Tous les ingrédients culturels étaient savamment réunis, dans la soirée de jeudi 21 septembre à l’Institut français de Constantine, pour célébrer la 10e édition du LAB DZ, dans une belle ambiance juvénile. Dix ans déjà pour ce laboratoire de création documentaire de l’Institut français Algérie, qui a vu défiler des jeunes passionnés de cinéma et leur a donné l’occasion d’éclore, de confirmer et d’explorer de nouveaux horizons.
Des auteurs algériens et européens, réunis à Alger, ont partagé leurs réflexions sur l’impact de l’intelligence artificielle sur la créativité littéraire, soutenant que les représentations de la culture et l’histoire dans le domaine littéraire risque de «subir les conséquences d’une utilisation effrénée de cet outil».
Le commissariat du Festival culturel national de la production théâtrale féminine a tenu, samedi, une conférence de presse au Théâtre régional Ezzedine Majoubi en préparation de sa sixième édition. Elle se tiendra du 30 septembre au 5 octobre à Annaba, où la commissaire, l’artiste Linda Salam, a présenté aux participants tous les détails ayant trait à cette édition, placée sous le slogan «La femme et l’écriture théâtrale, créativité et excellence».
Des milliers de personnes se sont réunies lors du festival Global Citizen à Central Park, New York, pour assister à des concerts de Lauryn Hill, des Red Hot Chili Peppers et de Jungkook.
La chanteuse Samira Brahmia a animé la soirée de clôture du 6e Festival national de la littérature et du cinéma de la femme de Saïda. Samira Brahmia travaille sur un projet de tournée algérienne qui sera un spectacle de chant et de danse. Elle cherche des soutiens en Algérie pour concrétiser ce projet artistique ambitieux. The Algerian Awa Tour sera l’occasion d’interpréter les treize chansons de son dernier album Awa.
Sous le thème «Le printemps des lumières», le Musée public national calligraphie islamique, en collaboration avec la Direction de la culture, organise à la salle Abdelhalim Hemch de la Maison de culture Abdelkader Alloula, du 16 au 30 septembre, une exposition d’œuvres d’art contemporain de l’artiste peintre Mahmoud Taleb.
En face la mer, derrière la montagne, en haut le soleil. C’est de l’alchimie, voire de la chimie et si le chlorure de sodium du sel de mer était du chlorure d’argent, composé insoluble dans l’eau et photosensible, on aurait eu grâce au soleil des photographies empilées dans cette mer des différentes époques qu’a vécues Béjaïa, Bgayet, Saldae, au cours de sa longue histoire.
Scénariste et réalisateur autant que comédien, auteur d’une dizaine de films, on lui doit Le thé à la menthe (1984), La nuit du destin (1997), Le soleil assassiné (2004) et Jennia (2019). Bien qu’ayant réalisé plusieurs films français, il est sélectionné pour l’aide au cinéma en Algérie et va bientôt entamer son nouveau long métrage, Jawhara, qu’il va tourner à Saïda, sa ville natale.
LE BONHEUR EST DANS LE FILM Le documentaire Zinet, Alger, le bonheur du réalisateur Mohamed Latrèche, a été sélectionné pour le 6e Festival international d’El Gouna en Égypte où il sera présenté en avant-première. Dans cette œuvre singulière, Mohamed Latrèche raconte le parcours du militant, réalisateur et acteur Mohamed Zinet au détour de son film culte, Tahya ya Didou de 1971 qui entre poésie et esthétique, chante une ode à la Casbah et Alger au sortir de l’indépendance, déclamée par Himoud Brahimi, dit «Momo».
Le vendredi 20 septembre 1996, la nouvelle de l’assassinat du chanteur Cheb Aziz avait fait le tour de la ville de Constantine. Elle s’est propagée dans plusieurs autres villes comme Skikda et Sétif, où le défunt comptait de nombreux amis. Aziz était l’une des figures populaires de la chanson algérienne dans les années 1990.
Le film chinois "No More Bets," réalisé par Ao Shen et sorti en août, a suscité des inquiétudes concernant la sécurité en Thaïlande et a nui à l'industrie touristique du pays.
Kamel Azouz était présent à Saïda où il a présenté son documentaire L’olivier sauvage au 6e Festival national de la littérature et du cinéma de la femme, qui s’est déroulé du 13 au 17 septembre. Le documentaire est consacré à l’Algérien Méziane Azaiche, le créateur, en 1997, du Cabaret sauvage, lieu de spectacle, au Parc de la Villette, à Paris. «C’est le récit universel d’un immigré qui a défié toutes les adversités afin de réaliser son rêve et conquérir sa liberté», est-il précisé dans la petite affiche du film. Rencontre.
Ce qui émerge peu à peu d’un flot d’images gorgées d’une violence inouïe, à force d’une spectacularité extrême, c’est l’insistance non sur la témérité des combattants turcs mais sur une bestialité qui leur est prêtée par leurs gestuelles et leurs hurlements de fauves.
Le professeur Farid Kacha présentera et dédicacera aujourd’hui (14h), à la librairie du Tiers Monde, son nouvel ouvrage intitulé : Cette chose-là (Koukou). L’essai traite d’un sujet tabou, la sexualité.
Le film documentaire Le Citoyen Pierre Chaulet sera présenté en avant-première, samedi 23 septembre à 19h, à la Cinémathèque d’Alger.
Mustapha Boutadjine vient d’accrocher aux Cimaises en banlieue parisienne une rétrospective et des œuvres inédites sous le titre «Collage Résistant(s)».
Le Festival du film méditerranéen de Annaba (AMFF) a lancé le concours «Annaba film Industry» consacré aux porteurs de projets cinématographiques des pays méditerranéens, à l’occasion de la 4e édition du Festival prévue en novembre prochain, selon le comité d’organisation.
Le cinéaste Rachid Bouchareb et l’écrivain Yasmina Khadra ont débattu de la thématique de l’adaptation des romans au cinéma lors du 6e Festival national de la littérature et du cinéma de la femme de Saïda.
Le film Zinet, Alger, le bonheur, du réalisateur algérien Mohamed Latrèche participe à la compétition officielle des longs métrages documentaires du 6e Festival international du film d’El Gouna en Egypte, ont annoncé, lundi, les organisateurs.
Le court métrage Desert rose, une nouvelle œuvre cinématographique du réalisateur Oussama Benhassine, sur le drame des essais nucléaires français dans le désert algérien, a été projeté samedi en avant-première à la Cinémathèque d’Alger, dans le cadre du programme du soixantenaire de l’indépendance.