Agréés depuis plusieurs années, des projets d’hôtels, de complexes et de résidences touristiques peinent à voir le jour. Un rapport de l’APW élude le volet investissement.
Très fréquenté tant par les petites bourses que par les marchands ambulants, le marché hebdomadaire de Boumerdès boucle bientôt quatre ans depuis sa fermeture.
Une enveloppe de 20 milliards de centimes a été dégagée récemment par les autorités de la wilaya de Boumerdès pour assurer un bon accueil des estivants.
Après des années d’atermoiements et de constats critiques, les autorités semblent décidées enfin à se pencher sur le phénomène de la salinité et de la pollution des eaux du Bas Sébaou, l’un des plus grands fleuves du pays.
Plusieurs salles de soins sont squattées ou fermées à cause du manque de personnel médical ou du laxisme de certains responsables locaux.
Cette enveloppe est destinée à la réalisation de 19 postes électriques, 110 km de réseau et la réhabilitation des équipements au niveau de 49 points.
Le tronçon de la R05 traversant les majestueuses falaises d’Ammal, au sud de Boumerdès, a fait encore parler de lui, hier, à cause des chutes de pierres. Plusieurs rochers se sont détachés des falaises avant de finir leur course sur la route, fermée durant plus d’une heure à cause du débordement de l’oued Issers.
Plusieurs investisseurs ayant bénéficié de terrain au parc industriel de Larbatache interpellent le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique afin d’ordonner le raccordement de leurs unités au réseau d’électricité.
Le ministre du Commerce et de la promotion des exportations Tayeb Zitouni a souligné que «les produits seront non seulement disponibles en quantités suffisantes mais à des prix abordables».
Ce qui était attendu à fini par arriver. La wali de Boumerdès, Fouzia Naâma, a opéré d’importants changements au niveau de son cabinet.
La secrétaire générale du Parti des travailleurs estime que «2024 sera une année charnière pour notre pays et notre peuple». S’exprimant lors d’un meeting hier à Boumerdès à l’occasion de l’anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures, Louisa Hanoune a plaidé pour «plus d’ouverture du champ politique et médiatique afin d’immuniser le pays contre tous les dangers et les manœuvres de déstabilisation d’entités hostiles».
Le programme d’aide à l’habitat rural patine dans plusieurs communes, à cause des erreurs du cadastre. La wali a révélé récemment que 700 sur les 1500 aides octroyées à la wilaya en 2023 n’ont pas trouvé preneur.
Le taux d’incidence du cancer ne fléchit pas dans la wilaya de Boumerdès. Malgré les campagnes de dépistage et de prévention menées notamment par l’association Errahma, les chiffres liés à cette pathologie donnent encore froid dans le dos.
L’AAPI a mis 20 lots de terrain à la disposition des opérateurs économiques désirant investir à Boumerdès. Cette offre foncière a été annoncée et mise en ligne avant-hier sur la plateforme numérique de l’investisseur à l’occasion d’une cérémonie à laquelle ont pris part des dizaines de porteurs de projets.
Une catastrophe a été évitée de justesse avant-hier à Ammal, au sud de Boumerdès à cause des fortes pluies qui se sont abattues dans la région. Cinq maisons du village Thinoukline ont été inondées et une trentaine d’autres ont été isolées suite à la remontée des eaux de l’oued Issers, l’un des plus grands fleuves de toute la région.
Le programme d’extension des réseaux électriques tardent encore à démarrer dans beaucoup de communes de la wilaya de Tizi Ouzou. A Ait Yahia Moussa, un élu à l’APC fait état de 700 habitations qui attendent d’être raccordées aux réseaux de Sonelgaz.
Les habitants d’Ouled Ali réclament le revêtement des routes, la réouverture de la salle de soins et le parachèvement du projet de gaz.
Pas moins de 260 journalistes de médias publics et privés suivent depuis hier une formation de trois jours dans le domaine des hydrocarbures.
Une enveloppe de 10 milliards de centimes a été allouée sur le Fonds national de l’environnement et du littoral (FNEL) pour éradiquer les décharges sauvages.
L’Algérie a franchi des étapes importantes en matière de prise en charge des malades atteints du cancer. Ce ne sont pas les politiques qui le disent mais des médecins spécialistes.