérienne de football (FAF) est à la veille d’échéances importantes pour son avenir immédiat. Sa situation est devenue intenable. L’institution a gravement entamé son crédit aux yeux de l’opinion sportive.
La Fédération algérienne de football (FAF) a rendu public aujourd'hui vendredi 27 mai la liste des joueurs convoqués par le sélectionneur national, Djamel Belmadi, en prévision des deux premiers matches des éliminatoires de la CAN 2023.
Des cercles et voix se prévalant d’une proximité avec des centres de décisions au sein de la Fédération algérienne de football (FAF) s’agitent en coulisses et propagent des fake-news au sujet des actions que mène la FAF en direction de l’instance faitière du football mondial (FIFA) en ce qui concerne le dossier de réclamations envoyé à Zurich.
Le football algérien reconquerra-t-il un jour sa place perdue au sein du comité exécutif (Comex) de la Confédération africaine de football (CAF) ? Peut-être, mais pas de sitôt. Pour l’instant, les signaux ne sont pas bons. Pis encore, il n’y a rien à l’horizon 2023, année où le Libyen Chelmani remettra en jeu son poste au sein du Comex comme représentant de la zone UNAF (Maghreb).
La réponse de la FIFA à la requête de la FAF contre l’arbitrage du gambien Bakary Gassama est arrivée vendredi tard dans la soirée. Sans surprise, elle a informé la FAF qu’elle ne donnera pas suite aux réserves formulées contre l’arbitre directeur de la rencontre Algérie-Cameroun (1-2) disputée le 29 mars dernier à Blida. Vendredi avant minuit, la fédération a publié une partie seulement de la correspondance que lui a adressée la FIFA.
Ce qui devait être le dernier Bureau fédéral de l’équipe en place a obtenu un sursis.
La Fédération et la Ligue de football professionnel (LFP) ont signé jeudi la convention qui lie les deux parties.
La Fédération algérienne de football (FAF) pourrait saisir le Tribunal arbitral du Sport (TAS) de Lausanne
Le Bureau fédéral de la FAF a tenu dimanche soir au CTN de Sidi Moussa sa réunion statutaire sous la présidence de Charef-Eddine Amara et en présence de tous les membres à l’exception de Mouldi Aïssaoui et Amar Bahloul, les deux membres provisoirement suspendus.
Depuis hier, la succession de Charaf Eddine Amara au poste de président de la FAF est ouverte. Djahid Zefzef serait fortement presenti pour devenir le nouveau président de la fédération.
C’est demain que se tiendra la réunion du Bureau fédéral de la FAF sous la houlette du président Charaf-Eddine Amara. Ce dernier, qui avait annoncé au lendemain de l’élimination de l’Algérie du Mondial-2022 sa démission de son poste, avait décidé de revenir aux affaires après avoir su que les membres du Bureau fédéral ne voulaient pas le suivre dans sa démarche.
La relation entre le président de la Fédération algérienne de football, Charaf-Eddine Amara et les membres du Bureau fédéral ont souvent été tendus depuis leur arrivée à la tête de la FAF, il y a une année. Aujourd’hui, plus que jamais, il semble y avoir un clash entre les deux parties après l’élimination des Verts du Mondial-2022 et l’annonce de la démission de Charaf-Eddine Amara de son poste de président de la FAF. Les membres du BF ne veulent pas «partir avec lui» alors que lui insiste pour le faire.
Les membres du Bureau fédéral, le président de la FAF y compris, renvoient une image pitoyable. Celle de dirigeants qui ne se déchirent pas pour l’intérêt du football, comme le prétendent certains d’entre eux, mais pour de sordides calculs sans lien avec l’essence même de leur présence à la fédération, à savoir la promotion et le développement du football.
La Fédération algérienne de football, par le biais d’un communiqué, publié mardi soir, a informé l’opinion algérienne que la réclamation introduite auprès de la FIFA concernant le match retour du dernier tour qualificatif au Mondial-2022 sera étudiée le 21 avril prochain par l’instance qui gère le football mondial.