Les habitants de certaines localités de la wilaya de Boumerdès ont vécu hier une journée particulièr. Beaucoup de cités de la région ont frôlé la catastrophe à cause des eaux de pluie mais aussi de l’anarchie caractérisant le tissu urbanistique.
Après diverses expériences, les pouvoirs publics se rendent compte que la concession des plages n’est pas une mauvaise idée. Gelé en 2016, ce mode d’exploitation des plages sera de retour dès cet été.
La commune de Hammadi a bénéficié d’une enveloppe financière de 66 millions de dinars dans le cadre du plan communal de développement (PCD) de l’année en cours.
Plusieurs villes de la wilaya de Boumerdès continuent de déverser les eaux usées dans la nature. C’est le cas de Naciria, une localité de près de 25 000 habitants qui ne compte aucune station de relevage ou d’épuration des eaux usées.
Le blocage à l’APC de Boudouaou n’est pas sans impact sur le vécu de la population. A Hlaïmia, sur les hauteurs de la ville, les habitants évoluent dans des conditions lamentables. Les dernières chutes de pluie ont rendu l’accès difficile vers plusieurs quartiers.
Après des années de laxisme et de tergiversation, les autorités de la commune de Boumerdès sortent enfin les grands bulldozers contre le chancre des bidonvilles. Cette localité balnéaire compte encore plus de 200 taudis, dont une grande partie est située à Figuier, précise un élu à l’APC.
800 logements ont été attribués cette année dans le cadre du programme social, précise le P/APC, soulignant que 2000 demandes sont encore en instance. Les exclus du relogement exigent une enquête sur la liste des attributaires.
Juste une autorisation administrative, c’est ce que réclament les exploitants des terres agricoles longeant le bas Sébaou pour pouvoir utiliser les eaux de l’oued dans l’irrigation. Grâce aux dernières précipitations, ce fleuve a repris timidement et momentanément son cours.
Considérée comme la plus grande ville de la wilaya de Boumerdès, Khemis El Kechna est difficilement accessible par véhicule. Pourtant, ce chef-lieu de daïra n’est pas loin des grands axes routiers. L’autoroute Est-Ouest passe juste à côté. Idem pour la 2e rocade.
De nombreux citoyens réclament la réhabilitation du jardin public abandonné. Car, toute personne qui pénètre aujourd’hui dans cet ancien jardin public communal ne peut qu’éprouver à la fois un sentiment de réprobation et d’indignation face à l’état de désolation dans lequel se trouve ce jardin dévasté.
Les postulants au programme des 588 logements AADL d’Ouled Moussa dénoncent les retards enregistrés pour l’achèvement de leurs appartements.
Le tronçon de la RN05 allant de Corso à Thénia sera finalement réhabilité dans les deux sens. Les travaux ont été lancés cette semaine par la Sarl ETHB pour un montant de 549 millions de dinars.
Le secteur de l’éducation dans la wilaya de Boumerdès sera renforcé par plusieurs structures scolaires dès la prochaine rentrée. Une bonne nouvelle pour la famille éducative durement pénalisée par le problème de la surcharge des classes. Le cycle primaire verra la réception de 38 nouvelles écoles, 81 classes en extension,
La saison estivale avance à grands pas. A Boumerdès, les fortes chaleurs de ces derniers jours ont déjà incité plusieurs personnes à se rendre à la plage pour se rafraîchir. Avant-hier, plusieurs parasols étaient visibles sur le rivage.
Le manque de pluviométrie suscite moult inquiétudes chez les agriculteurs de la wilaya de Boumerdès. Les effets de la sécheresse se font sentir même au niveau des périmètres irrigués.
Après cinq ans de blocage et maintes réévaluations du marché, le projet d’évitement de la ville de Boumerdès commence enfin à voir le bout du tunnel.
La violence augmente d’année en année au sein des établissements scolaires de la wilaya de Boumerdès. Si par le passé ce sont les élèves qui en pâtissaient le plus, aujourd’hui la tendance semble se renverser, touchant en premier lieu les enseignants.
Tous les textes de loi insistent sur l’impératif de préserver le foncier agricole afin de garantir la sécurité alimentaire du pays.
Ancien investissement du groupe Mazouz, la raffinerie de sucre réalisée à la zone industrielle de Larbatache est désormais propriété de l’Etat.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a ordonné, début avril, l’élaboration de trois projets de décrets présidentiels régissant la répartition du foncier économique, touristique et urbain. Il avait donné des instructions fermes afin d’enrichir et procéder à une révision en profondeur de la loi.