La Fédération franco-algérienne Aquitaine organise aujourd'hui (samedi) 20 avril à 14h30 au cinéma l'Utopia de Bordeaux une projection unique du film sur l'Emir Abdelkader, fondateur de l'Etat algérien moderne intitulé, Abd El-Kader, de Salem Brahimi suivie d’une discussion avec Ahmed Bedjaoui, producteur et auteur, Ahmed Bouyerdene, historien, et Christian Delorme, prêtre de l’archidiocèse de Lyon. La billetterie est disponible au cinéma l'Utopia de Bordeaux.
L’Institut français d’Oran a abrité ces jours-ci «La Balle de la dignité» un film-documentaire de Rachid Doguer qui plonge les spectateurs dans l’épopée du football algérien, depuis la création de l’équipe du FLN, pendant la guerre de libération nationale, jusqu’au premier sacre continental algérien lors de la Coupe d’Afrique des nations 1990.
La jeune cinéaste Nesrine Aitout a diffusé, samedi soir, en avant-première à Béjaïa, son moyen métrage intitulé «On est toutes pareilles», un documentaire de 21 minutes consacré à la lutte des femmes contre le cancer du sein.
l Le long métrage documentaire Pierre Clément, cinéma et révolution, réalisé par Abdenour Zahzah, a été projeté, samedi, à Alger, en avant-première.
C’est un public nombreux qui s’est rendu à la cinémathèque d’Oran, vendredi dernier, pour rendre hommage à Pierre Chaulet à travers le film documentaire que lui a consacré le cinéaste Saïd Mehdaoui, sorti cette année même et répondant au titre éloquent Le citoyen Pierre Chaulet. Un titre sans équivoque, qui se veut une réponse cinglante à ces maladroits qui affublent les personnes d’origine européenne ayant pris fait et cause pour l’indépendance algérienne de la dénomination «d’amis de l’Algérie» alors qu’ils sont des Algériens à part entière. Débutant par un échange de mails entre le Pr Chaulet et Saïd Mehdaoui - à l’époque où ce dernier lui avait proposé de faire un film retraçant sa vie - le film revient sur les moments les plus marquants de la vie de Pierre Chaulet et de son épouse Claudine, du choix qu’ils avaient fait pour l’Algérie algérienne, puis à la période post-indépendance, alors qu’il était devenu un éminent médecin, de son combat farouche pour éradiquer, une fois pour toute, la tuberculose de l’Algérie. Plusieurs témoignages, de moujahidine, d’amis, d’historiens, de confrères et de disciples de Pierre Chlaulet sont disséminés tout le long du documentaire de 63 minutes, en plus de fabuleux extrait d’une interview filmée que le défunt avait donnée en 2011 - un an avant sa disparition - et le tout ponctué de scènes fictionnelles dans lesquelles les comédiens El Amine Mouffok et Nada Aissani endossent respectivement les rôles de Pierre et de Claudin Chaulet. Il est sans dire que le film a été fortement apprécié par l’assistance au point que cette dernière, à la fin de la projection, a réservé une standing ovation au réalisateur Saïd Mahdaoui, présent sur les lieux. Un riche débat s’en est suivi, où de nombreuses personnes ont pris la parole. Notons enfin que les mémoires de Pierre et Claudine Chaulet ont été publiés ces dernières années aux éditions Barzakh dans un livre écrit à quatre mains et préfacé par Rédha Malek, sous le titre Le choix de l’Algérie. Deux voix, une mémoire. Akram El Kébir
La salle de la Cinémathèque d’Alger a accueilli la projection de l’avant-première du court métrage «Exécution» (26 minutes), produit par le Centre algérien de développement du cinéma (CADC) dans le cadre du 60e anniversaire de l’indépendance.
Depuis le 20 juillet dernier, la cinémathèque d’Oran, en collaboration avec le Centre algérien de la cinématographie, projette quotidiennement Zaiir el dalam, un moyen-métrage de plus de 40 minutes dont la traduction latérale serait «Rugissement dans les ténèbres».
Raï is not dead, film documentaire en six épisodes de Hadj Sameer et Simon Maisonobe, a été projeté, lundi dernier, à l’Institut français d’Oran.
Un film auquel le public a réservé un accueil plutôt favorable, mais qui a en même temps suscité un débat face aux critiques formulées par quelques-uns.
Projeté pour la première fois à Constantine sur le grand écran de l’emblématique cinémathèque Ennasr de la rue du 19 Juin 1965, dans la soirée du 30 avril, le film Mémoires de scènes du réalisateur Abderahim Laloui n’a laissé personne indifférent parmi les nombreux passionnés du 7e art qui ont tenu à venir voir cette œuvre pleine d’émotion.
Une première série de courts métrages a été projetée mercredi à l’Institut français d’Oran en présence des réalisateurs.