La troisième et dernière confrontation de la phase des poules du groupe D, de la CAN Côte d'Ivoire 2023, ayant opposé l'Algérie à la Mauritanie, a été confiée au jeune arbitre somalien Omar Abdulkadir. Les données du match étaient compliquées.
La gestion de la reprise d’après-match ayant connu une défaite amère et douloureuse du club cher aux Sétifiens face aux Académiciens du Paradou fut très difficile. Il a fallu une conjugaison d’efforts pour convaincre les joueurs d’oublier la défaite et reprendre les entrainements afin de préparer le match prochain. Le moral n’était pas au beau fixe. Même le technicien français Franck Dumas n’était pas là lors de la reprise.
Le jeune arbitre international Omar Abdelkadir Artan (30 ans) de la Somalie dirigera la troisième et dernière confrontation de la phase des poules du groupe D, devant opposer les Verts aux Mourabitoune. Ayant décroché son badge FIFA en 2020, Omar Abdelkadir est le premier arbitre de ce pays à être retenu parmi ceux qui dirigent une CAN. Pour lui et son pays, la CAN 2023, c’est une grande première.
Notre arbitre international Youcef Gamouh a réussi sa première direction lors de cette CAN 2023 qui se déroule en Côte d’Ivoire. Il a dirigé avec beaucoup de maîtrise la rencontre ayant mis aux prises l’Afrique du Sud avec la Namibie (4-0). Il avait à ses côtés sur le terrain Mokrane Gourari comme 1er assistant et à partir de la VAR son aîné Mustapha Ghorbal.
Après ce qui s’est passé lors de la confrontation de la 2e journée du groupe D entre l’Algérie et le Burkina Faso, où une action litigieuse, une faute évidente commise sur Bounedjah, se déplaçant verticalement sans ballon, fut ceinturé par un défenseur burkinabé, jusqu’à le mettre à terre, en pleine surface de réparation, alors que le ballon était en jeu. Aucune intervention de la VAR !
C’est sous une chaleur torride (37° C) et sur une belle pelouse que l’arbitre sud-africain Tom Abongile a donné le coup d’envoi de la confrontation Algérie-Burkina Faso (cruciale pour les Verts). L’arbitre directeur dans le tunnel menant au terrain, paraissait décontracté en mâchant du chewing-gum.
L’Entente est-elle entrée dans le tunnel de l’instabilité (technique) après plusieurs semaines de maigres résultats en totale contradiction des aspirations (légitimes) de ses fans ? Et cela même en dépit des gros moyens (financiers et logistiques) mis par le groupe Sonelgaz en charge du club.
Désigné pour officier l’un des sommets de cette CAN en Côte d’Ivoire de la deuxième journée de la phase de poules du groupe A, ayant opposé le pays organisateur, la Côte d’Ivoire, à la redoutable sélection du Nigeria. l’Algérien Ghorbal n’a pas failli à sa mission.
Pour le compte de la deuxième journée de la phase de poules du groupe D, la Commission d’arbitrage de la CAF a désigné une équipe arbitrale multinationale conduite par le Sud-Africain Abongile Tom, pour diriger la rencontre cruciale et même capitale pour les Verts, devant les opposer aux Etalons du Burkina Faso. Le match débutera à partir de 15h (heure algérienne).
L’Algérie se devait de réussir l’organisation et surtout remporter le cher trophée continental pour la première fois de son histoire. Toute la nation était mobilisée pour le faire. Il fallait être fin prêt pour le jour J. A l’époque, la compétition regroupait huit nations.
Même avec la qualification des joueurs recrutés et le retour à El Eulma au stade Amar Hareche, l’équipe ne gagne plus. Pire, elle a perdu ses deux derniers matchs à domicile (O. Magrane et NRB Tleghma).
La démarche arbitrale du Sénégalais Issa Sy sur le plan de la gestion disciplinaire a intrigué les initiés. D’un côté, aucun état d’âme pour avertir à quatre reprises (très justement d’ailleurs) les Verts, et de l’autre, dans les ultimes moments du match, il n’a pas suivi le protocole de la double sanction (technique et disciplinaire) pour un joueur de l’Angola.
D’énormes moyens ont été mis à la disposition des arbitres réunis plusieurs fois avant la CAN et depuis le 6 janvier à Abidjan.
L’Entente de Sétif déçoit ses fans encore une fois. Elle a été accrochée par le nouveau promu, l’Etoile de Ben Aknoun, à Sétif même. Comme d’habitude, sur leur pelouse fétiche, les coéquipiers du gardien revenant Saidi étaient en retard au score en première mi-temps. Hachoud était passé par-là.
La relation de travail, qui liait le Mouloudia de Constantine au, désormais, ex-entraîneur senior Karim Zaoui, a été rompue à l’amiable samedi dernier au siège du club. Pourtant, le championnat amateur n’est qu’à la 11e journée, et le MOC a déjà grillé deux licences d’entraîneurs.
La toute dernière et meilleure illustration nous vient du match de championnat de Ligue 1 professionnel ayant opposé, jeudi dernier, l’USM Alger à la JS Saoura (13e journée) sur la pelouse du 5 Juillet à Alger. L’équipe visiteuse menait à la marque depuis la 28’ de jeu, sans aucun problème, et ce jusqu’à cette fatidique 89’ de jeu.
Comme le veut la tradition, des challenges de cross-country sont organisés à travers le pays chaque quinzaine durant la saison sportive. La wilaya de Bordj Bou Arréridj s’apprête à vivre, ce samedi 13 janvier, la 33e édition en présence du nombre impressionnant de 1040 athlètes.
La confrontation de mise à jour (pour le compte de la 7e journée) ayant mis aux prises l’Entente de Sétif avec le Chabab de Belouizdad, sur la pelouse du 8-Mai 45 de Sétif, a tourné à l’avantage des visiteurs dans un stade plein à craquer. Les résultats probants des Sétifiens ces cinq dernières journées conjugués à l’affiche alléchante proposée, les gradins du 8-Mai 45 se sont avérés, encore une fois, trop exigus en cette circonstance. Il n’y a pas eu de round d’observation.
Revigorés par leur dernière victoire acquise à l’extérieur de leurs bases, à Magra, les hommes de Franck Dumas ne devraient pas rater l’opportunité de recevoir les quadruples champions d’Algérie en titre, le CR Belouizdad, pour aligner leur troisième victoire d’affilée.
Ne dit-on pas que le plus dur, ce n’est pas d’arriver au sommet, mais d’y rester et s’y maintenir le plus longtemps possible avec des moyens licites. Depuis la nuit des temps et dans toutes les fédérations de football du monde, la recommandation express que reçoit chaque arbitre tout auréolé de son titre «FIFA» est celle de tout faire, sur et en dehors du terrain, à l’effet de défendre son titre.