La faculté des sciences économiques de gestion et des sciences commerciales de Tizi Ouzou organise, les 30 et 31 mai, deux jours de workshops destinés aux étudiants de fin de cycle, enseignants et personnel ATS.
La décision d’introduire l’anglais comme langue d’enseignement à l’université dès la prochaine rentrée fait toujours débat. Si, au niveau officiel, la question semble tranchée, avec toute une batterie de mesures, ce n’est pas le cas dans les campus.
Si la nécessité de placer la qualité de l’enseignement supérieur au centre des défis fait l’unanimité en Algérie, il reste la question cruciale de savoir comment y parvenir.
Le président de la République a rendu, à l’occasion, un hommage appuyé à la communauté des enseignants et chercheurs universitaires et a insisté sur l’obligation de lui accorder le plus grand intérêt.
Les ministres de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, et de la Pêche et des Productions halieutiques, Ahmed Badani, ont souligné, hier à Alger, la nécessité de renforcer la coopération entre les universités et les centres de recherche, d’une part, et les secteurs économiques, d’autre part, notamment dans le domaine de la biodiversité marine.
Reconnue pour son excellence dans le domaine de la recherche et d’innovation, l’université Abdelhamid Ben Badis de Mostaganem figure en haut du podium dans la catégorie des universités algériennes en nombre de dépôts de brevets en 2023.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a présidé, mardi à Alger, le lancement de six plateformes numériques, portant ainsi à 35 le nombre total de plateformes initiées par le ministère.
La mise en œuvre de la stratégie «zéro papier» dans les universités algériennes va bon train à la faveur de la dématérialisation de la gouvernance, de la formation, de la recherche scientifique et des œuvres universitaires, a indiqué hier à Alger le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari.
Le séminaire international sur les bioressources et le développement durable aura lieu les 3 et 4 mai prochain au Centre national des sports et loisirs de Tikjda (CNSLT).
Des chercheurs et professeurs sont mécontents des dernières décisions émanant du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mr Abdelbaki Benziane, en ce qui concerne la réception des projets de formation universitaire pour l’année 2022-2023.
Les deux invités de l’association culturelle Tassalast, organisatrice de la rencontre, au campus Aboudaou de l’université de Béjaïa, mardi dernier, avaient pourtant deux thèmes distincts, la première proposant de parler sur la face cachée de Mouloud Mammeri, une face méconnue par beaucoup de lecteurs, atteste Tassadit Yacine.
Plus de 1200 enseignants universitaires ayant atteint l’âge de 70 ans seront mis à la retraite. C’est ce qu’a indiqué, jeudi dernier, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Des dizaines de travailleurs de l’université Abdelhamid Mehri (Constantine 2), ont tenu, dimanche dernier, un mouvement de protestation devant le siège du rectorat.
Le professeur Djamal-Eddine Akretche est le recteur de la mythique USTHB : l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediène, de Bab Ezzouar. Créée officiellement par l’ordonnance n°74-50 du 25 avril 1974, cette université au style architectural si particulier, signé Oscar Niemeyer, célèbre aujourd’hui son 48e anniversaire. Depuis sa création, l’USTHB a formé plus de 100 000 diplômés, dont des chercheurs de renom, à l’instar de Belkacem Haba, Yasmine Belkaid ou encore Noureddine Melikechi. Aujourd’hui, l’université compte près de 50 000 étudiants, une capacité d’accueil qui fait de l’USTHB le plus grand campus du pays. Le professeur Djamal-Eddine Akretche est un pur produit de Bab Ezzouar, lui qui a fait partie de la toute première promo de l’ex-USTA (l’Université des sciences et de la technologie d’Alger), celle de 1974, en tant qu’étudiant en chimie, et qui a gravi les échelons jusqu’à en prendre les rênes. Dans cet entretien, il revient sur l’évolution de l’USTHB, nous parle des nouvelles filières qui y ont été introduites et des spécificités du système LMD. Il soulève également un aspect important : le taux d’échec élevé des nouveaux bacheliers en première année et le problème de l’orientation des étudiants. Il est question, en outre, dans cette interview, du défi pédagogique que constitue la volonté de concilier enseignement de masse et standards de qualité, et aussi, de la relation de l’université avec le monde économique.
Selon le rapport du laboratoire Kaspersky, le secteur de l’énergie est le plus touché par ces attaques, alors que l’Algérie ne figure pas non plus sur la liste des pays ayant une bonne infrastructure en cybersécurité.
Le contenu des programmes de formation au sein des Ecoles normales supérieures (ENS) fera l’objet d’une révision, en coordination avec le secteur de l’Enseignement supérieur, en vue de cadrer avec les évolutions technologiques en cours, a fait savoir le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed.
La cérémonie officielle annonçant l’ouverture du cycle de formation des nouveaux doctorants, ceux retenus sur concours pour l’année 2021/2022 a été organisée samedi 16 avril à l’USTO en présence de Abdelhafid Aourag, DG de la recherche au ministère de l’enseignement supérieur.
Récurrente, la question de la sécurité en milieu universitaire semble avoir trouvé écho après plusieurs incidents fâcheux. Il s’agit d’un nouveau dispositif susceptible de sécuriser les campus, et dont l’entrée en vigueur est prévue à partir de ce mois d’avril.
Un vibrant hommage a été rendu, mercredi dernier, aux anciens enseignants d’anglais par le Département de cette filière. Après le mot de la doyenne de la Faculté et l’ouverture déclarée par la Cheffe de département, Université Oran 2, place a été cédée à douze présentations dont trois non inscrites.
Visant à faire profiter les collectivités locales et les directions exécutives des connaissances universitaires, de l’expérience des enseignants et des professeurs ainsi que des fruits de la recherche appliquée dans divers domaines techniques et numériques, la wilaya de Biskra et l’université Mohamed Khider (UMK) ont lancé dans le cadre d’une convention de coopération une session de concertation et d’étude des secteurs où l’apport universitaire peut constituer une plus-value et une occasion d’impliquer les ressources universitaires dans le développement local, a-t-on appris.