La place de la biologie médicale dans le diagnostic de plusieurs maladies est aujourd’hui de plus en plus appuyée par les spécialistes, et la pandémie de Covid-19, qui a ébranlé le monde, en est l’exemple, insistent-ils.
Les décès dus au nouveau coronavirus (Covid-19) devraient diminuer de près de 94% cette année en Afrique, par rapport à 2021, l’année la plus meurtrière de la pandémie sur le continent, a indiqué jeudi soir l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le ministre de la Santé, Abderrahmene Benbouzid, a qualifié les conditions d’hospitalisation et la dégradation des équipements dans les CHU de regrettables.
Les travaux de la 1re Conférence des Etats parties au Traité portant création de l’Agence africaine du médicament (AMA) se sont déroulés du 1er au 3 juin 2022 à Addis-Abeba (Ethiopie), auxquels a pris part le Dr Lotfi Benbahmed, ministre de l’Industrie pharmaceutique.
La Journée internationale de l’enfant, célébrée le 1er juin de chaque année, a été une occasion pour le président de la Fédération nationale des insuffisants rénaux de réitérer ses appels d’urgence et d’interpeller Abdelmadjid Tebboune sur la situation dramatique à laquelle font face les enfants atteints de cette lourde maladie.
Le tabac : une menace pour notre environnement» est le thème choisi cette année par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la célébration de la Journée mondiale sans tabac, le 31 mai de chaque année.
La 9e journée scientifique du Syndicat national autonome des pharmaciens d’officine (Snapo) d’Oran a été organisée, jeudi dernier, à l’hôtel Oran Bay (ex-Sheraton). Cette année, c’est le thème de «La production nationale des médicaments» qui a été débattu et décortiqué par de nombreux intervenants, qui ont présenté à tour de rôle et tout le long de la journée des communications face à une assistance composée de pharmaciens venus de plusieurs wilayas du pays.
De nombreux médicaments essentiels importés et non fabriqués localement font l’objet de blocage suite aux retards dans l’obtention de l’autorisation délivrée par l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex), instaurée par le ministère du Commerce portant sur l’importation de produits destinés à la revente en l’état. Cette autorisation est exigée au niveau des banques pour la domiciliation des opérations d’importation.
Une première plateforme algérienne dédiée à l’export à destination de 23 pays du continent africain vient d’être lancée dans le cadre d’un accord tripartite signé lors du Salon El Djazair Healthcare le 17 mai 2022, à Dakar, entre Hydrapharm, Planet Pharma, une filiale de UbiPharm, et Biogalenic.
Président du Forum pharmaceutique africain, membre du conseil de la Fédération internationale pharmaceutique (FIP), consultant pharmaceutique international et défenseur de l’accès aux médicaments de qualité en Afrique et des bonnes pratiques de fabrication de l’OMS, Prosper Hiag revient, dans cet entretien, sur l’importance de la coopération Sud-Sud pour aider au renforcement des capacités de production et au développement de l’industrie pharmaceutique en Afrique et le développement social et durable. L’Algérie a, selon lui, une place particulière dans cette dynamique de la chaîne de valeurs du médicament, en mettant l’accent sur l’éthique pharmaceutique, et de la déontologie.
Le Salon des produits pharmaceutiques et des équipements médicaux «Djazair Healthcare» a été inauguré hier à Dakar, au Sénégal, conjointement par le ministère de la Santé et de l’Action sociale sénégalais, Abdoulaye Diouf Sarr, et le ministre de l’Industrie pharmaceutique, le Dr Lotfi Benbahmed. Rappelant le caractère stratégique du secteur de l’industrie pharmaceutique, les deux ministres ont insisté sur l’importance de la coopération et le développement de partenariats gagnant-gagnant entre les deux pays.
Le premier Salon algérien de l’industrie pharmaceutique El Djazair Healthcare 2022, organisé conjointement par les ministères de l’Industrie pharmaceutique et du Commerce et la société Tasdir, ouvrira ses portes aujourd’hui au King Fahd Palace à Dakar, au Sénégal, et se poursuivra durant trois jours, du 17 au 19 mai 2022.
Le ministre de l’Industrie pharmaceutique appelle à la promotion de la production africaine des produits pharmaceutiques, notamment les vaccins, en Afrique, par l’intégration des financements consacrés annuellement par le Fonds mondial pour la lutte contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme, dont l’enveloppe est estimée à 4 milliards de dollars chaque année.
La pandémie de Covid-19 a-t-elle pris fin ? «Non, la pandémie n’est pas finie. La quatrième vague qu’on a vécue est certes finie, car nous n’avons quasiment pas eu de cas Covid-19 depuis deux mois, mais ce ne sera qu’à partir du moment où l’OMS déclare la fin de la pandémie, qu’on pourra dire que cette dernière est terminée, car les variants du virus circulent toujours. Nous sommes sur la bonne voie, mais il faut être vigilant.»
Dans cet entretien accordé à El Watan en marge du congrès qui se tient à Oran, le Dr Mohamed Yousfi, président de la Société algérienne d’infectiologie, préfère rester prudent quant à la fin de la pandémie de Covid-19. «La pandémie n’est pas finie», a-t-il alerté tout en appelant à tirer les leçons de la dure épreuve liée à la Covid-19.
Une analyse de l’impact de la pandémie de Covid-19 réalisée par le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread), à la demande du ministère de la Santé, révèle que la population algérienne cible a manifesté sa réticence à la vaccination anti-Covid-19 à cause des effets secondaires et le manque d’information sur la provenance des vaccins.
Ils étaient plusieurs centaines de médecins spécialistes en orthopédie et traumatologie dont plusieurs professeurs tunisiens à assister, hier, à l’ouverture des Journées inter-congrès de la Société algérienne de chirurgie orthopédique et traumatologique «SACOT» à Annaba.
Soins de support pour assurer une meilleure qualité de vie des patients cancéreux» est le thème de la quatrième journée scientifique, à laquelle ont pris part de nombreux paramédicaux, organisée hier par l’Association des infirmiers en cancérologie (AIC) du Centre Pierre et Marie Curie (CPMC).
Depuis le déclenchement de la pandémie de Covid en Algérie, le marché des compléments alimentaires a connu un véritable boom, alors que l’activité elle-même échappe à toute forme de contrôle à cause d’un vide réglementaire.
Je travaille dans un laboratoire spécialisé dans tout ce qui est plantes et santé. Mon intervention était axée sur la problématique des plantes intégrées dans un complément alimentaire, et qui constituent une préoccupation mondiale, vu qu’elles sont assez difficiles à appréhender.