L'Organisation mondiale de la santé a fait état d'une épidémie suspectée du virus de Marburg en Tanzanie, ayant déjà causé la mort de huit personnes.
Bien que les variations entre laboratoires soient souvent faibles, dans certains cas, elles peuvent avoir des conséquences dramatiques sur la santé du patient.
Les résultats peuvent être un peu différents en fonction des techniques et du matériel utilisés. Les normes aussi peuvent être différentes.
Dans le but de limiter la transmission et de diminuer le risque de complications de la grippe, le ministère rappelle que la campagne de vaccination antigrippale 2024-2025 est toujours de rigueur, et ce, jusqu’à la fin de la saison hivernale.
Non, il n’y a pas lieu de s’inquiéter pour le moment. L’Organisation mondiale de la santé a confirmé que les maladies respiratoires signalées en Chine, y compris celles causées par le métapneumovirus humain (HMPV), restent dans des niveaux habituels pour la saison hivernale.
Les angines ont constitué le thème d’une journée de formation médicale continue (FMC), organisée hier à Alger, par le service d’otorhinolaryngologie (ORL) du CHU Mustapha Pacha, durant laquelle l’accent a été mis sur l’importance d’une «bonne prise en charge thérapeutique» dans le traitement de cette pathologie.
Vous le savez, aussi savoureuses qu'elles soient, les barres chocolatées sont bien trop riches en sucre. Mais quelle quantité de sucre ingérons-nous réellement en les consommant ?
L'Algérie a franchi une étape majeure dans le domaine de la médecine nucléaire. Pour la première fois, le 23 décembre courant, un patient sexagénaire a bénéficié gratuitement d'un traitement de pointe pour les tumeurs neuroendocriniennes appelé «radiothérapie interne vectorisée», à l'hôpital privé Chahids Mahmoudi, à Tizi Ouzou, dirigé par le Dr Saïd Mahmoudi.
Le partenariat entre Novo Nordisk Algérie et le ministère de la Santé vient d’être renouvelé.
La mortalité due à cette maladie transmise par les moustiques est redescendue à son niveau d’avant le Covid, qui avait perturbé les opérations de lutte.
Si dès le début de l’épidémie de l’infection VIH/sida, l’Algérie s’est investie dans la riposte au sida de façon volontariste et déterminée à travers un engagement politique régulièrement réaffirmé et traduit par un financement conséquent avec plus de 95% du budget alloué par le Trésor public qui garantit, à titre gratuit et universel, toutes les prestations, certains tabous persistent, ce qui dissuade beaucoup de personnes à se faire dépister. C’est pourquoi les spécialistes estiment important que les facteurs sociaux soient pris en compte dans les stratégies de prévention et de sensibilisation, afin de créer un environnement où les personnes se sentent soutenues et en sécurité pour se faire dépister et suivre un traitement. Explications !
Si les gens sont toujours si réfractaires au dépistage, c’est pour plusieurs raisons. Selon M. Bourouba, il y a d’abord la peur de la maladie elle-même et les tabous qui entourent le VIH/sida
«Il existe une véritable juxtaposition de deux épidémies : celle de la toxicomanie et celle du VIH», affirme Othmane Bourouba, président de AIDS Algérie. C’est pourquoi il estime que la lutte contre la drogue est un élément crucial dans la réduction des cas de contaminations par le VIH.
«La meilleure stratégie pour mettre un terme au VIH/sida doit être globale et holistique, c’est-à-dire qu’elle doit prendre en compte les défis et réalités du terrain, tout en étant centrée sur les populations-clés, en répondant spécifiquement à leurs besoins», explique M. Bourouba.
Plusieurs actions de prévention combinées sont organisées tout au long de l’année au profit des jeunes ainsi que des autres populations-clés et vulnérables (PCV).
La 2e édition du Salon international de la pharmacie et de la parapharmacie (Siphaphac) a été ouverte, jeudi à Chlef, avec la participation de plus de 40 opérateurs, entre pharmaciens, investisseurs en produits pharmaceutiques et parapharmaceutiques et distributeurs.
Outre des présentations théoriques, l’accent a été mis sur la dimension pratique, avec l’organisation d’ateliers destinés aux praticiens généralistes.
Une rencontre a été organisée hier à Alger, à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, lors de laquelle les participants ont mis en avant l’importance de la prévention de cette maladie ainsi que l’accès équitable aux services de santé sans discrimination ni stigmatisation.
Même si les cas chez les humains restent rares, les experts craignent une mutation du virus qui lui permettrait de passer d’un humain à un autre.
Après un mois d’activités intenses à travers plusieurs localités et établissements, dans le cadre de la campagne de sensibilisation et de dépistage du mois d’Octobre rose, l’association Tudert a enregistré 74 cas suspects sur 1887 ayant effectué le test de dépistage.