Pas d’eau ni d’aliments pendant au moins quatorze heures de suite et cela durant tout un mois. Si le jeûne constitue un réel changement dans le régime alimentaire, il perturbe également profondément le métabolisme. Et afin d’éviter tout trouble digestif et autres désagréments et conserver tout de même les bienfaits du ramadan, il est important de traiter le corps avec précaution.
Peut-on considérer le ramadan comme une détox ? Le jeûne est effectivement reconnu pour aider à détoxiquer le corps. N’oublions pas que le foie a pour fonction de nettoyer le corps. Il devient fatigué, voire malade lorsqu’il y a trop de nettoyage à faire et qu’il ne peut plus nettoyer lui-même. Avec le jeûne, il y a détoxination du corps. Il n’y a plus de toxines qui arrivent par le tube digestif. Par ailleurs, le jeûne peut aider à éliminer la graisse corporelle, tout en préservant voire en augmentant la masse musculaire quand une bonne hygiène alimentaire est observée. Des études scientifiques ont montré que pour bénéficier de ces bienfaits du jeûne, il faut que ce dernier dure entre 16 et 20 heures. La surconsommation durant cette période peut entraîner des complications de santé chez les malades chroniques, car l’appareil digestif est forcé au-delà de sa capacité maximale.
Chaque année à la veille du 27e jour du mois sacré du Ramadhan, le ministère de la Santé mène une campagne contre les circoncisions de masse ou individuelle sans, au préalable, procéder à un bilan préopératoire.
«En Algérie, avant la circoncision des enfants, il est recommandé de demander un bilan de coagulation complet pour évaluer la fonction hémostatique de l’enfant».
l Ce Ramadhan 2024 à Oran, pareillement à ceux des années précédentes, réserve une place de choix à la culuture.
Lors de son allocution d’ouverture de la 2e édition du congrès DAR Francophone à l'hôtél El Aurassi (Alger), le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a souligné l’importance de cette rencontre d’autant plus qu’elle aborde la question du jeûne, une thématique importante surtout pour les personnes âgées.
Ce mois de Ramadhan restera dans les annales. Trop cher, très cher, tous les produits ont «flambé». Comme tous les ans, ce mois n’a pas fait exception. Cette année, le phénomène s’est accentué pour les ménages, atteignant des niveaux inabordables.
Durant le mois sacré du Ramadhan, la ville d’Alger a pour habitude de garder une place en soirée aux musiques citadines qui y ont un ancrage, cette année les soirées de la capitale sont rythmées par le son de la mandole et du banjo, ou du qanoun et du oud avec un programmation sensiblement plus dense de la chanson chaâbi et de l’andalou.
L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) a rappelé, lundi, à tous les acteurs du secteur la nécessité de contrôler leurs programmes, en respectant les spécificités du mois sacré de ramadan et de ne pas se laisser emporter par l’appât du gain.
A l’occasion du mois sacré du Ramadhan, les directions de distribution de l’électricité et du gaz de la wilaya d’Alger ont pris le devant pour assurer un service optimal aux clients. Cette démarche s’articule autour d’un certain nombre de dispositions qui se traduisent par, notamment, des inspections internes gratuites des réseaux de gaz de ville, le renforcement du système de permanence et la maintenance des postes transformateurs.
L’organisation des agriculteurs en coopératives agricole est la meilleure voie pour neutraliser les intermédiaires, qui font revenir les mêmes pratiques sur la spéculation et l’augmentation des prix.
L’Etablissement public de transport urbain et suburbain d’Alger (Etusa) a prévu un programme spécial pour le mois de ramadan, assurant le service sur le réseau de transport collectif par bus de la capitale jusqu’à 2h du matin, a indiqué dimanche un communiqué de l’entreprise.
La direction de l’action sociale et de la solidarité (DAS) de la wilaya de Chlef vient de lancer au profit des bienfaiteurs de la région, le dispositif réglementaire d’ouverture de restaurants El Rahma, à l’occasion du mois sacré de ramadan 2023.