Retour à la case départ : les relations entre l’Algérie et la France tiennent beaucoup de la mythologie du rocher de Sisyphe, toujours prompt à refaire le chemin inverse, une fois parvenue au sommet, au prix de laborieux efforts.
Les critiques suscitées par l’abandon de la population syrienne des régions du nord de la Syrie, durement frappées par le séisme de lundi dernier, semblent avoir produit leurs effets.
Un malheur n’arrive jamais seul : enclavées, coupées du monde, les populations syriennes du nord du pays entrées en rébellion contre le pouvoir central du président Bachar Al Assad, qui les accuse d’être sous la férule des djihadistes islamistes, crient à la face du monde leur colère pour la solidarité internationale qui n’arrive pas dans les régions sinistrées d’Alep, de Ladikiya, Homat, Idleb et Tartous.
Directeur de recherche à l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediène (USTHB), président du Club algérien des risques majeurs, le professeur Abdelkrim Chelghoum, qui capitalise une longue expérience dans l’étude des risques majeurs en Algérie, dont les séismes, s’exprime, à chaud, dans cet entretien, sur les séismes dévastateurs ayant frappé la Turquie et la Syrie. Ses réflexions et recommandations font école. Il passe pour être un lanceur d’alerte dans son domaine. Son franc-parler, pour dire les vérités toutes crues, dérange parfois, mais les événements lui ont toujours donné raison.
Les catastrophes naturelles, surtout lorsqu’elles sont d’une grande amplitude, comme le séisme qui a dévasté, hier, le sud-est de la Turquie et la Syrie, sont toujours l’occasion pour le pays meurtri de mesurer l’élan de la solidarité internationale.
Le 7 décembre dernier, un communiqué des services du Premier ministre avait annoncé que les résultats préliminaires du Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) seront dévoilés vers la mi-janvier.
Le journaliste Rachid M'Barki reconnaît avoir œuvré «à faire briller l'image du Maroc» l Les responsables de la chaîne de télévision française ne l'entendent pas de la même oreille, affichant leur détermination à faire toute la lumière sur ce dossier.
Après Pegasus, les Marocains viennent d'acquérir, auprès des Emirats arabes unis, un équipement d’espionnage très sophistiqué appelé «Stratigne».
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a adressé, lundi, deux messages écrits, le premier au roi Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud, serviteur des deux Lieux Saints de l’islam, et le second, à l’émir de l’Etat du Koweït, Cheikh Nawaf Nawaf Al Ahmad Al Jaber Al Sabah.
Je ne suis pas de ceux qui frappent aux portes des médias pour faire parler de moi.»
La première session de la Commission mixte de sécurité algéro-mauritanien s’est tenue à Nouakchott sous la coprésidence du secrétaire général du ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Adil Hamimid, et son homologue mauritanien du ministère de l’Intérieur et de la Décentralisation, Mohamed Mahfoud Ibrahim Ahmed.
Les travaux de la 17e conférence de l’Union des conseils des pays membres de l’Organisation de la coopération islamique (UPCI) s’ouvrent aujourd’hui, à Alger, en présence de représentants de 35 Parlements de pays musulmans, dont 22 délégations représentées à un haut niveau par les présidents des institutions parlementaires.
Depuis le retour de Benyamin Netanyahu au gouvernement et la nomination de ministres d’extrême droite fascistes, à l’instar de celui de la Sécurité intérieure, Itamar Ben Gvir, celui-là même qui a mis le feu aux poudres en conduisant des assauts répétés sur la mosquée Al Aqsa, la tension est montée de plusieurs crans dans les Territoires palestiniens occupés de Ghaza et de Cisjordanie.
Les bombardements de l’armée marocaine contre des camionneurs civils, empruntant ce qui est devenu un couloir de la mort, à savoir le tronçon routier, à l’état de piste, situé à la frontière entre le Sahara occidental et la Mauritanie, se poursuivent dans l’impunité totale.
Suite aux graves accusations de corruption d’eurodéputés par le Maroc, en échange de leur asservissement pour défendre, auprès du Parlement européen, l’occupation marocaine du Sahara occidental, le Parlement marocain a annoncé, dimanche, la tenue d’une réunion conjointe en séance plénière de ses deux Chambres pour examiner «les dernières positions du Parlement européen sur le Maroc».
La présidente du Conseil des ministres italien, Georgia Melonie, entame, depuis hier, une visite de travail et d’amitié de deux jours en Algérie à la tête d’une importante délégation gouvernementale.
Le Parlement européen a adopté jeudi, à une large majorité, une résolution (356 voix pour, 32 contre et 42 abstentions) sur les atteintes aux Droits de l’homme et à la liberté de la presse.
Le plaidoyer fait ce jeudi en faveur de la libération des initiatives et de la prise de décision des exécutifs de wilaya, à leur tête les walis, par le président Tebboune, à l’occasion de la rencontre gouvernement-walis, a été accueilli avec une note d’optimisme par les walis.
Deux idées phares ont émergé des travaux du 16e congrès du Front Polisario, qui se tient depuis vendredi dernier dans le camps de réfugiés sahraouis de Dakhla : l’intensification de la lutte armée et de la résistance populaire dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc.
Après avoir observé un silence embarrassé, le Parlement européen sort de sa réserve et mandate le Parquet européen pour lever l'immunité parlementaire des eurodéputés impliqués dans le scandale du «Marocogate». Hier, les parlementaires européens se sont réunis pour voter une résolution sur les Droits de l'homme au Maroc.