Dans 5 jours seront connus les candidats à la candidature aux fonctions de président de la fédération algérienne de football (FAF) et membres du bureau fédéral. Pour l’instant, aucun candidat ne s’est officiellement annoncé.
Que reste-t-il du discours prononcé par l’ex-président de la fédération algérienne de football (FAF), Djahid Zefizef, au 44e congrès de la Confédération africaine de football (CAF), tenu il y a une année en Tanzanie, et qui a annoncé la formulation d’une demande d’annulation de l’article 4 (admission) des statuts de la CAF proposé par la fédération marocaine (FRMF) pour faire barrage à la demande d’adhésion de la fédération de football de la République sahraouie ? Un an s’est écoulé sans que la moindre information ait été donnée sur le sujet par la FAF
Alors que la période de dépôt de candidatures pour l’élection du président et du bureau fédéral pour la durée restante du mandat 2021-2025 bat son plein, les potentiels candidats aux fonctions indiquées se bousculent au portillon pour faire acte de candidature. Normal. Ce qui l’est moins, c’est la confusion créée par la publication des conditions d’éligibilité aux deux fonctions qui ne sont pas totalement conformes aux principes qui doivent prévaloir pour une élection.
Des confrères, qui ont fait partie de la commission média, qui a assuré la couverture du CHAN et de la CAN U17 organisés par l’Algérie, il y a quelques mois, sont très remontés contre la Fédération algérienne de football (FAF) qui, jusqu’à ce jour, ne leur a pas encore versé leurs indemnités.
Les heures difficiles que traverse le football algérien ont accéléré la compréhension de beaucoup de choses et démasqué sous leur vraie nature beaucoup d’acteurs de football de premier plan.
L’organisation de l’assemblée générale élective (AGE) de la fédération algérienne de football (FAF), prévue le 4 septembre prochain, suscite moult interrogations. En effet, elle a été fixée par la commission électorale présidée par Ali Malek en présence du secrétaire général de la FAF, Mounir D’bichi, à qui ont été confiés les pouvoirs de conduire les affaires de la fédération et de «convoquer l’assemblée générale en session extraordinaire dans les 15 jours qui suivent la vacance» du poste de président (article 17 bis du décret du 22 septembre 2022.
Le football algérien est pris en otage par des cercles et des groupes qui utilisent des méthodes mafieuses pour le maintenir dans leur giron. L’épisode de la démission du président Djahid Zefizef et de l’avant-élection du futur président les a fait sortir du bois.
La Fédération algérienne de football (FAF) a publié, jeudi, le calendrier électoral pour l’élection du nouveau président de l’instance et des membres du bureau fédéral qui l’accompagneront pour le reste du mandat (mars 2025).
A peine la dissolution du bureau fédéral version Djahid Zefizef prononcée, des membres de cet organe projettent d’intégrer une liste lors du prochain scrutin qui aura lieu avant la fin du mois de juin 2023. c
Depuis hier, la course à la succession de Djahid Zefizef est ouverte. La voie de garage indiquée aux membres du bureau fédéral en place depuis juillet 2022 est le prélude au énième changement à la tête de la fédération.
Ce n’est pas l’ambition qui manque n’est-ce pas messieurs qui avaient suggéré au président sortant de revenir sur sa décision, de déposer un congé maladie de plusieurs jours le temps que la pression tombe pour ensuite revenir aux affaires comme si de rien n’était. Djahid Zefizef n’a pas suivi leur conseil.
La démission de Djahid Zefizef a réveillé les vieux démons de la manipulation et du bluff. En effet, dès la confirmation de la démission du président, des affidés des couloirs de la fédération et les allées de Sidi Moussa ont de suite et de concert mis en marche le moteur de la manipulation et du bluff.
La Fédération algérienne de football (FAF) contrôle-t-elle vraiment ce qui se fait au niveau des ligues et ses autres démembrements dont elle est responsable et sur lesquels elle exerce une responsabilité ? Pas sûr, pour ne pas dire, du tout. Le propos va être étayé par des preuves puisées de faits réels et récents.
Le problème du cumul de mandats électifs est un interminable feuilleton. Malgré les multiples rappels de la tutelle pour l’application des articles du décret exécutif concernant ce chapitre, des élus continuent de faire la sourde oreille et vaquent toujours à leurs occupations électives sans crainte, ni peur.
Pour vérifier les rumeurs qui circulent depuis quelques heures au sujet d’un prétendu contact avec Abdelhakim Serrar, l’actuel PCA de la SSPA Black Eagles de l’ESS et qui fut, lors de la dernière AGE de la FAF, candidat à la course au siège de président de l’imposant immeuble sis à Dely Ibrahim afin de gérer la fédération algérienne de football à l’effet de prendre la gestion de la fédération, il résulte que l’intéressé n’a reçu aucun contact de quiconque. Joint par téléphone, Serrar, qui s’affaire à préparer son équipe pour l’important match de mercredi prochain face à la JSK à Sétif, nie catégoriquement avoir reçu un semblant de contact concernant ledit poste.
Quelques heures après la polémique ayant suivi le tirage au sort des demi-finales de la coupe d’Algérie, et la décision de la commission de domicilier les matchs JS Saoura – ASO Chlef et NC Magra – CR Belouizdad respectivement aux stade Miloud Hadefi d’Oran et Chahid Hamlaoui de Constantine, la Fédération algérienne de football a décidé de réagir, en confirmant le maintien des deux demi-finales dans les stades désignés avec application de la technologie de la vidéo assistance de l’arbitrage (VAR).
L’épisode (malheureux) de la programmation des deux matchs des demi-finales de la coupe d’Algérie, et son cortège de contestations par deux des quatre clubs en lice pour la finale, n’ajoute rien à la gloire du football algérien et de ses principaux responsables, incapables de maîtriser la programmation.
Depuis quelques semaines, il ne se passe plus un jour sans que des médias et des sites électroniques annoncent des scoops sur le sujet qui tient à cœur les supporters algériens.
La Fédération algérienne de football (FAF) a renouvelé son contrat avec l’équipementier Adidas jusqu’au 31 décembre 2026 «dont la valeur et les avantages dépassent largement ceux déjà conclus auparavant», a annoncé l’instance fédérale jeudi dans un communiqué sur son site officiel.
Le feuilleton de la mise en conformité des statuts de la fédération algérienne de football (FAF) avec ceux de la FIFA réapparaît à la surface comme un serpent de mer à la faveur de la «sale guerre» qu’ont décidé de mener contre le football algérien ses véritables ennemis enfouis dans son corps et ses démembrements.