La sauvegarde du patrimoine théâtral immatériel algérien ne se présente plus comme une option, aujourd’hui. C’est désormais un impératif qui consiste à récupérer les textes originaux des pièces jouées ou pas. Cette mission sert, entre autres objectifs, à fructifier un passé culturel que d’aucuns tendent à oublier, quand ils ne l’ignorent pas.
La troupe El Garagouz était consciente qu’elle écrivait une page du théâtre naissant algérien, tout en s’inscrivant dans la grande histoire du théâtre national, voire dans l’histoire de l’indépendance du pays.
La sixième édition du Kaki d’Or, qui s’est tenue le 13 mai dernier à Mostaganem, s’est déroulée en trois phases: deux communications, un hommage et des récompenses. Les deux interventions, qui ont eu lieu dans la bibliothèque de lecture, se sont attelées à mettre en lumière la nécessité du texte théâtral.
Un vibrant hommage a été rendu, mercredi dernier, aux anciens enseignants d’anglais par le Département de cette filière. Après le mot de la doyenne de la Faculté et l’ouverture déclarée par la Cheffe de département, Université Oran 2, place a été cédée à douze présentations dont trois non inscrites.
Les journées en hommage au grand dramaturge Ould Abderrahmane Abdelkader dit Kaki se sont ouvertes avant- hier à la maison de la culture de la wilaya de Mostaganem.