Le 10 septembre dernier, le Grand barrage de la Renaissance éthiopienne a connu sa quatrième et dernière phase de remplissage et devient donc un fait accompli qui met les autorités égyptiennes face à des réalités redoutées depuis plus de 12 années.
Le corridor comprend 10 000 km de voies ferrées, un budget d’investissement de 100 milliards de dollars, dont une partie sera supportée par l’Arabie Saoudite, et 10 millions d’emplois en perspective.
Après la réunion des BRICS, qui s’est soldée par son extension à de nouveaux pays, dont l’Arabie Saoudite et les Emirats arabes unis, ce bloc revendique désormais 45% de la population mondiale, près de 30% du PIB mondial, plus de 50% de la croissance et surtout plus de la moitié de la production des énergies fossiles.
Une découverte récente suggère que nos ancêtres Homo sapiens et les Néandertaliens ont peut-être partagé les mêmes sites.
Le phénomène de l’exploitation illégale des plages est loin d’être totalement éradiqué. Certains jeunes continuent de défier l’État et imposent de nouveau leur loi.
Les destinations préférées des Algériens, selon de nombreuses agences de voyages, sont la Tunisie, la Turquie (Antalya), l’Egypte (Sharm el Sheikh), la Malaisie et les côtes européennes de la Méditerranée pour ceux qui ont la chance de décrocher le fameux visa Schengen de type C à entrées multiples.
De janvier jusqu’à la fin du mois de juin, 1,13 million d’Algériens, en majorité des touristes, ont franchi les frontières tunisiennes à travers les différents postes frontaliers, dont celui d’Oum Teboul (El Tarf) considéré comme étant le plus important du pays.
Il s’agit de l’accompagnement des opérations d’aménagement qui entrent dans le cadre de la relance du projet du barrage vert. Les opérations sont multiples. De la monoculture, reboisement avec le pin d’Alep, comme cela a été l’usage dans l’ancienne version du projet, où seule la steppe pastorale a été prise en compte, il faut passer à la diversification, en considérant d’autres aspects dont ceux forestiers, fourragers et fruitiers
La relance du barrage vert fait partie de la stratégie de lutte contre la désertification qui vient d’être appuyée par la recherche scientifique et les compétences universitaires, avec l’installation, le 17 juin dernier, du Comité scientifique et technique de la lutte contre la désertification et de la restauration du barrage vert (LCDBV).
Le wali, Abdelkhalek Sayouda, avait déclaré que la direction des impôts donne des chiffres sur un recouvrement loin des capacités réelles de la capitale de l’Est, en dépit de tous ses atouts commerciaux et économiques.
Les eaux non traitées sont rejetées dans le milieu naturel, le plus souvent dans les cours d’eau, les plans d’eau et en mer, pour lesquels elles constituent la plus forte source de pollution.
Le prix de l’oignon sec (connu sous le nom d’oignon jaune et rouge) a dépassé toutes les prévisions sur les marchés de gros et de détail, devenant le sujet de discussion tant en public qu’en privé.
Quelque 3000 tonnes d’oignons stockées dans les entrepôts et chambres froides gérés par le ministère du Commerce seront mis sur le marché, au cours de cette semaine, en vue de stabiliser les prix de ce bulbe.
Alors que près de la moitié des enfants scolarisés bénéficient de repas gratuits, les plus vulnérables, notamment dans les pays en développement, restent exclus dans un contexte de crise alimentaire mondiale, indique une agence des Nations unies.
Dans certains points de vente à la périphérie d’Alger, les prix du mouton commencent de 45 000 DA pour dépasser les 120 000 DA, soit près de 6 fois le Salaire minimum garanti (SNMG). Les éleveurs expliquent cette flambée par les aléas touchant la filière. Des associations, à l’instar d’El Amar, réclament la régulation du secteur.
La hausse vertigineuse des prix n’est pas de notre faute. Il faut savoir qu’aujourd’hui les prix ont, certes, doublé, mais cela n’est pas du ressort de l’éleveur. Il y a, comme je viens de le dire, plusieurs facteurs qui interviennent dans le prix.
Sur une artère commerçante du centre-ville de Batna, deux jeunes trentenaires quittent un bureau d’assistance en affaires. Ils étaient venus seulement se renseigner, mais pas pour un business courant. Le bureau en question propose en effet la conversion des cryptomonnaies en monnaies fiduciaires. L’affaire est excitante, et les deux candidats semblent bien convaincus de se lancer dans la spéculation après avoir eu des assurances contre leurs ultimes craintes.
Le Salon international du tourisme, des voyages et des transports (Siaha), dans sa 12e édition organisée à Oran, a permis de déceler plusieurs tendances. La première est celle d’un retour vers l’authentique, le patrimoine et les racines.
C’est un calvaire qui dure depuis le 21 septembre 2020. Celui des familles de 13 harraga partis ce jour-là de Aïn Benian à destination de l’Espagne, et qui depuis n’ont plus donné signe de vie.
Le métier d’influenceur tend à se professionnaliser dans le monde à l’heure de l’essor du marché d’influence marketing. Coup de projecteur sur un phénomène à réglementer. Il convient de s’interroger entre autres sur la nature contractuelle de la relation entre l’influenceur et la marque qu’il promeut.