Tenaces et téméraires à la fois, d’anciens habitants de Diar Enakhla à Sétif ne lâchent pas prise. Faisant fi de la fin de non-recevoir des uns et des dérobades des autres, les anciens propriétaires devenus soudainement des locataires, ne baissent pas pour autant les bras. Ils se battent pour recouvrer leurs droits.
Ces retrouvailles musicales, bien chargées en sonorités, chants et rythmes, ont tenu toutes leurs promesses, après deux ans de pandémie, de confinements et de privations.
Victime et témoin oculaire des actes commis par la soldatesque coloniale le 29 juillet 1956 à Biskra, un septuagénaire a jeté un pavé dans la mare en révélant le contenu d’une correspondance de la direction des moudjahidine de Biskra concernant la commémoration du «Dimanche noir» le 29 juillet 2021.
Pour égayer les soirées ramadhanesques et permettre aux familles de profiter d’une aire de distractions et de loisirs nocturnes, l’APC de Biskra a paré J’nen Beylek (Jardin du 5 Juillet 1962) de ses plus beaux atours pour accueillir une manifestation impliquant des associations culturelles, des experts en art culinaire, des groupes folkloriques, les scouts et leur fanfare et des chanteurs, artistes et artisans chargés d’animer des récitals, des stands et des rencontres avec le public.
Deux corps sans vie d'adolescents de 14 et 16 ans ont été repêchés dans l'après- midi de dimanche dans une mare d'eau à Ras El Kaf, dans la commune de Khelil, au nord-est de Bordj Bou Arréridj, puis ils ont été transportés à la polyclinique de la même commune, a-t-on appris de la cellule de communication de la Protection civile.
L’histoire des constructions illicites et des espaces annexés illégalement par les attributaires des lots de terrain remonte aux années fastes de l’agence foncière locale de Souk Ahras, qui prit depuis les années 1990 des allures de prébendes.
Alors que le médiateur de la République s’affaire dans le suivi de l’opération relative à la levée des contraintes sur l’investissement et sur les investisseurs, tel que souhaité par les pouvoirs publics, un investisseur de la wilaya de Jijel dans le secteur de l’aquaculture, vit un véritable désarroi, à quelques deux mois seulement de l’installation de ses cages flottantes sur le site en mer de Oued Z’hor, côté wilaya de Jijel.
Reléguée au dernier plan par les gestionnaires de la ville et de la wilaya de Sétif, la culture essaye, en ces jours du mois de ramadhan, de renaître de ses cendres. Héritant d’un véritable cadeau empoisonné, la nouvelle équipe communale, marchant, le moins que l’on puisse dire, sur un champ miné, essaye tant bien que mal de redorer le blason d’un secteur naufragé.
L’ambiance au lycée Salah Benalioui de la capitale des Hauts-Plateaux n’est pas au beau fixe. La relation entre le directeur de l’établissement et des parents d’élèves d’une part, le chef de l’établissement et de certains enseignants, de l’autre, en est la cause.
Pour célébrer le mois du patrimoine sous le thème «Notre patrimoine immatériel, identité et authenticité», le musée national Cirta de Constantine a tracé un riche programme ciblant toutes les catégories d’âges.
Les perturbations dans l’alimentation en eau potable sont devenues récurrentes ces derniers temps à la cité 160 logements Cnep d’Oued Lehdjar, dans la commune de Didouche Mourad, située à 18 km de Constantine.
Des sources concordantes ont fait état récemment d’un détournement d’une somme de 632 212, 95 DA des fonds de la Caisse nationale des assurances sociales(CNAS) par un employé de l’antenne de Souk Ahras.
La rue commerçante, portant le nom d’Abbès Laghrour, est prise d’assaut par une faune de commerçants occasionnels, qui squattent tous les trottoirs et même une partie de la chaussée.
Fondée en 1995 au bénéfice du personnel tous corps confondus du CHU de Batna, la coopérative immobilière Bîmâristân, totalisant 584 lots de terrains initialement et théoriquement lotis sur une assiette foncière de 32 ha située à Tamchit au sud-ouest de la capitale des Aurès, est au centre d’une déplorable affaire de manipulations, de convoitises impliquant des gens bien placés, d’accaparement de biens publics, de fraudes, d’escroqueries et d’abus de pouvoir manifestes contre lesquels la justice a sévi et condamné plusieurs personnes.
Au cours d’une opération combinée de contrôle des commerces et des points de vente des denrées alimentaires de la commune d’Ouled Djellel, les agents du service de la santé publique de la municipalité et ceux de la direction du commerce ont découvert la semaine dernière chez un boucher une importante quantité de viande rouge et d’abats ne comportant aucune estampille vétérinaire, entreposés dans d’exécrables conditions et jugés impropres à la consommation humaine, a indiqué un communiqué de l’APC d’Ouled Djellel.
Si les logements sont livrés, il restera les travaux de VRD, mais surtout les équipements tels les établissements scolaires, les infrastructures de santé publique, une antenne administrative de l’APC…
Inscrite depuis presque dix ans, la méga-zone industrielle d’Ouled Saber, commune située à 10 km à l’est de Sétif ne voit pas encore le bout du tunnel.
On ne s’explique pas comment une wilaya réputée agricole et particulièrement productrice de maraîchages, d’agrumes et de viandes, n’arrive pas à répondre à la demande de sa population.
L’affaire ne cesse d’alimenter les discussions sur les réseaux sociaux depuis hier à Constantine. Les faits remontent à la journée du jeudi 7 avril en cours, quand des informations sont parvenues aux services de la police au sujet de la disparition de l’enfant B. S. A. âgé de 5 ans, habitant la ville de Hamma Bouziane, située à 10 km de Constantine.
Les temps sont durs pour les malades chroniques à Sétif où bon nombre de médicaments sont en rupture. Les plus affectés sont les malades atteints d’une pathologie cardiaque et l’HTA (Hypertension artérielle).