Axe stratégique reliant le centre-ville de Constantine à la RN27, l’avenue Kitouni Abdelmalek, située à quelques mètres de la place des Martyrs, a besoin d’une sérieuse réorganisation de la circulation automobile dans sa partie supérieure, ainsi que des travaux de réhabilitation de la chaussée au niveau de sa partie inférieure.
Le quai aux fleurs ne répond plus Malek Haddad
Les Constantinois nostalgiques de la belle époque regrettent l’état déplorable dans lequel se trouve aujourd’hui le quartier de Souika et ses rues environnantes, tombés dans la décrépitude totale.
La situation, qui a atteint des proportions alarmantes, a poussé la direction de distribution de l’électricité et du gaz d’Ali Mendjeli (DDAM), relevant de la direction de Sonelgaz à Constantine à tirer la sonnette d’alarme encore une fois, après les pertes importantes enregistrées suite aux vols des conduites en cuivre des réseaux et de compteurs de gaz menés par de véritables bandes organisées.
Le rideau est tombé, dimanche après-midi à Constantine, sur le 14e Festival culturel national de poésie féminine qui a attiré, trois jours durant, un public nombreux à la maison de la culture Malek Haddad.
Plusieurs activités culturelles sont prévues au Musée public national des arts et des expressions culturelles traditionnelles qui connaît une grande affluence en cette période de l’année.
Les habitants, automobilistes et commerçants, ne cessent de crier leurs ras-le-bol face à la situation chaotique qui règne dans la principale artère de la ville.
Les drames causés par les intoxications au monoxyde de carbone mettant en cause à chaque fois des défaillances ou un mauvais usage des appareils à gaz continuent de faire des victimes.
Les drames causés par les intoxications au monoxyde de carbone mettant en cause à chaque fois des défaillances ou un mauvais usage des appareils à gaz continuent de faire des victimes.
Il n’était pas encore midi quand les foules commençaient à investir les rues Didouche Mourad, 19 juin 1965 et Larbi Ben M’hidi, au cœur du centre-ville de Constantine.
La dixième édition de cet événement ramadhanesque est marquée par la distribution de box s’hour aux démunis, alors que 10 DA seront reversés pour les nécessiteux pour chaque bouteille Pril Isis achetée.
Cela fait des années que cette fresque, qui se trouve pourtant en plein centre-ville, s’est complètement dégradée, sans susciter la moindre réaction de la part des responsables locaux.
Au total, 631 dossiers de commerçants de la wilaya de Constantine ont été transmis à la justice durant la première décade du mois de Ramadhan pour diverses infractions commerciales, selon Sid Ali Merdas, directeur du commerce.
Les acquéreurs qualifient d’illégale la décision de délivrer le permis de construire à une opération immobilière sur un terrain destiné à un équipement public, en violation des lois de la République.
C’est une belle histoire méritant de figurer dans les manuels scolaires, pour être enseignée à nos enfants qui ignorent beaucoup de choses sur le patrimoine et l’histoire de leur pays. C’est aussi une magnifique histoire d’amour entre un homme et sa jument.
Pas moins de 56 restaurants ont commencé à proposer leurs services dès le premier jour du Ramadhan, mobilisant des contingents de bénévoles, mais aussi d’importants moyens pour la préparation des repas de la rupture du jeûne.
Un important mouvement de solidarité se manifeste depuis le premier jour du mois de Ramadhan dans la wilaya de Constantine.
La stèle située en contrebas de la place colonel Amirouche (ex-place de la Pyramide), au centre-ville de Constantine, se trouve depuis plusieurs mois dans un état déplorable, indigne d’un vestige historique d’une grande valeur symbolique pour la ville.
La confrontation de cette soirée ramadhanesque entre le CS Constantine et la JS Kabylie et comme par hasard se présente pour les Clubistes dans la même configuration du match aller.
Cela fait des mois que la situation demeure inchangée, provoquant une sérieuse dégradation du cadre de vie des riverains qui sollicitent une intervention urgente des autorités.