Un film documentaire sur les événements de Sakiet Sidi Youcef (février 1958), produit par le Centre des études et recherche sur le mouvement nationaliste et la Révolution du 1er Novembre 1954, sera projeté demain en avant-première à Alger, a annoncé dimanche Nour El Houda Bentardjallah, cadre au sein du centre.
La projection du nouveau film documentaire Azar du réalisateur Malik Bourkache à la cinémathèque de Béjaïa, jeudi 24 janvier à 18h, a été un franc succès. C’est un succès aussi bien pour les membres de l’association Project’herts qui ont réussi à drainer un public même si l’horaire n’était adéquat que pour le réalisateur qui a vu que ce public s’est accroché au déroulement de ses images du début jusqu’à la fin et a déduit que le message qu’il voulait bien faire passer a été bien réceptionné.
La jeune cinéaste Nesrine Aitout a diffusé, samedi soir, en avant-première à Béjaïa, son moyen métrage intitulé «On est toutes pareilles», un documentaire de 21 minutes consacré à la lutte des femmes contre le cancer du sein.
l Le long métrage documentaire Pierre Clément, cinéma et révolution, réalisé par Abdenour Zahzah, a été projeté, samedi, à Alger, en avant-première.
Sara Nacer a réalisé le documentaire La rockeuse du désert, consacré à la chanteuse et musicienne Hasna El Bacharia, la première femme à jouer du gumbri, l’instrument phare de la musique diwane, en Algérie.
-L’ex-Fdatic, le FNDATICPAL, vient de délibérer et accorder un financement pour quelques films et documentaires pour un montant global de 63 milliards. C’est beaucoup, peu, pas assez, comment voyez-vous cette aide vu que vous aviez sonné l’alerte l’année dernière dans le cadre de l’APAC pour la relance du cinéma ?
Réalisateur, notamment de Fi rassi rond-point (Dans ma tête un rond-point) et surtout de 143 rue du désert, prix du meilleur réalisateur émergent à Locarno, prix du public au Festival des trois continents, mention spécial du jury au film arabe de Fameck ou encore grand prix du Festival du film méditerranéen de Bastia, Hassan Ferhani travaille toujours sur la frontière entre la fiction et le documentaire. Il s’explique.
Durant cinq semaines, le journaliste- réalisateur, Touhami Tayeb, accompagné par son équipe technique, avait sillonné différents terrains des communes de Menaceur, Sidi-Sémiane, Cherchell, Hadjout et Tipasa, afin de recueillir les témoignages des authentiques «acteurs et actrices», qui avaient eu un lien direct avec l’une des héroïnes algériennes oubliées, qui avait sacrifié sa vie pour l’indépendance de sa patrie, en l’occurrence Yamina Oudaï.
Lauréat des prix AIPS Sport Media Awards dans la catégorie «Video Short Feature» pour l’Afrique, «Ramadhan et football», et second dans la catégorie «Documentaire vidéo» avec le documentaire «La mort subite cardiaque (La tragédie du football)», Omar Boudi, co-réalisateur et producteur avec son frère, Zoheïr, des deux documentaires primés par l’AIPS, s’est exprimé suite à ces distinctions, en nous donnant plus de détails sur leur travail journalistique.
L'actrice américaine a fait une apparition inattendue sur la Croisette pour présenter un documentaire, intitulé Bread and Roses, sur l'enfer que vivent les femmes afghanes depuis le retour des Talibans.
Le comité des activités culturelles de la commune de Constantine, en collaboration avec l’association Numidi-Arts, le Centre algérien du développement du cinéma (CADC) et le Centre national de la cinématographie et de l’audiovisuel (CNCA), vient de lancer la première édition de «La semaine du film documentaire professionnel».
Succès, échecs, rebonds, addictions, vie en excès de vitesse permanent: loin des hagiographies habituelles, la série documentaire Johnny par Johnny de Netflix dresse un portrait captivant du rocker français Johnny Hallyday, surnommé l’ex-idole des jeunes.
Benjamin Stora et George Marc Benamou, deux pieds-noirs d’Algérie, ont eu le mérite de tenter de narrer une histoire appelée depuis toujours par les historiens français «la guerre d’Algérie», sur laquelle il existe encore tant de passions et de récriminations des deux rives de la Méditerranée.
Je suis arrivé sur ce projet il y a trois ans lorsque l’unité documentaire d’Arte m’a contacté. Ils avaient déjà choisi Raphaëlle Branche comme historienne co-auteure de la série. Arte avait aussi choisi de travailler avec l’Institut national de l’audiovisuel (INA). Je ne suis bien sûr par historien.
Du dernier bateau négrier connu à une ville recréée de toute pièce pour servir de lieu d’entraînement à la répression des manifestations en faveur des droits civiques dans les années 1960, le rapport trouble des Etats-Unis avec son passé raciste refait surface à travers plusieurs films du Festival de Sundance cette semaine.