Les enfants de Ghaza, évacués vers l’Algérie pour y recevoir des soins médicaux, ont partagé des moments de joie et de célébration à l’occasion de l’Aïd El Adha, organisé par le Croissant-Rouge algérien (CRA) au Centre de repos familial (CRF) de Tipasa.
Comme de coutume, à l’approche du douzième hégirien, une effervescence s’empare de la ville et dans sa périphérie. Nos cités deviennent une aubaine pour certains revendeurs de moutons qui ne ratent pas l’occasion de transformer le moindre empan en lieu commercial où ils font leurs choux gras, tirant de substantiels dividendes.
La campagne de collecte des peaux de mouton sacrifiés durant l’Aid El Adha a été qualifiée de réussie par les services de la wilaya de Tébessa.
Comme à chaque Aïd, les autorités ont instauré un dispositif de permanence dans le but d’assurer la continuité des services essentiels et répondre aux besoins des citoyens pendant cette période spéciale.
Neuf personnes ont trouvé la mort et 560 autres ont été blessées dans 425 accidents de la circulation survenus durant les trois jours de l’Aïd El Adha à travers plusieurs wilayas du pays, selon un bilan rendu public hier par les services de la Protection civile.
Au second jour de l’Aïd El Adha, quelque 52 295 commerçants ont respecté le dispositif de permanence, à en croire le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations.
La journée de l’Aïd El Adha a été marquée dans la wilaya de Constantine par une forte mobilisation des services d’hygiène pour le ramassage des déchets importants en cette période de l’année.
Le programme vise à faciliter le déplacement des citoyens entre les quartiers et les communes de la capitale ainsi qu’un programme «Tarahom» (navettes à destination des cimetières).
Le marché de l’artisanat de la ville de Bou Saâda (M’sila) est comme à l’accoutumée, à la veille de la célébration de l’Aïd El Adha, pris d’assaut par les gens en quête du fameux couteau artisanal boussaâdi, célèbre pour son tranchant et sa solidité.
A moins de trois jours de la célébration de l’Aïd El Adha, le ministère de la Santé appelle les citoyens au strict respect des mesures de précaution, et cela, afin de limiter les risques de contamination par le kyste hydatique.
Le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale a annoncé, hier dans un communiqué, que le versement de l’allocation chômage sera effectué, à titre «exceptionnel», les 26 et 27 juin au profit de l’ensemble des bénéficiaires, et ce, à l’occasion de l’Aïd el Adha.
Des dispositions ont été prises à Médéa pour permettre aux citoyens d’accomplir dans de bonnes conditions «sanitaires et d’hygiène» le sacrifice du mouton de l’Aïd El Adha, a-t-on appris, samedi, auprès des services de la wilaya.
Les prix du mouton ont encore augmenté cette année pour devenir hors de portée des classes moyennes.
Chronique usuelle des veilles de l’Aïd El Adha : l’aliment de bétail est trop cher, les ovins sont hors de prix et les maquignons cupides ; les plus démunis passeront la fête sans sacrifice et la solidarité doit s’organiser ; l’économie de l'élevage subit des coupes claires et il faudra la laisser souffler…
Aux parlementaires qui l’ont invité à intervenir pour mettre fin à la flambée des prix excessifs du mouton, le ministre de l’Agriculture, Abdelhafid Henni, a expliqué que le marché est libre, mais son département envisage de mettre en place un nouveau système prenant en compte de tous les facteurs. Il précise que l’Algérienne des viandes rouges (Alviar) propose des prix «fixes et raisonnables».
Au total, vingt points de vente de bétail «réglementés» sont ouverts à travers les grandes agglomérations urbaines de Médéa en prévision de l’Aïd El Adha, a-t-on appris dimanche auprès de la direction locale du commerce et de la promotion des exportations.
Au total, 20 points de vente de bétail «réglementés» sont ouvert à travers les grandes agglomérations urbaines de Médéa en prévision de l’Aïd El Adha, a-t-on appris dimanche auprès de la direction locale du commerce et de la promotion des exportations.
Dans certains points de vente à la périphérie d’Alger, les prix du mouton commencent de 45 000 DA pour dépasser les 120 000 DA, soit près de 6 fois le Salaire minimum garanti (SNMG). Les éleveurs expliquent cette flambée par les aléas touchant la filière. Des associations, à l’instar d’El Amar, réclament la régulation du secteur.
La hausse vertigineuse des prix n’est pas de notre faute. Il faut savoir qu’aujourd’hui les prix ont, certes, doublé, mais cela n’est pas du ressort de l’éleveur. Il y a, comme je viens de le dire, plusieurs facteurs qui interviennent dans le prix.