Alors que près de la moitié des enfants scolarisés bénéficient de repas gratuits, les plus vulnérables, notamment dans les pays en développement, restent exclus dans un contexte de crise alimentaire mondiale, indique une agence des Nations unies.
Dix millions d’enfants vivant au Burkina Faso, au Mali et au Niger ont besoin de toute urgence d’aide humanitaire, deux fois plus qu’en 2020, face à l’intensification des conflits, a indiqué l’Unicef hier.
Les enfants atteints de cancer ainsi que leurs parents sont confrontés, en Algérie, à une double peine : en plus du drame qu’ils subissent, ils doivent composer avec des ruptures cycliques d’approvisionnent des traitements essentiels à leur rétablissement et subir l’absence de services équipés, notamment dans les régions intérieures, et la difficulté de décrocher un rendez-vous pour la radiothérapie.
Le président de la République est-il au courant du blocage concernant la construction d’une clinique pour enfants cancéreux à Blida ? Une question qui mérite d’être posée à cause d’un blocage bureaucratique qui semble durer dans le temps. En ce 15 février 2022, coïncidant avec la Journée mondiale de l’enfant cancéreux, défendre le projet en question s’avère plus que vital.
L'affaire de la vente de cinq enfants par leurs parents biologiques en contrepartie de sommes d'argent évoquée récemment remonte à l'année dernière, a indiqué le chargé de communication de la Direction Générale de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelhakim Belouar.
"Je commence d’abord par vous dire que les trois quarts des cas ne sont pas comateux, quand ils arrivent au CHU. C’est-à-dire, la plupart ne sont pas d’une extrême gravité. Les personnes examinées qui ne présentent pratiquement aucun signe sont autorisées à rentrer chez elles."
Le Pr Reda Malek Hamidi, chef de service de la réanimation médicale au CHU Beni Messous, rappelle, dans cet entretien, l’importance du renforcement en urgence des mesures sanitaires pour casser la chaîne de contamination et particulièrement envers les enfants pour éviter la saturation des services médicaux . Pour lui, cette frange de la population constitue le vecteur potentiel de transmission, au vu de la faible couverture vaccinale anti-Covid-19 et la forte contagiosité du variant Omicron.