Le Parti des travailleurs (PT) apporte son soutien aux 29 syndicats, représentant la quasi-totalité des secteurs de la Fonction publique, qui viennent de lancer un appel à la mobilisation en organisant deux jours de grève, les 26 et 27 avril courant.
Le Front des forces socialistes (FFS) a appelé à une «plus grande vigilance» dans ce contexte particulier que traverse le pays, marqué par des «manœuvres sournoises» visant à semer la haine et la division entre les enfants du peuple.
La ville de M’chedallah ou Imcheddalen, ex-Maillot, à l’extrême est de la wilaya de Bouira, a perdu son calme à deux reprises en l’espace d’une nuit. Une première fois sous une atmosphère festive au gala artistique organisé par l’APC, au niveau de la place publique.
Neuf manifestants arrêtés, mercredi dernier, à Tizi Ouzou, lors de la tentative de commémoration du Printemps amazigh, seront présentés prochainement devant le procureur du tribunal de Sidi M’hamed d’Alger, a annoncé, avant-hier, le Comité national pour la libération des détenus (CNLD) sur sa page Facebook.
C’est devenu une tradition ! Le taux d’absentéisme des élèves en classes d’examen de fin d’année augmente d’année en année. Un phénomène qui met en jeu la crédibilité de l’école fondamentale.
Fictions, comédies, séries humoristiques et émissions culinaires, tel est le menu servi par les différentes chaînes de télévision durant ce mois de Ramadhan.
Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Youcef Cherfa, a fait état, jeudi à Alger, de l’acceptation jusqu'au 18 avril de plus de 900 000 dossiers, sur un total de 1 501 799 inscrits sur la plateforme électronique, en vue de bénéficier de l'allocation chômage.
Le ministère de la Justice a introduit, il y a un peu plus d’une semaine, des demandes de levée de l’immunité parlementaire à l’encontre de parlementaires, et ces notifications ont atterri aux bureaux des deux institutions parlementaires.
Les dernières augmentations des salaires, jugées par les concernés insignifiantes devant la cherté de la vie et l’augmentation des prix, a fait réagir les travailleurs de la Fonction publique dans la wilaya de Tizi Ouzou.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Ali Guenoun, historien, revient sur la genèse du Printemps berbère. «La question amazighe est refoulée durant la guerre d’indépendance pour rebondir une fois que l’Algérie s’est libérée du colonialisme (…). La généralisation de la langue arabe et l’exclusion de toute expression officielle en tamazight après 1962 font resurgir en surface cette question», soutient l’auteur de La question kabyle dans le nationalisme algérien 1949-1962 (Le Croquant/Casbah, 2021), précisant que «même si au début, ses buts spécifiques n’étaient pas politiques, la question amazighe a servi de cadre politique de substitution». S’agissant des récits divergents sur cette séquence importante de l’histoire algérienne, il note : «Tous les mouvements sociaux ou politiques ont connu des moments difficiles liés aux mutations des situations politiques et de leurs encadrements. Le Mouvement culturel berbère n’y a pas échappé. Les récits diffèrent, parce que les porteurs de mémoire n’ont pas tous les mêmes objectifs et les mêmes ambitions.»
Selon le rapport du laboratoire Kaspersky, le secteur de l’énergie est le plus touché par ces attaques, alors que l’Algérie ne figure pas non plus sur la liste des pays ayant une bonne infrastructure en cybersécurité.
Les avocats ont mis fin hier à leur mouvement de protestation contre le nouveau régime fiscal imposé à leur profession. La décision a été prise à la suite d’une réunion qui a regroupé l’Union nationale des Ordres des avocats (UNOA) avec le ministre des Finances et au cours de laquelle un engagement a été obtenu pour apporter des changements dans la loi de finances complémentaire.
Le journaliste Rabah Karèche continue de subir des pressions de l’administration de la wilaya de Tamanrasset. Plusieurs mois après avoir quitté la prison où il avait purgé une peine privative de la liberté pour un article de presse, il n’arrive pas à reprendre son travail initial de fonctionnaire au niveau de l’école des enfants sourds-muets de la wilaya qu’il occupait depuis des années.
Des arrestations ont été enregistrées, hier, dans la ville de Tizi Ouzou parmi les citoyens qui ont tenté de marcher à l’occasion de la célébration du 42e anniversaire du Printemps berbère. Il y a aussi des citoyens interpellés lors d’un dépôt de gerbe de fleurs au centre-ville, à la mémoire des victimes des événements de Kabylie de 2001.
L’affaire de M’chedallah (Bouira) a fait réapparaître le discours de la haine, notamment sur les réseaux sociaux, devenus un défouloir de toutes les formes de racisme. Des propos haineux rapportés, ou juste partagés par beaucoup de pages ou des personnes identifiées.
Pour l’avocat Farouk Ksentini, la loi délimite assez bien les limites à ne pas dépasser afin de ne pas tomber sous le coup d’une sévère condamnation pour propagation de discours de la haine et de la discrimination. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, il appelle à la désignation et à l’installation rapide des membres de l’Observatoire de prévention et de dénonciation de ces actes répréhensibles pour rendre plus efficaces la lutte contre ce phénomène.
Même si la célébration du 42e anniversaire du 20 Avril 1980 intervient, cette année, dans un contexte particulier, caractérisé notamment par l’absence de l’engouement d’antan pour marquer cette occasion, il n’en demeure pas moins que le Printemps berbère reste un repère et un catalyseur incontestable pour la revendication identitaire.
La grève des lycéens dans la wilaya de Constantine se poursuit pour le troisième jour de suite. Elle commence à gagner de nombreux établissements scolaires. Hier, plus d’une centaine d’élèves ont déserté les classes pour organiser une marche improvisée vers le siège de la direction de l’éducation, situé au centre-ville.
Seuls quelques médias français se sont intéressés à cette nouvelle fracassante, en s’appuyant sur une enquête publiée dans la revue trimestrielle XXI (tome 58, paru le 1er avril), réalisée par la journaliste indépendante Claire Billet.
Le général de corps d’armée Saïd Chengriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, a mis en garde, hier à Alger, contre «l’alarmisme médiatique» qui accompagne certains phénomènes sociaux négatifs, ainsi que les polémiques stériles qui en résultent et qui sont de nature à provoquer des différends au sein des composantes de la société. «Comme je l’ai déclaré, à des occasions précédentes, la bataille d’aujourd’hui est une bataille de conscience par excellence et, à ce titre, je voudrais aborder une question qui a pris, ces derniers temps, des proportions inquiétantes.