Déterminé et mobilisé sur les questions d’hygiène sécurité et de préservation de nos espaces de vie, l’exécutif de la wilaya d’Alger a mis en place un dispositif mobile pour signaler les tares, vices et autres manquements relevés dans le milieu urbain dans son ensemble. Ce dispositif ou cette unité s’appuie sur des brigades de motocycles mobiles présentes sur le territoire des 14 circonscriptions administratives (CA) que compte la wilaya.
Plusieurs projets de développement destinés à répondre aux attentes des habitants des communes de la daïra de Chellalet El Adhaoura sont en cours d’exécution, a-t-on appris hier auprès des services de la wilaya.
Mise en place depuis 18 mois, l’unité motocycle de la wilaya d’Alger signale depuis les points noirs qui essaiment le milieu urbain. Elles sont nombreuses ces tares et vices qui gâtent le cadre de vie du citoyen, lequel citoyen a, faut-il avouer, une grosse part de responsabilité sur le plan de la préservation de l’environnement dans lequel il évolue.
Dans le cadre du programme de restauration inscrit par la wilaya au niveau de certains édifices historiques de l’ancienne médina, une opération de réhabilitation de palais sera lancée, et ce, après avoir finalisé les études et lancé un avis d’appel d’offres.
A El Biar, le programme de distribution de l’eau potable est loin d’être en adéquation avec les besoins des habitants, qui pour, la majorité d’entre eux, utilisent cet élément vital au courant de la journée.
La plupart des routes à Hammadi sont dans un état de délabrement tel qu’il devient difficile pour les voitures de se déplacer.
Le directeur général du Trésor et de la gestion comptable des opérations financières de l’Etat, Hadj Mohamed Sebaa, abordant hier le dossier de la dette publique du pays, a fait savoir que celle-ci est quasi exclusivement interne, représentant 47% du PIB. Et de rappeler que les normes internationales sont entre 60-65% du PIB.
Le président Tebboune a souligné «l’importance économique du projet» de la nouvelle raffinerie de Hassi Messaoud, appelant «à son achèvement rapide et sa mise en exploitation afin de renforcer la production nationale en essence et de gasoil et de s’orienter vers l’exportation».
Serein, le visage bien rasé, les yeux rivés sur des membres de sa famille, installés à l’arrière de la salle d’audience, Kamel Chikhi, dit «El Boucher», en référence à son métier, est apparu hier, presque six ans après son incarcération, au tribunal criminel de 1re instance, à Dar El Beida, Alger, en présence d’un important dispositif policier en uniforme et en civil.
La Banque de développement local (BDL) a lancé, hier, un nouveau service permettant aux citoyens d’ouvrir des comptes bancaires en ligne, dans le cadre des efforts de la banque publique visant à renforcer l’inclusion financière.
Le Front de libération nationale (FLN) a tenu, hier à Alger, la deuxième session ordinaire de son comité central issu du 11e congrès organisé le mois de novembre dernier.
Toute en validant le congrès, le ministère de l’Intérieur a émis des réserves, sur des membres élus du comité central qui doivent donc être remplacés.
L’affaire de la découverte, le 26 mai 2018, à bord d’un navire, à destination du port d’Oran, de 701 kg de cocaïne, dissimulés dans des cartons de viande surgelée, importée du Brésil sera examinée aujourd’hui par le tribunal criminel de première instance, à Dar El Beida à Alger.
Le ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, a exprimé, hier, «ses profonds regrets concernant les informations erronées et inexactes» sur l’Algérie, contenues dans le dernier communiqué du Secrétariat d’Etat américain sur la liberté de culte, a indiqué un communiqué du ministère.
La commission habitat, équipement, hydraulique et aménagement du territoire à l’Assemblée populaire nationale (APN) a effectué une visite d’inspection, du 2 au 5 janvier 2024, au niveau des infrastructures du secteur de l’hydraulique de certaines wilayas de l’Est, a fait savoir l’APN dans un communiqué.
Une grande affluence de malades est quotidiennement constatée au niveau de l’EPH Mohamed Boudiaf. Avec le manque d’effectif et de lits, les médecins et le personnel paramédical sont débordés.
Le coût des cours particuliers de soutien diffère de la wilaya, de la région, de la matière, du timing et également de l’enseignant.
L’EPH (Etablissement public hospitalier) de Tigzirt qui couvre une grande partie de la population du flanc nord de la wilaya de Tizi Ouzou, est toujours confronté à un manque de moyens.
Le phénomène est indécent moralement et toxique sur le plan pédagogique.
L’Etat des infrastructures de santé dans la wilaya de Tizi Ouzou laisse à désirer. Le cas de l’Etablissement public de santé de proximité (EPSP) des Ouacifs, à 40 kilomètres au sud-est de Tizi Ouzou, illustre parfaitement le marasme dont se morfondent les polycliniques, les centres de santé et salles de soins.