Pour la deuxième année consécutive, les lycéens en tronc commun (1re année secondaire) peuvent choisir la filière des arts en vue de la préparation du baccalauréat artistique. La filière est ouverte depuis cette année scolaire (2022-2023). Quelque 153 élèves y sont scolarisés.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le secrétaire général du Haut-Commissariat à l’amazighité (HCA), Si El Hachemi Assad, revient sur la décision du ministère de l’Education d’assurer une «progression certaine» de tamazight à travers le territoire national dès la rentrée scolaire prochaine 2023-2024. Il annonce, dans ce sillage, l’installation d’un groupe de travail mixte chargé d’examiner les mesures nécessaires à même de consolider l’enseignement de cette langue et de prendre en charge les problèmes qui entravent sa généralisation progressive. Il a été aussi décidé, en concertation avec le ministre de l’Education nationale, Abdelkrim Belabed, la rédaction d’un document portant directive ministérielle à l’effet de clarifier les modalités organisationnelles liées à cet enseignement, annonce M. Assad.
Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, a eu une rencontre avec des associations agréées de parents d’élèves, consacrée aux décisions du dernier Conseil des ministres, notamment le volet concernant le secteur, et l’examen d’évaluation des acquis du cycle primaire, a indiqué, hier, un communiqué du ministère.
La Semaine nationale portes ouvertes sur l’orientation scolaire (16-27 avril) a débuté hier, au niveau du lycée Ibn El Haitham, à Alger, pour permettre aux élèves des cycles moyen et secondaire de bien choisir leur future voie professionnelle.
Le ministère de l’Education nationale a annoncé, mardi, les nouveaux horaires des cours dans les établissements éducatifs durant le mois de Ramadhan.
Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, a présidé, hier, l’ouverture d’un colloque national visant à superviser les préparatifs des examens scolaires nationaux pour la session 2023, ainsi que de contrôler les processus liés à la préparation de la rentrée scolaire 2023-2024.
Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, annonce la mise en place d’une nouvelle «approche» en matière de préparation des sujets des examens scolaires nationaux, notamment du baccalauréat, basée sur les guides de préparation des épreuves et prenant en compte «les critères d’évaluation pédagogique et psychologique à même d’inciter l’élève».
L’examen de fin de cycle primaire, appelé «5e», ne sera finalement pas rétabli. Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, est revenu sur sa décision annoncée la semaine dernière. S’exprimant hier, en marge de la cérémonie du coup d’envoi des épreuves du baccalauréat (session 2022), il a affirmé que cet examen «est abandonné».
Plus de 700 000 candidats sont appelés à se présenter dès aujourd’hui aux épreuves du baccalauréat pour la session de juin 2022. Ils sont répartis sur plus de 2500 centres d’examen à travers le territoire national.
Les épreuves du baccalauréat font l’objet d’un intérêt particulier de la communauté éducative, mobilisée pour réussir ce rendez-vous de toutes les attentes. Malheureusement, chaque année, cet examen sanctionnant un long cursus scolaire soulève la polémique en raison des erreurs qui se glissent dans les énoncés des sujets. Avant qu’ils arrivent sur la table d’examen, les sujets du baccalauréat ont déjà parcouru un long chemin et sont passés par de nombreuses mains.
Très court, le troisième trimestre s’achève presque déjà. Les classes, notamment celles du baccalauréat, sont parfois désertées et les disparités dans l’achèvement du programme pédagogique sont énormes.
Après sept mois de protestation, le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) affirme être prêt à négocier la fin de ses actions.
Les décrets présidentiels portant nouvelle grille indiciaire des traitements et les modalités d’attribution de la bonification indiciaire continuent de faire des mécontents.
Les membres de la Confédération des syndicats autonomes (CSA) affirment que plusieurs secteurs ont été paralysés au deuxième jour de la grève.
C’est devenu une tradition ! Le taux d’absentéisme des élèves en classes d’examen de fin d’année augmente d’année en année. Un phénomène qui met en jeu la crédibilité de l’école fondamentale.
Les Épreuves d’éducation physique et sportive (EPS) pour les candidats libres aux examens du BEM (Brevet d’enseignement moyen) et du baccalauréat, session 2022, auront lieu du 8 au 19 mai prochain, a annoncé, hier, l’Office national des examens et des concours (ONEC).
Dans le cadre du programme sectoriel décentralisé, une enveloppe financière de 62 milliards de centimes vient d’être débloquée aux écoles primaires et cantines scolaires dans la wilaya de Mostaganem, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la wilaya.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le président du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef) et frais émoulu coordinateur de la Confédération des syndicats autonomes (CSA), Boualem Amoura, revient sur le constat fait par les syndicats autonomes réunis dernièrement : érosion du pouvoir d’achat et «insignifiances» des dernières augmentations salariales. Pour Amoura, les représentants des travailleurs, réunis au sein de la CSA, plaident pour un SNMG de 80 000 DA. Le syndicaliste est favorable à l’ouverture d’un dialogue «sérieux» afin d’éviter une explosion sociale. «Nous devons être associés à toutes les questions qui concernent la vie et l’avenir des travailleurs. Nous sommes pour l’inclusion et non pour l’exclusion», affirme-t-il.
Même si le ministère n’a pas encore donné son évaluation des résultats des dernières compositions, les indicateurs semblent être au rouge. Qu’en pensez-vous ? Au fait, c’est relatif. L’évaluation, à travers les compositions trimestrielles, doit contrôler les connaissances apprises en classe. Elle permet de voir si l’élève a assimilé les connaissances enseignées par le professeur, sous forme de cours et d’exercices. Toutefois, dans l’évaluation des élèves dans notre système scolaire, on utilise l’évaluation diagnostique uniquement. Ceci, au détriment de l’évaluation formative. On s’attarde sur la réussite ou l’échec de l’élève sans pour autant s’intéresser à la détermination des causes pour pouvoir remédier à un éventuel échec scolaire de l’enfant. Il n’est donc pas tout à fait juste de parler de résultats catastrophiques des élèves. Il se pourrait que cela soit possible dans les matières essentielles mais les notes restent correctes dans les autres matières. Il faut aussi savoir que le niveau des élèves actuel comparé à leurs camarades d’il y a trois ans, a diminué.
Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, a tenu, jeudi, une réunion avec les syndicats du secteur consacrée à la présentation de l’avant-projet du statut particulier des fonctionnaires appartenant aux corps spécifiques de l’éducation nationale, dont l’élaboration vient d’être achevée par la commission technique ad-hoc.