Quatre membres du conseil national ont été reçus au ministère de la Santé pour entamer les discussions à propos de la révision de l’arrêté de 2005 portant sur les conditions d’installation et de transfert des pharmacies d’officine.
Le président du CNOP appelle à la promulgation des textes d’application de la loi sanitaire 18-11, qui sont en attente depuis trois ans, portant le statut du pharmacien assistant.
Les enfants atteints de cancer ainsi que leurs parents sont confrontés, en Algérie, à une double peine : en plus du drame qu’ils subissent, ils doivent composer avec des ruptures cycliques d’approvisionnent des traitements essentiels à leur rétablissement et subir l’absence de services équipés, notamment dans les régions intérieures, et la difficulté de décrocher un rendez-vous pour la radiothérapie.
Le président de la République est-il au courant du blocage concernant la construction d’une clinique pour enfants cancéreux à Blida ? Une question qui mérite d’être posée à cause d’un blocage bureaucratique qui semble durer dans le temps. En ce 15 février 2022, coïncidant avec la Journée mondiale de l’enfant cancéreux, défendre le projet en question s’avère plus que vital.
Les grévistes soulèvent le manque des moindres outils nécessaires pour leur formation, dont les consommables, mais aussi les fauteuils dentaires et la dégradation du peu qui existe, ainsi que le non-fonctionnement du simulateur dentaire.
Le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a affirmé, hier à Alger, que les cas de contamination par le coronavirus (Covid-19) avaient atteint leur pic le 25 janvier dernier, avec 2521 cas enregistrés.
En soutien aux pharmaciens d’officine suite à l’annonce de la révision de la loi relative à l’installation des pharmacies d’officine, l’Union nationale des opérateurs de la pharmacie (UNOP) a exprimé son «soutien plein et entier à la position exprimée à ce sujet par le Snapo».
Depuis la première session en 2007 des EVC et les premiers résultats publiés le 30 janvier 2008, des centaines de lauréats à l’EVC sont Algériens et s’expatrient en France.
Les équipes chargées de contrôler l’approvisionnement continu des pharmacies d’officine en produits pharmaceutiques, inscrits au protocole thérapeutique Covid-19, ont constaté un «meilleur respect» des dispositions en vigueur de la part des distributeurs, lors d’une série d’opérations d’inspection menées du 5 au 10 février à travers plusieurs wilayas du pays, a indiqué samedi le ministère de l’Industrie pharmaceutique dans un communiqué.
Les syndicats et l’Ordre des pharmaciens s’élèvent contre la révision annoncée des textes régissant la profession. Ils appellent au retour au numerus clausus classique, à savoir une pharmacie pour 5000 habitants, avec une distance d’au moins 200 m entre deux officines.
Covid -19, Du diagnostic à la prise en charge thérapeutique, Gestion de crise, Résilience et recommandations » est le titre d’un ouvrage publié par l’équipe multidisciplinaire dont des praticiens co -auteurs et colorateurs du CHU De Bab El oued.
Certes, l’épidémie est en train de décliner progressivement, mais cela ne signifie pas la fin de la pandémie, a souligné le Dr Fawzi Derrar.
"Je commence d’abord par vous dire que les trois quarts des cas ne sont pas comateux, quand ils arrivent au CHU. C’est-à-dire, la plupart ne sont pas d’une extrême gravité. Les personnes examinées qui ne présentent pratiquement aucun signe sont autorisées à rentrer chez elles."
Au vu des nouvelles dispositions réglementaires du ministère de l’Industrie pharmaceutique régissant tout le processus de fabrication du médicament, l’investissement, l’importation, la distribution et l’exportation, les établissements pharmaceutiques, préalablement agréés par les services du ministère de la Santé, sont désormais tenus de procéder à la mise en conformité de leurs agréments avant le 28 février courant.
Le Syndicat national des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires (Snechu) rejette «catégoriquement» l’avant-projet des grilles des concours des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires, concocté par le minière de tutelle.
En réaction aux déclarations du ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, relatives au départ de 1200 médecins spécialistes algériens à l’étranger, lauréats de l’examen d’aptitude, en vue d’exercer en France, le collectif des professeurs en sciences médicales estime que « la réponse» du ministre de la Santé au journaliste est «ahurissante et laisse perplexes les professionnels de santé».
Le collectif des praticiens de chirurgie générale et digestive de l’hôpital Ibn Rochd, relevant du CHU de Annaba, sont en colère contre leur direction générale. Dans une lettre adressée avant-hier au directeur général de ce CHU, Naceur Nacer, plusieurs médecins, spécialistes en chirurgie générale, vasculaire et digestive, ont annoncé une grève générale à partir du 20 février courant.
Conçu pour remédier aux déserts médicaux dans les régions isolées du pays, le service civil continue de nourrir la grogne des médecins praticiens de santé publique, lesquels réclament son abrogation. Les autorités, quant à elles, reconnaissaient les limites de ce dispositif et promettaient une révision de la loi, qui contraint les jeunes médecins, à la fin des six années de spécialisation, à exercer entre un et quatre ans dans des régions reculées du pays.
Un produit de biotechnologie compris dans le protocole de traitement, un quota de 60 000 flacons du Méthotrexate injectable 1 g, un produit de chimiothérapie en rupture depuis plusieurs mois, a été livré hier par le laboratoire suisse Sandoz.
Alors que la courbe épidémiologique de la Covid-19 connaît une décrue significative, le variant Omicron est toujours en circulation et il reste actuellement dominant dans notre pays, selon l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA).